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Th`ese de Doctorat L'ECOLE CENTRALE DE LYON Ecole Doctorale ...

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CHAPITRE 2. ETU<strong>DE</strong> <strong>DE</strong>S QUANTITÉS STATISTIQUES IMPORTANTES POUR LE MÉLANGE TURBULENTDNS LES (CH-L) LES (C-SH)Re λ = 65 0.632 0.744 0.745Re λ = 94 0.637 0.743 0.740Re λ = 135 0.708 0.763 0.785Tableau 2.7: Rapport entre l’échelle <strong>de</strong> temps Lagrangienne et l’échelle temporelle <strong>de</strong>sgros tourbillons.2.7 ConclusionNous avons d’abord développé une technique précise, fondée sur une interpolationavec <strong>de</strong>s polynômes <strong>de</strong> Lagrange <strong>de</strong> <strong>de</strong>gré 7 , <strong>de</strong> suivi <strong>de</strong>s particules dans un écoulementturbulent. Ensuite nous avons effectué une série <strong>de</strong> simulations numériques directes et<strong>de</strong> simulations <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s échelles. Les situations physiques concernent le cas <strong>de</strong> laturbulence homogène en décroissance et le cas <strong>de</strong> la turbulence maintenue statistiquementstationnaire.Nous avons jusqu’à présent caractérisé systématiquement les gran<strong>de</strong>urs importantespour la diffusion <strong>de</strong> scalaire et le mélange turbulent avec ou sans réactions chimiques tellesque les corrélations <strong>de</strong> vitesse Eulérienne et Lagrangienne, les échelles intégrales temporellesassociées aux différentes tailles <strong>de</strong> structures turbulentes en <strong>de</strong>s points différentset en <strong>de</strong>s temps différents dans le cadre d’une turbulence homogène isotrope, par la simulationdirecte et par la simulation <strong>de</strong>s gran<strong>de</strong>s échelles. Nous avons constaté que:- Le champ <strong>de</strong> vitesse est bien simulé par la DNS et la LES compte tenu d’une comparaisonavec les résultats <strong>de</strong> l’expérience (Comte-Bellot [23,39]).- Les corrélations <strong>de</strong> vitesse obtenues en DNS sont en bon accord avec l’analysethéorique (Kaneda [5,27–29] et Hinze [14]) .- En LES, différents modèles <strong>de</strong> sous-maille, Chollet & Lesieur [10,12] et Cui & Shao[11], donnent les corrélations <strong>de</strong> vitesses quasi i<strong>de</strong>ntiques.- La corrélation <strong>de</strong> vitesse Eulérienne n’est pas i<strong>de</strong>ntique à la corrélation Lagrangienne,pour <strong>de</strong>s temps courts et <strong>de</strong>s temps longs.- Les relations entre les échelles intégrales temporelles sont cohérentes avec les résultatsantérieurs (Yeung [19,31,32,42]).- Il y a <strong>de</strong>s différences importantes sur les corrélations <strong>de</strong> vitesse et sur les échelles <strong>de</strong>temps intégrales, entre la simulation DNS et la LES. En LES, ces différences vont perturber<strong>de</strong> manière significative, la dispersion ou diffusion Lagrangienne d’espèces, commenous verrons dans le <strong>de</strong>rnier chapitre <strong>de</strong> cette thèse.83

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