Simulation numérique du contrôle actif par jets pulsés - Bibliothèque ...
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¿<br />
0.5<br />
0.4<br />
0.3<br />
0.2<br />
0.1<br />
o<br />
-0.1<br />
-02<br />
-0.3<br />
-0.4<br />
-0.5<br />
CHAPITRE 2. SIMULATIONS DE L'ÉCOULEMENT AUTOUR DU CYLINDRE<br />
o 0.002 0.004 0.006 0008<br />
Temps (s)<br />
¿3<br />
0.57<br />
0.56<br />
0.55<br />
0.54<br />
0.53<br />
0.52<br />
051<br />
0.5<br />
0.49<br />
0.002 0004<br />
FIG. 2.5: Evolution <strong>du</strong> C et <strong>du</strong> C au cours dii temps.<br />
X. L'utilisation de ces trois méthodes est ici redondante, mais il convient néanmoins de<br />
les valider car, même si le calcul direct de la période est ici plus simple, seules les deux<br />
dernières méthodes sont utilisables dans les cas avec <strong>contrôle</strong>, le signal de C n'étant alors<br />
plus mono-fréquentiel.<br />
Dans ce cas', les trois méthodes s'accordent à estimer cette fréquence à 187.11 Hz, soit<br />
un nombre de Strouhal StK = fKD/UOO = 0.3025.<br />
Com<strong>par</strong>aison avec les expériences<br />
0.01 0.012<br />
0.006 0.008 0.01 0.012<br />
Temps (s)<br />
Les résultats principaux de cette simulation sont résumés dans le tableau 2.2, et corn<strong>par</strong>és<br />
avec les résultats expérimentaux de ACHENBACH [2] et de BÉRA & SUNYACH [131.<br />
C ¿C StK<br />
<strong>Simulation</strong>s NS2D 0.5296 0.508 0.3025<br />
Expé. ACHENBACH 1.2 - 0.21<br />
Expé. SUNYACH & BÉRA (corrigé) 0.78 - 0.26<br />
TAB. 2.2: Résultats globaux issus de la simulation, com<strong>par</strong>aison aux expériences.<br />
La com<strong>par</strong>aison de ces valeurs obtenues <strong>par</strong> le calcul ne peut se faire avec les expériences<br />
qu'en prenant en compte le fait que la transition est ici déclenchée. En effet, les<br />
expériences à même nombre de Reynolds donnent une valeur de 1.2 pour le C d'après<br />
ACHENBACH [2], et une valeur de 0.21 pour StK, mais ces valeurs sontobtenues pour<br />
une transition libre qui se pro<strong>du</strong>it après le décollement (voir chapitre 1). Les valeurs trop<br />
faibles de C relevées dans la plu<strong>par</strong>t des simulations de type URANS avec un modèle<br />
k - pour cette gamme de nombre de Reynolds s'expliquent <strong>par</strong> une mauvaise prédiction<br />
<strong>du</strong> point de transition des couches limites. Le point de transition peut en effet être déterminé<br />
de deux façons différentes dans un code k - e : soit tout l'écoulement est supposé<br />
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