etudes binchoises revue de la société d'archéologie et des amis du ...

(119) D'après la lettre du Gouverneur du Hainaut à M. de Biseau, le 10
août 1821 (Ibidem).
(120) L'achat avait eu lieu, le 17 août, pour 2.600 francs (Ibidem).
(121) La cinquième part avait été léguée, le 19 février 1816, par Charles
Dumollin à l'Hôpital de Binche qui maintenait en conséquence son droit de
propriété sur un cinquième des bâtiments, et demandait un droit de location de
100 francs par année (Ibidem).
(122) Ibidem.
(123) Lettre du Gouverneur du Hainaut aux bourgmestre et échevins
de Binche, le 24 mai 1822 - Lettre de Charlotte Harmignie aux mêmes, le 25 -
lettre de M. de Bougnies à M. de Biseau d'Hauteville, le 26 (A. E. MONS,
Archives locales P 1146 et 1148).
(124) Lettre du 24 mai 1822 aux bourgmestre et échevins de Binche (A.
E. MONS, Archives locales, P 1146).
(125) Ibidem.
(126) Ceux qui sont conservés dans le dossier P 1146 maintes fois cité,
mais aussi dans une relation quelque peu anticléricale (due peut-être à Henri-
Florent Delmotte) que nous a gardée L'Hermite en Belgique par une Société de gens
de Lettres, t. 2, Bruxelles, Galand et Cie, 1827, pp. 176-178. Nous avons consulté
aussi un Rapport (manuscrit) sur les Ecoles catholiques de Binche, daté du 13 juin
1893 mais qui donne le texte d'une chronique se rapportant à l'année 1822
(archives personnelles).
(127) "Tout ce qui parut susceptible d'enfourcher bête chevaline fut
convoqué; on ne savait quelle tenue prendre; l'on convint de porter une écharpe
au bras, et une gaule à la main. Mais de quelle couleur devait être l'écharpe ?
Un émissaire aposté par l'un des plus notables habitants de l'endroit (de
Biseau) insinua que le bleu du ciel étant la couleur du magistrat (de Bousies)
dont le choix avait penché en faveur de Binch, il lui serait bien agréable,
lorsqu'il viendrait présider à l'installation, de voir ses couleurs arborées par les
chevaliers du sacré-cœur (...) La résolution fut emportée par acclamations, et
tous coururent se faire écharper." (L'Hermite...), pp. 177-178.
(128) "Des troupes de jeunes filles vêtues en bergères et classées par
rang de taille avaient été rassemblées. " (Ibidem, p. 177). La présence de bergères
est déjà signalée le dimanche 2 septembre 1821, lors de la réception officielle du
gouverneur du Hainaut à Binche; on en comptait alors 13 pelotons (cfr. Amici
Clionis. fasc. 2,1941, p. 18)
(129) Elles étaient six, sous la conduite de la Supérieure de la
Congrégation (Charlotte Harmignie), 4 Mères: Marie -J Wéry, Alexandrine
Godefroid, Augustine Wouters et Joséphine Campion, et 2 sœurs coadjutriccs :
Thérèse Duforet et Désirée Lesage.
(130) Parmi lesquels, le bourgmestre Coquiart, les échevins de Biseau
et Brouwet, Sebille, Lecocq, Boursin, Dumollin, Legrand, Stacquez-Dubois.
(131) A. E. MONS, Archives locales, P 1146.
(132) Ibidem; P 1148. A cette lettre était jointe une "liste d'enfants
adoptables".
(133) P. -CL. MEURISSE, La chapelle des Récollets à Binche, dans Calvaires
et Chapelles en Hainaut, 4e année, n° 1, mars 1951, p. 4 - GLOTZ-MILET, p. 183,
n° 1. - Paul CLEMENT, L'enseignement à Binche depuis le début du XIXe siècle,
Tournai, Artistic, 1971, p. 14, n. 1.
(134) "Après la malheureuse dispersion des Pères Récollets de l'ordre
de S. François, la Congrégation dite des Filles du Très Saint Cœur de Jésus a
accepté, avec l'appui de l'autorité ecclésiastique, de reprendre cette maison et
cette église en vue d'y réunir la jeunesse et de l'éduquer dans la foi et la piété.
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