TOUT - Noeux-Mémoire

services aux écoles maternelles et 27 balayeuses.
Bureau de la Main d’œuvre exerce son influence sur les communes de : NOEUX,
HERSIN, SAINS, BARLIN, DROUVIN, HOUCHIN, VAUDRICOURT,
LABOURSE, SAILLY, VERMELLES, NOYELLES lez VERMELLES, VERQUIN
et VERQUIGNEUL.
POSTES ET TELECOMMUNICATIONS : 22 employés
E. D. F. 12 employés, secteur d’influence : NOEUX, HERSIN, SAINS, BARLIN.
S. N. C. F. La gare est passée en 4 ème classe depuis 1961, l’effectif d’exploitation :
20 employés y compris le chef de gare (ils étaient 40 en 1961), 15 de ces employés
viennent de l’extérieur. L’effectif entretien (aiguilleurs, etc.) ne dépend pas de
NOEUX. Le trafic marchandises reste stationnaire. Le trafic voyageurs est presque
centré sur les trajets longue distance.
ENSEIGNEMENT : Sur les 771 élèves du Collège d’enseignement technique de
BÉTHUNE : 150 viennent de NOEUX, soit 20% environ, 105 viennent de BARLIN,
60 viennent de SAINS, 53 viennent d’HERSIN, 22 viennent de VERQUIN,
VERQUIGNEUL, SAILLY. 390, soit plus de 50% viennent de l’ancienne concession
de NOEUX. Actuellement, pour les élèves qui font des études secondaires, les cars
drainent vers le lycée de BRUAY les élèves de BARLIN, d’autres circuits drainent
vers BULLY et LENS les élèves de SAINS. Quand le lycée technique sera installé
dans notre ville, ces chiffres ci-dessus nous font entrevoir la répartition de sa clientèle.
Il faudra prévoir le ramassage scolaire par autobus des élèves des environs. Les
lycéens pourront profiter des ces transports. NOEUX deviendra un centre scolaire
important, des cantines devront pouvoir accueillir le midi tous ces enfants.
POUR FAIRE DE NOEUX UN CENTRE SUR UN AXE IMPORTANT :
Chapitre 1- LES ROUTES
L’élargissement de la rue Nationale nous assure pour une décade le passage de
l’important trafic de notre ville. Cette route est si fréquentée qu’un organisme est
récemment créé en vue de la réalisation d’une route CALAIS -VITRY LE FRANCOIS
et d’en inscrire la réalisation au 5 ème plan. Actuellement, on évalue à 2000 à l’heure
le nombre des véhicules qui traversent notre ville dans les deux sens, aux heures de
pointe. En 1962, 420 000 voitures anglaises sont débarquées sur la cote, on en prévoit
500 000 en 1963 ; la majorité emprunte notre nationale pour se rendre à PARIS puis
dans le sud-est.
LA RUE NATIONALE DOIT ETRE A LA HAUTEUR DE SON TRAFIC :
1° Mais des points restent dangereux : Face à la pâture DENNETIERE, l’inclinaison
du virage n’est pas suffisante et c’est à cet endroit que la piste cyclable se termine,
obligeant les 2 roues à traverser la chaussée. Le carrefour à la hauteur de la rue
SALENGRO et de la rue des NORMANDS, mériterait une réglementation.
2 ° Pour le stationnement, les parkings sont suffisants. Certes, à chaque extrémité de la
ville se trouvent les places ST MARTIN et STE Barbe, encore faut-il que la
signalisation PARKING y soit en bonne place et que le traçage des emplacements des
voitures et des voies d’accès soit bien évident. Mais entre deux, qu’avons-nous à
proposer en dehors du coté autorisé de la nationale? Face à la caisse de secours, par
exemple, on constate des agglutinats de voitures stationnées où elles peuvent. Deux