Rapport du Groupe-conseil sur l'octroi des contrats municipaux
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<strong>Groupe</strong>-<strong>conseil</strong> <strong>sur</strong> l’octroi <strong>des</strong> <strong>contrats</strong> <strong>municipaux</strong> – Mars 2010<br />
seuil serait établi à 10 000 $ (et 20 000 $ pour les travaux publics), en Ontario il s’établirait plutôt à<br />
100 000 $. Et dans les provinces de l’Ouest canadien, il s’établirait à 75 000 $ ou 100 000 $ pour les<br />
<strong>contrats</strong> de services et d’approvisionnement, et à 200 000 $ ou 250 000 $ pour les <strong>contrats</strong> de<br />
construction.<br />
En dernier lieu, il faut mentionner un élément particulièrement frappant issu <strong>des</strong> réponses données par<br />
divers ministères chargés <strong>des</strong> affaires municipales dans les autres provinces canadiennes : la majorité<br />
d’entre elles ne comptent aucune ressource humaine entièrement dédiée aux politiques contractuelles ou<br />
au soutien technique aux municipalités en matière contractuelle! Le Québec ne fait d’ailleurs pas<br />
exception. Seule la Nouvelle–Écosse a indiqué que quatre personnes fournissaient spécifiquement ces<br />
services aux organismes <strong>municipaux</strong>. Lorsque l’on considère l’ampleur et l’importance stratégique de ce<br />
dossier, cela semble presque inconcevable. Aussi, faudrait-il procéder à un examen approfondi <strong>des</strong> cadres<br />
normatifs en vigueur dans les autres provinces avant de tirer <strong>des</strong> conclusions définitives de cette enquête<br />
sommaire.<br />
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