Revue celtique - National Library of Scotland

de Pabbaye de Beauport. 403
BnTï/af, nomde paroisse, 1214, p. 70 ; 1219, p. 72; ii4i,p. iio;
1248, p. 129.
Brisel, «guerre», surnom de Cuillelmus, 1292, p. 211. Voyez
Bresel.
Brinn [clausum dictum) , 1263, p. 165.
Brochemer, surnom de Guillelmus, 1230, p. 88.
Brunaz dans Ker-Brunaz, 1240, p. 109. Voyez le suivant.
Brunaz [villa), 1253, p. 144. Voyez le précédent.
Baron [villa), 1 184-1 189, p. 8. Le même que les suivants.
Baron, dans K-aier-en-Buron, 1202', p. 47;
Quar-en-Buron, 126],
p. 167; Ker-am-Buron, 1266, p. 173; Kar-a-Buron, 1271, p. 192.
Voyez le précédent et les suiyants.
Buram dans Car-a-Burum, 1202, p. 45. Voyez les précédents et les
suivants.
Burun dans Kar-a-Barun, 1239, p. 107; 1271, p. 192. Voyez les
précédents. C'est sous cette forme que ce nom apparaît dans le Lai da
frêne où Marie de France raconte les aventures d'un seigneur breton
appelé Buran (t. I, p. 156).
Baziou [villa], 1264, p. 169, 170.
Cad, dam Cad-oualain, 1233, p. 98; Cad-oret, 1298, p. 216, Cadvezen^
mGc)^ p. 184; Cad-uguel, 1237^ p. 103; est identique au thème
gaulois, catu veut dire « bataille «, est encore écrit cat dans les chartes
du ix*" siècle conservées par le Cart. de Redon. Voyez kad.
Cadiou, surnom à'Eudo, 1255, p. 142; — nom d'homme, 1284,
p. 206.
Cad-oret, surnom de Johannes, 1298, p. 216 ; apparaît déjà sous cette
forme dans charte de 1 1 24-1 1 2 , Cart. de Redon, 5 p. 3 5 , est écrit Cat-
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woret dans les chartes du ix» siècle conservées par ce cartulaire ; et
paraît signifier « premier dans le combat ».
C^^-oii^/^/n, surnom à'Enisanas, 1233, p. 98; est écv\t Cat-wallon
dans le Cart. de Redon et paraît signifier « puissant dans le combat ».
Cad-aguel, surnom d'Etienne, 1237, p. 103.
Cad-vezen [villa), 1269, p. 184. Ce nom est identique à un nom
d'homme pour lequel le Cart. de Redon donne trois orthographes : dans
des chartes du ix* siècle Cat-weten, p. 17, 20, 54, 65, 81, 97, etc.,
Cat-ivethen, p. 6, 15, 204, 10$, dans une charte du xi'^ siècle, Cat-gue-
then, p. 231. Le second terme semble identique au breton armoricain
gaezn, aujourd'hui gwen., fort, souple, difficile à rompre ; en gallois
gwydn. Si l'on admet cette traduction qui, du reste, n'est pas sans