sous-marins Des bateaux

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ncyclopédie mondiale des bateaux sous-marins
Pour pouvoir effectuer des manutentions à l’extérieur du bateau, des manches de cuir souple permettaient
de passer les bras de chaque côté du dôme. Une lampe à gaz devait permettre de voir sous l’eau
et pour faciliter le travail une petite galerie permettait de stocker à portée de main outils et objets
récupérés.
Nous retrouverons cette idée, réalisée cette fois, en 1877 avec
le « podoscaphe » du russe Drzewiecki.
En 1856, DESCHAMPS présenta à la marine Française
un autre projet amélioré du précèdent, avec un lest largable
et une propulsion plus élaborée, une variante prévoyant
même des pompes foulantes - aspirantes.
Comme la guerre entre la France et la Russie était terminée, l’inventeur ne put impliquer son sousmarin
à la guerre sous-marine. Il se résolut donc à l’utiliser dans la recherche et le renflouement
d’épaves.
Il réussit à construire son second sous-marin avec l’aide d’un officier et tenta quelques essais qui finirent
par le naufrage pur et simple de la machine et des espoirs de l’inventeur qui faillit perdre la vie
en tentant de renflouer sa machine.
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L’on trouve dans les archives de la construction navale
française, un curieux projet rapporté par Maurice Delpeuch
et attribué à « un jeune détenu du pénitencier
d’Ajaccio », datant de 1854, que l’auteur adressa anonymement
au ministère dont il espérait sans doute un
bénéfice de peine. Ce bâtiment, comme le montre son
dessin, n’offrait guère d’originalité : hélice manuelle
agissant par traction puisque placée à l’avant, lest mobile,
ballast en double fond, etc. Les dimensions étaient raisonnables : environ 9 mètres de long sur 3m 50
de diamètre.
L’innovation résidait surtout par un projet de torpille flottante l’accompagnant, qui se propulsait verticalement
vers la surface par échappement d’air sous-pression.
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Chapitre 7 - PERIODE DE LA GUERRE DE CRIMÉE LA GUERRE DE SÉCESSION