etudes binchoises revue de la société d'archéologie et des amis du ...

(29) Pierre-Joseph Simon, né à Lillois (Brabant) le 18 mai 1743, décédé à
Binche, le 4 février 1814 (VOS, Clergé, V, 109 - Franciscana, 1983, fasc. 1, pp. 58-
59, n° 1663).
(30) Théodore Thyrion, né à Gosselies, le 18 novembre 1739 (VOS,
Clergé, V, 144 - Franciscana, 1984, fasc. 1, p. 46, n° 1759).
(31) Thomas-Joseph Duvivier (fils de François et de Anne-Marie
Dubois), né à Havré, est mort à Binche, le 9 avril 1815, âgé de 64 ans
(ARCHIVES PAROISSIALES DE BINCHE).
(32) En 1749, les Récollets de Binche étaient 31 (18 pères, 6 novices et 7
frères laïcs), Franciscana, 1974, 3e fas. p. 84. Et en 1787, 25 (GLOTZ-MILET,
p. 176). Le couvent de Binche qui avait été rattaché primitivement à la Province
de Saint-André-en-Artois, fit partie de 1727 à 1796 de la Province de la Flandre
Wallonne (Franciscana, 1974, fasc. 3, p. 83); il cessa, en 1778, d'abriter un
Noviciat (Ibidem, p. 84).
(33) A. E. MONS, F. fr., liasse 539 et reg. 543, n° 976.
(34) Eugène Thimolat (que le peuple appelait "Tu volas") s'était fait
remarquer, en 1792, comme un des premiers révolutionnaires montois. Sous la
seconde occupation républicaine française, il remplit les fonctions d'employé
aux réquisitions de l'Armée de Sambre-et-Meuse, fut nommé ensuite gardien
au couvent des Sœurs Grises à Mons où il prit son logement, et fut désigné
finalement, le 26 octobre 1797, pour occuper le poste de concierge à la
Bibliothèque départementale; c'est à ce titre qu'il fut chargé, le 11 avril 1798, de
transporter à Mons les livres de l'abbaye tournaisienne de Saint-Martin, et ceux
de la Cathédrale (A. E. MONS, F. fr., reg. 115, f. 108v°; reg. 118, f. 62r°; reg. 120,
ff. 25v°, 115r°, 126 v°; reg. 244. ff. 115 v°- 116r°; reg. 251, ff. lllv° - 112r°.
(35) Sur Joseph Long, voir Les Cahiers Binchois, n° 5, décembre 1958,
p. 21, n. 38.
(36) Sur Florent-André Gathier, voir A. MILET, Inventaire de tableaux à
l'abbaye de Bonne-Espérance (1796-1798), dans Bona-Spes, n° 55, décembre 1958,
p. 42, n. 15.
(37) A. E. MONS, F. fr., liasse 476, n° 145.
(38) A. E. MONS, F. fr., liasse 476. Le texte souligne une attitude
fréquemment adoptée à cette époque par les religieux et religieuses du Hainaut
entendant montrer par là que ce n'était pas de leur plein gré qu'ils quittaient
leurs couvents, comme on voulait le faire croire; il y avait là une sorte de geste
symbolique qui ne donna lieu que très rarement à de véritables violences (voir,
par exemple, pour les Récollets de Mons, Ibidem, reg. 112, ff. 130v° - 131r°; pour
les Carmes chaussés de Mons, liasse 474, dossier n° 65; pour les religieuses de la
Thure, dossier n° 5; pour les Augustins d'Enghien, reg. 114, f. 81r° et reg. 571,
n° 666; pour les Récollets de Fleurus, reg. 516, n° 6407). H. Tobie sera nommé, le
6 août 1797, gardien du couvent des Augustins à Enghien (Ibidem, reg. 121, f. 73
v°. Dans le tableau des gardiens des scellés du Département de Jemappes, du 7
thermidor an V (25 juillet 1797), Tobie est "accusé, pour dilapidations, par le
Commisaire du Directoire exécutif", mais sans autres précisions (Ibidem, liasse
6).
(39) A. C. BINCHE, reg. aux délibérations, p. 157 et A. E. MONS, F. fr.,
reg. 516, n° 5069.
(40) A. C. BINCHE, reg. aux délibérations, p. 185 et A. E. MONS, F. fr.,
reg. 516, n° 6769.
(41) A. C. BINCHE, reg. aux délibérations, p. 187.
(42) Ibidem, pp. 150-151.
(43) A. E. MONS, F. fr., reg. 516, n° 5634.
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