etudes binchoises revue de la société d'archéologie et des amis du ...

(69) A. E. MONS. F. fr., liasse 477, n° 196.
(70) Ibidem. La nature de ce mobilier pourrait laisser supposer que les
Sœurs "réclamantes" - elles étaient sept - avaient le projet de rester ensemble et
de se retirer dans quelque maison accueillante où elles pourraient poursuivre,
de manière plus ou moins cachée, leur vie religieuse, comme cela se fit en de
nombreux endroits. Une des réclamantes, en tout cas, est signalée, en octobre
1811, comme demeurant à la rue de la Halle au filet. Au n° 1 de cette rue, dans
une maison que les parents de l'auteur ont habitée durant quelques années, se
trouvait dans le jardin - peut-être y est-elle encore- une pierre (qui semble avoir
servi de piédestal à une statue ou à un bénitier) portant l'inscription : SŒUR
BARBE CLAUX SACRISTAINE A DONNé CEST L'AN 1587.
(71) A. E. MONS, F. fr., reg. 100, f° 162r°.
(72) Ibidem, Biens nationaux, affiche 110, art. 7.
(73) J. L. Derkenne avait été nommé expert par l'Administration
départementale, le 12 floréal an V (Ibidem).
(74) Pierre-François Lemire, architecte, demeurant au n° 1 de la rue de
la Guirlande à Mons, avait été nommé expert départemental le 17 pluviôse an
VI (5 février 1798) "à l'effet de procéder à l'estimation des biens nationaux des
abbayes de Bonne-Espérance, Lobbes, Aine, de l'Olive, de Saint-Feuillien, des
Oratoriens de Thuin, des Carmélites de Sainte-Anne, et autres couvents des
cantons de Binche, Thuin, Beaumont, Seneffe, Merbes-Ie-Château, Châtelet,
etc," (A. E. MONS, F. fr., reg. 119, f. 171 v°); le 21 février, il avait été chargé en
outre de "procéder aux estimations des moulins et usines dans toute l'étendue
du département" (Ibidem, reg. 118, f. 149v°).
(75) Sur Joseph Long, voir Les Cahiers Binchois, n° 5,1982, p. 21, n. 38.
(76) Le nom d'Emmanuel Derome, conseiller communal à Binche,
époux de M. T. Sebille, décédé le 23 septembre 1850, âgé de 85 ans, est inscrit
sur le monument funéraire de la famille Sebille, au Vieux Cimetière de Binche.
(77) A cette époque, la toise (de Binche) équivalait à lm947037; le
journel (un tiers du bonnier) à 827 m2 4308, et la verge carrée à 20 m2 68577.
(78) Le Procès-verbal d'estimation fut enregistré à Mons le 2 fructidor
an VI ( 20 juin 1798). Les frais d'estimation s'élevaient à 135 frcs.
(79) A. E. MONS, Biens nationaux, affiche 110, art. 7.
(80) A. E. MONS, F. fr., reg. 559, n° 615 : 28 brumaire an VII (dimanche
18 novembre 1798).
(81) A. C. BINCHE, reg. 43 - recto - pp. 93-95.
53