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Les liaisons fructueuses - RUIG-GIAN

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Une rencontre entre une équipe de recherche et des représentants du <strong>RUIG</strong> à la Villa Rigot : de gauche à droite<br />

Alexandre Kalache, Edouard Dommen, Karina Kaindl, Charles-Henri Rapin et Randall Harbour.<br />

Très régulièrement, les membres d’une équipe se rencontraient<br />

à la Villa Rigot pour des séances de travail.<br />

Le Président du Conseil de Fondation, le Président du<br />

Comité scientifique ou le Secrétaire exécutif y assistaient<br />

lorsque la situation le demandait ou l’équipe<br />

de recherche souhaitait la présence d’un représentant<br />

du <strong>RUIG</strong>. Plus souvent, le <strong>RUIG</strong> se limitait à mettre<br />

à disposition des chercheurs sa salle de réunions<br />

ainsi qu’un cadre chaleureux et à exprimer quelques<br />

mots de bienvenue, laissant ensuite l’équipe faire son<br />

travail. Lors des «soirées d’information» organisées en<br />

automne pour lancer l’Appel d’offres du printemps<br />

suivant, le <strong>RUIG</strong> invitait une équipe de recherche<br />

pour partager avec les candidats potentiels son<br />

expérience dans le cadre d’un projet soutenu par le<br />

<strong>RUIG</strong>.<br />

Enfin, à deux reprises en 2006, le <strong>RUIG</strong> organisa<br />

des soirées dans la «discothèque» des sous-sols de la<br />

Villa Rigot autour de thématiques ciblées. Le but<br />

était surtout de faciliter de nouveaux contacts entre<br />

chercheurs et praticiens travaillant sur une même<br />

thématique mais provenant de milieux différents. Un<br />

objectif annexe était de renforcer les liens entre les<br />

équipes déjà constituées et plus largement entre les<br />

personnes impliquées dans «l’expérience <strong>RUIG</strong>». Des<br />

membres des équipes de recherche soutenues par le<br />

<strong>RUIG</strong>, du Conseil de Fondation et du Comité scientifique<br />

ainsi que des personnes souhaitant déposer<br />

une proposition de projet étaient invités à ces soirées.<br />

Un vrai travail de «networking» s’effectua lors de ces<br />

soirées conviviales, joignant l’utile à l’agréable.<br />

Bien que le <strong>RUIG</strong> suggérât qu’un projet comportât<br />

plusieurs partenaires, il conseillait de ne pas ériger en<br />

objectif la multiplication de ceux-ci. En effet, chaque<br />

partenaire de plus impliquait une part supplémentaire<br />

de négociations et de coordination. Le nombre de partenaires<br />

devait obéir à une certaine logique de faisabilité<br />

et dépendait de la nature du projet. Le sujet, la<br />

taille du projet, les partenaires potentiels et disponibles<br />

sur Genève, ainsi que les besoins du projet en<br />

termes d’interdisciplinarité constituaient des paramètres<br />

cruciaux dans la détermination du nombre de<br />

partenaires. Le <strong>RUIG</strong> préconisait que toute initiative<br />

visant à réunir un grand nombre de partenaires dans<br />

le cadre d’un projet soit cohérente sur le plan scientifique<br />

et administratif. Pour certains projets, comme<br />

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