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[6] Ibidem, p. 38, fig. 7.
[7] Ibidem, p. 38, fig. 1 ; voir aussi A. M a e s e n , Umbangu, A rt du Congo au Musée
Royal de l’Afrique Centrale. Cultura, Bruxelles, pl. 2.
[8] Pierre Verly a récolté plusieurs de ces statues dans les cimetières abandonnés
près de M atadi dans les années 1950. L’Institut des Musées nationaux du Zaïre
fit de nouvelles découvertes au nord de Borna (entre Kidiaki et Teye Kikuli)
en 1973, parm i lesquelles trois statues funéraires in situ, un anneau funéraire
et des céramiques originales. Les plus anciennes sculptures en pierre, collectées
par l’explorateur Guiseppe C orona vers 1887, sont au Musée Luigi Pigorini à
Rome.
[9] Catalogue Trésors d ’Afrique, pp. 54-55, fig. 17 et 18 ; voir aussi, pour le premier
masque, A. M a e s e n , Umbangu, pl. 6.
[10] A. M a e s e n , Umbangu, pl. 12 et Catalogue Trésors d ’Afrique, p. 101, fig. 66.
[11] Les yeux eux-mêmes symbolisent différents états de la force fécondante du soleil.
La coiffure, l’usage du kaolin, le cycle lunaire, les yeux exorbités renvoient à
la nouvelle lune et à la pleine lune. Les chants, les danses et les roulements de
tam bours s’exécutent suivant un rythme précis : de l’éveil à la vie à la croissance,
au processus de guérison et à la transmission de la force vitale des ancêtres à
leurs descendants. R. D e v i s c h , Catalogue Trésors d ’Afrique, pp. 306-307.
[12] Masque, de 60 cm x 40 cm., collecté en 1932 par le R.P. O. Butruye.
[13] Catalogue Trésors d ’Afrique, p. 91, fig. 56 et A. M a e s e n , Umbangu, pl. 10.
[14] Voir par exemple Catalogue Trésors d ’Afrique, p. 114, fig. 82.
[15] Ibidem, p. 109, fig. 74 à 76 ; A. M a e s e n , Umbangu, pl. 16a.
[16] Catalogue Trésors d ’Afrique, p. 108, fig. 73 ; A. M a e s e n , Um bangu, pl. 16b.
[17] Catalogue Trésors d ’Afrique, p. 116, fig. 83. Commentaire de Z. S . S t r o t h e r .
[18] Il faut distinguer les sociétés liées par des affinités culturelles et linguistiques avec
les Bushoong comme les Ngende, les Pysang, les Bubaang, et les Bieeng, des
autres groupes périphériques, tels les Showa, les Ngongo, les Lule. Depuis le
xvne siècle, les rois Bushoong régnent en maîtres absolus sur le royaume.
[19] Ces statues sont étudiées par J. C o r n e t 1982. A rt Royal Kuba. Milan, éd. Sipiel,
chap. III, pp. 49-124 ; A. M a e s e n , Umbangu, pl. 19.
[20] Catalogue Trésors d ’Afrique, p. 159, fig. 125.
[21] Woot est représenté par le masque M osh am booy m u shall.
[22] Catalogue Trésors d ’Afrique, p. 158, fig. 126 ; A. M a e s e n , Umbangu, pl. 21.
[23] D ’origine Shoowa, ce masque représente Mweel, la sœ ur épouse du roi.
[24] Catalogue Trésors d ’Afrique, p. 157, fig. 127.
[25] Ibidem, p. 164, fig. 131.
[26] Ibidem, p. 126, fig. 91. Collecté par le docteur Fourche dans les années 30 au
Kasaï méridional.
[27] Ibidem, p. 127, fig. 92 ; commenté par Gerhard K ubik, pp. 322-323.
[28] De nos jours, le masque est confié à des danseurs itinérants dont la profession
héréditaire se transm et d ’oncle à neveu.
[29] Catalogue Trésors d ’Afrique, p. 129, fig. 94.
[30] Ibidem, pp. 130-131, fig. 97 ; A. M a e s e n , Umbangu, pl. 30.
[31] Bien que collecté près de Sandoa par Ch. Williame entre 1913 et 1915, cet objet
se rattache néanmoins au style de Moxico, dans la province orientale de l’Angola.
Vers 1860, les Cokwe ont émigré vers le nord ; cet objet en serait une illustration.