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Les impressions d'ensemble.Le programme a coûté environ 300 000 € par an. Si cette somme nous étaitdonnée aujourd’hui, qu'en ferions-nous ? Je n’affecterais pas cette somme pourrecruter des experts de haut niveau parce que nous n'aurions pas le panoramaremarquable que nous avons eu au cours de ces 48 heures. Deuxièmement, jeréserverais sûrement un budget pour des rencontres beaucoup plus fréquentes, lacohabitation dont a parlé Claude Gilbert doit vivre et demande un minimum demoyens. Se voir plus régulièrement permettrait d‘éviter des décalages et de savoirce que font les uns et les autres. Je réserverais un budget, non pas de rechercheavec appel à propositions, mais un budget d’expertise et d’études dédié enparticulier à l’économie du risque.Des demandes de valorisation.Une synthèse du programme devrait être présentée :- au groupe interministériel sur les risques que préside Thierry Trouvé, leDirecteur des risques, qui se réunit régulièrement.- dans les clubs régionaux de bassin de risques animés par la Direction desrisques, qui regroupent les agents techniques de l’État et parfois lescollectivités. Ce sont des bons relais vis-à-vis des agents publics.Il faudrait qu’à ces synthèses, soient annexées les coordonnées des chercheurs etque les informations soient ensuite régionalisées.De façon plus conséquente, je proposerais que des modules de formation continuesoient montés à partir de ces deux jours de colloque dans les écoles d’ingénieursou les universités. La table ronde d’hier et celle de ce matin ont les élémentsnécessaires pour monter un séminaire sur la scène du risque, la typologie desdifférents acteurs, comment négocier avec eux.Enfin, certaines recherches demandent encore un effort pour être opérationnelleset donc un budget supplémentaire. Je vais en citer trois :- l’échelle des risques dont Claire Arnal a parlé. Il faut l’échantillonner. Unefois cette opération réalisée, les inspections pourraient l’utiliser lors desretours d’expérience.- l’observatoire des alertes de Chateauraynaud. Ma proposition serait que,pour deux ou trois ans, avec un bilan annuel suspensif, une directionaccepte de financer la recherche sur les thèmes en train d'émerger, ceuxqui disparaissent, etc.- la documentation accumulée sur les retours d’expérience, les directionsdevant bâtir une doctrine en termes d’archivage et de diffusion.Des pistes pour la suite.Eric Vindimian a affirmé que les programmes RDT, ERANET, etc. assureraient lasuite au sein du MEDD. La DRAST est en train de lancer une grande enquête surles besoins de recherche en matière de risques.232

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