th`ese de doctorat - Neurosciences Cognitives & Imagerie Cérébrale ...
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Table <strong>de</strong>s gures121.5 L'organisation microscopique dière selon que l'on se place au sommetd'un gyrus ou au fond d'un sillon comme on peut le voir sur cette coupehistologique du cortex pré-frontal d'un singe rhésus (extrait <strong>de</strong> [81]). Lesagrandissements <strong>de</strong> droite correspon<strong>de</strong>nt aux cadres visibles dans la partiegauche. Cette étu<strong>de</strong> montre aussi que l'épaisseur du cortex (obtenue àl'ai<strong>de</strong> du logiciel FREESURFER) est plus importante au sommet <strong>de</strong>s gyri,en relation avec une <strong>de</strong>nsité neuronale accrue. . . . . . . . . . . . . . . . . 371.6 Toro et al. [146] proposent <strong>de</strong> mesurer le <strong>de</strong>gré <strong>de</strong> plissement local commele rapport entre la surface <strong>de</strong> la partie du cortex contenue dans une sphèreet celle d'un disque <strong>de</strong> même rayon (à gauche). A droite : le <strong>de</strong>gré <strong>de</strong> plissementlocal montre un gradient rostro-caudal avec une gyrication maximaleau niveau du lobe pariétal. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 381.7 A gauche : échantillon d'hémisphères dont les sillons ont été i<strong>de</strong>ntiés parun expert. Chaque couleur correspond à un sillon que l'on peut retrouversur tous les hémisphères. On peut ainsi constater la variabilité apparente<strong>de</strong>s sillons entre individus. Source : thèse D.Rivière [123]. A droite : unrecalage linéaire appliqué à 20 cerveaux (dont les 9 <strong>de</strong> gauche) permet <strong>de</strong>compenser les diérences globales. La variabilité résiduelle est illustrée parla dispersion <strong>de</strong>s sillons sur plusieurs centimètres. . . . . . . . . . . . . . . 391.8 Le cortex <strong>de</strong>s mammifères a une topologie sphérique, on peut donc gonerla surface corticale <strong>de</strong> n'importe quel individu jusqu'à obtenir une sphère. Lavariabilité interindividuelle observée en superposant les surfaces corticales<strong>de</strong> <strong>de</strong>ux sujets (en haut à gauche) est alors progressivement eacée commeon le voit sur la partie inférieure et on peut lier les surfaces par une simpleprojection (en haut à droite). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 401.9 Etu<strong>de</strong> <strong>de</strong> la dynamique du plissement d'après <strong>de</strong>s IRM <strong>de</strong> grands prématurés[57]. Chaque ligne correspond à l'âge donné à gauche en semaines (week).Colonne <strong>de</strong> gauche : évolution <strong>de</strong> la courbure <strong>de</strong> la surface corticale. 4colonnes <strong>de</strong> droite : apparition progressive <strong>de</strong>s sillons corticaux. . . . . . . . 411.10 Modèle <strong>de</strong> plissements proposé par Van Essen [154] reposant sur les tensionsmécaniques exercées par les axones sur la surface corticale : les régionsfortement interconnectées se rapprochent progressivement, repoussantles zones moins connectées vers l'extérieur (évolution <strong>de</strong> gauche à droite). . 42