TOUT - Noeux-Mémoire

Auguste COCQUERELLE est à la fois charron et charpentier.
François CLEMENT, fils de Marc, l’ancien maçon, reprend le métier de son père.
Création d’un Tribunal de 1ère instance et une justice de paix à BÉTHUNE.
1791.
Fuite du roi à Varennes.
Première assemblée législative.
Pierre Hubert LALOYEZ quitte ses fonctions de sergent de la commune. Un certain OBRY
assume l’intérim avant la nomination d’Aimable LALOYER ou LALOYEZ, fils du
précédent. Il assumera ses fonctions pendant 22 ans.
Le 30 janvier, la Municipalité adresse un rapport au Directoire du District de BÉTHUNE et
demande à reconstruire l’église comme il conviendra. Nulle suite n’a été donnée.
Marie-Anne Thérèse BAILLI est qualifiée de sage-dame.
Novembre 1792. Visite de ROBESPIERRE à BÉTHUNE.
1792. Noeux était découpée en de nombreux fiefs qui étaient de la mouvance du château de
Béthune.
- le fief d'AGNIER ou d’AGNIERE qui appartint aux ANSART puis aux BOUTON de
Béthune.
- le fief de DOMICOURT ou d’OMICOURT (MONEU, de COURONNEL, Le VASSEUR,
de MELUN, de THIENNES)
- le fief d’Hingettes (CARDON, GENET, de BERTOUL, MONSEMBREUIL)
1792. L'Eglise possédait également des terres à Noeux.
- le Chapitre d'Arras.
- le Chapitre de Béthune.
- l'Abbaye d'Anchin.
- le Prieuré du PERROY à Béthune.
- l'Abbaye SAINT-VAAST d'Arras.
1792. D'autres propriétaires de terres à Noeux.
- la Charité NOTRE-DAME, confrérie de la paroisse.
- la table des pauvres.
- les Hospitaliers de Hautavesnes.
1792.
Premiers combats depuis la Révolution.
Abolition de la Royauté.
675 habitants.
1792. Labourse et Verquigneul deviennent succursales de Noeux et Maître Louis Joseph
BROCHE signe du titre de curé de Noeux, Verquigneul et Labourse et signe comme Officier
public (AM).
18 octobre 1792. Le desservant de la paroisse signe le dernier acte de baptême à titre de curé
(27 Vendémiaire an I), il remet ses lettres de prêtrise pour devenir officier public.