etudes binchoises revue de la société d'archéologie et des amis du ...

(44) Ibidem, reg. 116, f. 21v° et reg. 544, n° 488 - A. C. BINCHE, reg. aux
délibérations, p. 217.
(45) Sans doute Philippe Jaupart qui fut pressenti, en 1788, pour faire
les plans d'une nouvelle chaire de vérité, à ériger en la collégiale Saint-Ursmer
(cfr MEURISSE-CAMBIER, 1.1,1942, pp. 21-22, n° 39 et t. 3, p. 48, n° 50).
(46) Sur Adrien Fontaine, dit "Le Philosophe", voir A. MILET, La
Suppression du couvent des Sœurs Noires..., n° 68.
(47) A. E. MONS, F. fr., liasse 477, n° 27.
(48) Peut-être celui qui existait encore à la sacristie de l'église du Saint-
Sacrement, et qui était en marbre gris.
(49) Saints François d'Assise, Bonaventure, Pierre d'Alcantara, Antoine
de Padoue, Jean Capistra, Gilles d'Assise. Ces six statues sont toujours en place
dans les niches hautes du chœur.
(50) Sans doute la statue dont il est parlé dans GLOTZ-MILET, p. 181.
(51) A. E. MONS, F.fr., liasse 477, n° 210.
(52) Ibidem n° 27. Ce ciboire fut porté à Mons, en septembre 1797, par
Lecocq qui voulut le remettre au secrétaire de l'Administration centrale, mais
celui-ci refusa de l'accepter "sous prétexte qu'il ne lui étoit point encore indiqué
de local pour mettre les objets de cette nature en sûreté". Finalement,
l'Administration départementale décida, le 8 octobre, que le ciboire devait être
déposé chez le citoyen Degrave commissaire à la vente du mobilier national à
Mons (Ibidem, liasse 480).
(53) Ibidem, liasse 476, n° 145.
(54) Louis-Joseph Fétis (1758-1833), facteur d'orgue à Mons.
(55) A. E. MONS, F. fr., liasse 476, n° 145.
(56) Ibidem, A l'occasion du transfert, un inventaire sommaire des
livres fut dressé: 19 in-f°, 600 in-4° et 150 in-12, soit 850 volumes en tout.
(57) Le reçu de Delmotte accusant bonne réception deS30 volumes est
daté du 19 frimaire an VI : 9 décembre 1797 (Ibid.).
(58) lbid.
(59) A. C. BINCHE, reg. aux délibérations, p. 208.
(60) Dont "une qui se trouvoit sous le pavement de la brasserie et qui
servoit à faire couler la bière dans le tonneau, laquelle a été coupée jusqu'au
pied de la muraille" (A. E. MONS, F. fr., liasse 475, n° 133).
(61) Ibidem.
(62) lbid., reg. 116, f. 48v°.
(63) lbid., liasse 476, n° 145.
(64) Norbert Carlier était né à Binche, le 7 juillet 1750. Entré chez les
Carmes chaussés, sous le nom de Père Norbert de Sainte-Thérèse, il entama,
après la suppression de son ordre religieux, une carrière fort mouvementée qui
le mena à Carnières, Seneffe, Bouffioulx, Bellecourt, Mons, Havré, localité à
partir de laquelle on perd sa trace (VOS, Clergé, IV, 58-59).
(65) A. E. MONS, F. fr., reg. 517, n° 1520.
(66) Ibidem, reg. 117, f. 8v°.
(67) lbid., reg. 517, n° 759 (juin 1797).
(68) lbid., reg. 242, f. 49v° (lettre de la 2e section du 3e bureau, 12 mars
1798).
(69) "Charles Cruppe, apoticaire à Binche, réclame payement de
drogues livrées aux Récollets" (18 mars 1797 : A. . BINCHE, reg. aux
délibérations, p. 186) - "Otto, chirurgien demeurant à Binch demande payement
de 69 florins 12 sols pour traitemens et ongens fournis à la maison des récollets,
et dont il présente l'état" (A. E. MONS, F. fr., reg. 544 n° 565.).
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