etudes binchoises revue de la société d'archéologie et des amis du ...

avec ses paroissiens" - peu d'activités sociales - homme très respecté mais peu
populaire.
(10) 1836-1849, f. 16r°.
(11) A. P. BINCHE, III, 2. Signé : Thorn, Harmignie, Ad. Castiau, M.
Rancelot et A. Dujardin.
(12) A quoi le Conseil de Fabrique répliqua, le 24 août, "que l'escalier
du Chœur est composé de quatre marches, que trois sont avec moulures et une
unie, et que les trois premières comptent cent-quarante-une pièces et morceaux,
et la dernière, plus élégante, dix pièces" (1836-1849, f. 18v°).
(13) 1.296 francs 63 cent, cfr A. P. BINCHE, IV, 11 (Comptes de la
Fabrique, 1837-1838).
(14) Ibidem.
(15) 1836-1849, f. 22. A la date du 9 juin 1828, on trouve, en effet, dans
le Reg. delibe'r. Conseil de Fabr. 1808-1828 (f. 119v°) la note suivante: "On propose
de faire annoncer dans les feuilles publiques qu'il y a trois blocs de marbre de
Saint Remy à vendre. Après délibération, conclu d'ajourner provisoirement
cette vente". Sur l'enfouissement de ces blocs, en décembre 1740, voir
MEURISSE-CAMBIER, III, p. 40, n° 1542 et p. 47, n° 1580,1581 et 1583.
(16) 1836-1849, f. 24v°. Somme à laquelle, devaient s'ajouter 200 fr. 65
versés du 1er janvier au 13 septembre 1838 (Ibidem, f. 29v°).
(17) A propos de la distinction entre le "Sanctuaire" et le "Chœur",
signalons que le Sanctuaire désignait l'endroit où était érigé le maître-autel, et
le Chœur la partie réservée autrefois aux chanoines de Saint-Ursmer pour leurs
offices et où se trouvaient leurs stalles.
(18) 1836-1849, f. 21. Dans la soumission Mauroy-Espel, une somme de
75 francs était prévue pour l'installation au milieu du sanctuaire d'une "étoile
de marbre blanc d'Italie, rouge de Rance et noire de Basècles" (Ibidem).
(19) Ibidem, ff. 22r° et40r°.
(20) Les plans de remise à neuf de ces chapelles avaient été dressés par
le secrétaire de la Fabrique, Nicolas Legrand. Ce plan prévoyait, au milieu de la
chapelle de Notre-Dame du Mont-Carmel, la pose d'un médaillon en marbre
blanc portant au centre une représentation du cœur de la Vierge Marie (1836-
1849), f. 24v°).
(21) Dans le Compte de la Fabrique pourl838 ( A. P. BINCHE, IV, 11), on
peut lire au titre 8, Dépenses extraordinaires: Payé au Sieur Demoulin, sacristain,
les avances qu'il a faites pour le transport des pierres au cimetière et
nettoyement de l'église, 9 francs".
(22) C'est peut-être à la suite de cette dernière résolution (qui sera
fortement appuyée par Mgr Labis) que furent dressées contre des murailles:
- la pierre tombale (lm, 68 x Om, 83) du chanoine Alexandre Wolffz,
doyen du Chapitre de Saint-Ursmer, décédé en 1753 (chapelle de S.
Ursmer).
- à gauche de la dite chapelle, la dalle funéraire (40 x 68 cm.) de Gilles
Talion (mort le 20 décembre 1622) et de son épouse Catherine Tayenne
(décédée le 17 juin 1626), bienfaiteurs de la collégiale.
- de chaque côté de l'entrée du portail latéral, les pierres funéraires des
parents du chanoine François Deppe (décédé le 6 novembre 1623) et de
Pierre Gespart, (homme de chambre du duc d'Aumale, gouverneur de
Binche), mort de la peste, le 10 mai 1636. Leurs épitaphes ont été
publiées par LEJEUNE, op. cit., pp. 495 et 300-301, ainsi que par Léopold
DEVILLERS, Essai historique et descriptif sur des monuments du Hainaut (...)
II : L'Eglise de Saint-Ursmer à Binche, Mons, s. d., pp. 13-15; ce dernier
auteur porte un jugement très sévère sur la pose du nouveau pavement
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