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RAPPORT D'ACTIVITÉ 2003 - WWW Ircam

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<strong>RAPPORT</strong> DETAILLEMEDIATHEQUEETUDES ET METHODESsites web, des listes de diffusion par courrier électroniquese mettent en place, autant pour l’usage interne qu’externe.Ce développement de sites a contribué, sans conteste, à lavisibilité de l’<strong>Ircam</strong>. Mais ce foisonnement, qui s’estmanifesté par le rajout de sites indépendants, gérés (quandils le sont…) - sans moyens spécifiques (techniques, humains)- par une ou plusieurs personnes avec des niveaux deresponsabilisation et de connaissances techniques inégales,parfois sans supervision éditoriale institutionnelle, a montréles limites de l’approche actuelle et fait apparaître desproblèmes :- actualisation : le volume des contenus, l’accroissement desactivités de l’Institut et le manque d’organisation,d’outils et de personnel responsable accroît la quantité desdonnées qui ne sont plus à jour sur le site ;- redondance de l’information : il n’existe aucun mécanismepermettant de réutiliser de l’information sans la recopier,ce qui magnifie encore le problème d’actualisation ;- difficulté de contrôler les accès : il n’y a pas de gestionuniforme des droits d’accès aux contenus, ce qui rend plusdifficile la mise en œuvre de ces contrôles ;- rigidité : les sites ne s’adaptent pas aux visiteurs etprésentent la même vue, qu’on y vienne pour la première foisou pour une utilisation régulière ;- graphisme : quand bien même la multiplicité des sites peutse justifier pour certaines raisons techniques, lasédimentation crée un ensemble visuellement hétéroclite,dont il est quasiment impossible de changer le graphismesans des refontes individuelles et lourdes ;- infrastructure technique : les pages web, produites par desoutils hétérogènes, ne sont plus aux normes actuelles.Avec le temps, le web reflète de plus en plus les activités del’Institut (en sus de l’événementiel), tels les projets derecherche et de développement en cours. Or il n’existe pas, àl’intérieur de l’organisme, un « système » permettant demutualiser certains de ces travaux, ni, a fortiori, d’engarder une trace. Ceci ne veut pas dire qu’aucun outil n’estutilisé, mais, comme pour le web, une disparité (dans lesoutils) et/ou une redondance (des données) a parfois cours,entraînant une perte de temps notoire (dans les tentatives desynchronisation plus ou moins manuelles) : pour exemple, lesbases de données (auxquelles est consacré un document séparé)en sont un symptôme flagrant.L’étude, débutée par Delphine Oster (département deValorisation) sur les contenus, puis avec Vincent Gourson(Études et méthodes) pour l’infrastructure technologique,vient se placer dans ce contexte. Elle vise à proposer undispositif (technique, administratif et humain) cherchant àpallier les problèmes exposés ci-dessus, tout en capitalisantl’acquis et offrant de nouvelles méthodes de travail, autanten interne que pour leur affichage externe, dans deux optiquesprincipales (qui sont détaillées plus loin dans le présentdocument) :- accroître et fidéliser le public, en offrant un site utileet attractif ;- 286 -

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