etudes binchoises revue de la société d'archéologie et des amis du ...

Le 28 mai 1822, au milieu des applaudissements et la joie du Magistrat, du
Clergé et du Peuple de cette ville, eut lieu l'entrée dans la demeure jusque là
déserte". Nous ne pensons plus, comme nous l'avions écrit précédemment
(GLOTZ-MILET, p. 178); que cette inscription en aurait remplacé une autre -
aujourd'hui disparue - qui commémorait le transfert en l'église des Récollets de
matériaux provenant de la chapelle castrale de Marie de Hongrie. Un relevé
récemment découvert aux A. E. MONS; F. fr., liasse 768 II, et qui date de 1828,
spécifie bien, en effet, que l'inscription disparue - qui correspond, à peu de
choses près, au texte reproduit par LEJEUNE dans son Histoire de Binche, pp.
302-303 - était "distribuée, par moitiés, sur deux médaillons de deux pieds
environ de diamètre, médaillons qui figurent comme ornemants de l'autel".
(135) A. E. MONS, Archives locales, P 1146.
(136) Rapport sur l'administration et la situation des affaires de la ville de
Binche fait par le Conseil communal dans la séance publique du 4 octobre 1858 par le
Collège des Bourgmestre et Echevins, Binche, Sebille-Coffigniez, p. 13. Ce même
rapport signale que la Ville n'avait "d'autres frais à supporter, pour
l'établissement, que les réparations des toitures et vitraux de l'église ainsi que
l'allocation d'un subside communal de 600 francs". Eugène DERBAIX, Binche,
1928, dit que" le réseau des fenêtres de l'église fut remplacé en 1878 par
d'affreux meneaux gothiques".
(137) Ibidem.
(138) Rapport sur l'administration...en séance publique du conseil communal.
Année 1867, Binche, Sebille-Coffigniez, p. 10: "cette école quoique soumise à
l'inspection, n'est pas subsidiée par la ville".
(139) Mère Joséphine (Caroline) Dumoulin (première assistante à Mons
en 1884, et nommée supérieure de l'établissement de Binche, le 23 septembre
1878).
(140) Supérieure générale des Servantes du Saint-Sacrement.
(141) L'Education populaire, 18e année, n° 21, jeudi 24 mai 1894, p. 6, col.
1. L'autre partie du couvent, on le sait, fut vendue pour 16.000 francs à l'Etat
belge qui y fit construire un Hôtel des Postes.
(142) L'Eclaireur Binchois. Petit journal électoral, n° 1, 14 octobre 1899,
p. 4, col. 2 et 3. (Le jeu des petits papiers).
(143) En septembre 1880, le clergé paroissial avait déjà pris
l'engagement de continuer à célébrer les offices religieux comme ils se
pratiquaient avant le départ des Dames du Sacré-Cœur (LEJEUNE, op. cit.,
p. 304).
(143bis) Ce tableau se trouve actuellement à la Collégiale St.-Ursmer
(chapelle St.-Joseph).
(144) Cfr. GLOTZ-MILET, pp. 178-179.
(145) Cfr. M. LEFEBVRE, Les Echos de la vie binchoise, Levai, Imprimerie
du Centre, 1982, p. 21.
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