Géologie de l'Antépermien de Vanoise septentrionale (zone ...

tel-00011367, version 2 - 27 Dec 2010
FACIES svlsN BN % alw u/sN u/sN u/sN u/sN /sN ' 42 014~
NUMERO 79 38 80 109 81 38 81 50 81 51 81 88 81 93 81 98 81 123 81 126 81 128 83 118 83 119
MAJEURS (%)
Si02 61.88 63.86
A1203 14.10 15.14
Fe203 tot. 8.69 6.35
Mn0 0.10 0.11
Mg0 2.61 2.67
Ca0 1.00 3.51
Na20 4.92 4.43
K20 0.99 1.33
Ti02 1.02 0.87
P2°5 0.37 0.14
P-F 2.82 2.04
TOT-MAJ, 98,50 100,45 99,27 98,s 98,94 99,lO 100,45 100,21 99,61 99,62 99,89 98,55 98,94
TRACES (ppm)
Ba 197 463 3 2 3 5 37 58 3 5 3 9 52 582 3 4 170 54
Co 4 5 4 5 47 109 131 548 112 106 136 57 9 1 150 45
Cr 1 O 138 10 288 260 2 16 23 5 87 113 12 1 84 5 225 Y
Cu 5 5 5 16 60 46 29 23 4 0 5 47 5 5
Ni 19 3 3 15 105 115 206 96 5 2 63 47 7 3 27 7 O
Sr 44 294 47 551 546 3 26 6 1 O 47 1 4 54 74 151 5 208
V 82 137 97 284 273 3 O0 278 344 312 133 24 1 5 3 29
Rb 26 3 5 5 5 5 5 5 5 5 69 13 1 O 5
Tabl. 2 - Anaiynes chimiques de mches du secteur de la Pointe des Chades (numéros 80 xxx et 81 xxx : dues B ~eruckio-parison, 1984 ; points de
prélèvement en fig. 25 1 descriptions des roches en annexe 1).
Les analyses de schistes noirs, gris, ou verts, révèlent des teneurs élevées en soude, fait général dans les métasédiments antépermiens de Vanoise
septentrionale. Les roches vertes, probables sills au sein des sédiments précédents, ont des teneurs élevées en fer et titane, le moins riche en ces
éléments étant l'échantillon 81 128, qui est aussi le plus riche en Al, et le plus bas dans la série : il se rapprocherait des gabbros. On trouvera dana
le chapitre Ill une interprétation de ces diverses familles géochimiquen
Deux analyses seulement (81 123 et 83 118) montrent un pourcentage de Na20 infCrieur B celui de K20, et dans un autre cas (81 126) ce dernier
est relativement élevé. Comme A Plan Richard, ces roches "anormales' ont 6th prClevées B proximité de la coupure q2-SN. La zonation
chimiostratigraphique mise en Cvidence B Plan Richard se retrouverait donc ici, pour autant que permette d'en juger la maille assez lâche de
l'échantillonnage : celui-ci, effectué A titre exploratoire et par deux auteurs différents, mCriterait d'être complété, accompagnC d'une analyse
lithostratigraphique plus fine. Entre autres questions, la nature des roches de type q2, ou la distinction lithostratigraphique entre les roches basiques
mises en place avant et après le dépôt des schistes noirs, pourraient ici trouver des éléments de réponse.
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