2.6.2 – <strong>La</strong> lutte contre <strong>la</strong> frau<strong>de</strong> au mariageLes postes consu<strong>la</strong>ires français à l’étranger, entre autres administrations, constatent le développementd’une frau<strong>de</strong> au mariage et par voie <strong>de</strong> conséquence à <strong>la</strong> nationalité française. Cette frau<strong>de</strong> recouvreune double réalité : <strong>les</strong> mariages <strong>de</strong> comp<strong>la</strong>isance, mais aussi <strong>les</strong> mariages forcés.Parallèlement à <strong>la</strong> frau<strong>de</strong> au mariage, <strong>la</strong> frau<strong>de</strong> à l’état civil alimente <strong>de</strong>s détournements <strong>de</strong> procédure.En effet, <strong>les</strong> actes faux ou falsifiés, parfois délivrés avec <strong>la</strong> complicité <strong>de</strong>s autorités loca<strong>les</strong> compétentes,<strong>les</strong> jugements supplétifs ou rectificatifs concernant <strong>de</strong>s naissances ou <strong>de</strong>s filiations fictives et <strong>de</strong>s reconnaissancesmensongères d’enfant viennent souvent à l’appui d’une <strong>de</strong>man<strong>de</strong> <strong>de</strong> visa, <strong>de</strong> regroupementfamilial ou <strong>de</strong> certificat <strong>de</strong> nationalité française.En matière <strong>de</strong> lutte contre <strong>la</strong> frau<strong>de</strong> au mariage, <strong>la</strong> loi n o 2003-119 du 26 novembre 2003 re<strong>la</strong>tive à <strong>la</strong>maîtrise <strong>de</strong> l’immigration, au séjour <strong>de</strong>s étrangers en France et à <strong>la</strong> nationalité avait permis d’améliorer lecadre juridique <strong>de</strong> <strong>la</strong> lutte contre <strong>les</strong> mariages simulés.Tant <strong>la</strong> loi n o 2006-1376 du 14 novembre 2006 re<strong>la</strong>tive au contrôle <strong>de</strong> <strong>la</strong> validité <strong>de</strong>s mariages que <strong>la</strong> loin o 2006-911 du 24 juillet 2006 re<strong>la</strong>tive à l’immigration et à l’intégration ont renforcé <strong>les</strong> moyens <strong>de</strong> luttercontre le détournement du mariage à <strong>de</strong>s fins migratoires. Dans le prolongement <strong>de</strong> ces lois, <strong>la</strong> loi du20 novembre 2007 re<strong>la</strong>tive à <strong>la</strong> maîtrise <strong>de</strong> l’immigration, à l’intégration et à l’asile a poursuivi l’encadrement<strong>de</strong> l’immigration familiale.<strong>La</strong> loi n o 2006-1376 du 14 novembre 2006 re<strong>la</strong>tive au contrôle <strong>de</strong> <strong>la</strong> validité <strong>de</strong>s mariagesS’agissant <strong>de</strong>s mariages contractés en France, <strong>la</strong> loi c<strong>la</strong>rifie <strong>les</strong> formalités préa<strong>la</strong>b<strong>les</strong> au mariage, dontl’accomplissement doit permettre à l’officier <strong>de</strong> l’état civil <strong>de</strong> saisir en temps utile le ministère public s’ilnourrit un doute quant à <strong>la</strong> validité du mariage envisagé. <strong>La</strong> publication <strong>de</strong>s bans et, en cas <strong>de</strong> dispense<strong>de</strong> publication, <strong>la</strong> célébration du mariage, sont subordonnées à <strong>la</strong> constitution d’un dossier completet à l’audition <strong>de</strong>s candidats au mariage. <strong>La</strong> composition du dossier <strong>de</strong> mariage est précisée. Il est enparticulier prévu explicitement que chacun <strong>de</strong>s futurs époux doit justifier <strong>de</strong> son i<strong>de</strong>ntité par une pièced’i<strong>de</strong>ntité officielle. <strong>La</strong> loi facilite <strong>les</strong> auditions <strong>de</strong>s futurs époux lorsque l’un d’eux rési<strong>de</strong> à l’étranger, pouréviter que l’éloignement géographique soit considéré comme un cas <strong>de</strong> dispense d’audition. Enfin <strong>la</strong> loisupprime le dé<strong>la</strong>i <strong>de</strong> caducité d’un an <strong>de</strong> l’opposition du parquet : celle-ci ne cessera <strong>de</strong> produire effetque sur décision du tribunal.S’agissant <strong>de</strong>s mariages contractés par <strong>de</strong>s ressortissants français à l’étranger, <strong>la</strong> loi institue un contrôle<strong>de</strong> validité avant même <strong>la</strong> célébration du mariage et renforce le contrôle effectué dans le cadre <strong>de</strong> <strong>la</strong>procédure <strong>de</strong> transcription à l’état civil.En ce qui concerne <strong>la</strong> célébration, <strong>la</strong> loi exige désormais l’obtention du certificat <strong>de</strong> capacité à mariage,elle-même subordonnée à <strong>la</strong> constitution du dossier, à l’audition <strong>de</strong>s époux et à <strong>la</strong> publication <strong>de</strong>s bansy compris en France lorsque le futur conjoint français y est domicilié. L’audition préa<strong>la</strong>ble <strong>de</strong>s époux estfacilitée. Ainsi, le mariage d’un Français à l’étranger sera soumis à <strong>de</strong>s formalités simi<strong>la</strong>ires à cel<strong>les</strong> va<strong>la</strong>ntpour <strong>les</strong> mariages célébrés en France. L’accomplissement <strong>de</strong> ces formalités doit être l’occasion d’uncontrôle <strong>de</strong> <strong>la</strong> validité a priori du mariage envisagé. L’officier d’état civil pourra saisir le parquet, <strong>la</strong> possibilitéd’opposition du parquet est désormais explicitement prévue, et le parquet disposera pour ce faire d’undé<strong>la</strong>i porté à 2 mois, au lieu <strong>de</strong> 2 mois et 15 jours lorsque le mariage est célébré en France.Certes, l’opposition du parquet n’est pas <strong>de</strong> nature à empêcher l’autorité étrangère <strong>de</strong> célébrer le mariage,mais elle informe <strong>les</strong> futurs époux, avant même <strong>la</strong> célébration, du fait que leur mariage ne respecte pastoutes <strong>les</strong> conditions prévues en droit français et qu’il ne sera pas nécessairement transcrit sur <strong>les</strong> registres<strong>de</strong> l’état civil français. Cette transcription est désormais une condition non seulement pour l’obtentiond’une carte <strong>de</strong> séjour ou <strong>la</strong> naturalisation, mais aussi pour l’opposabilité du mariage aux tiers. <strong>La</strong> loic<strong>la</strong>rifie <strong>les</strong> conditions <strong>de</strong> <strong>la</strong> transcription, notamment dans le cas où le mariage a été célébré malgré une60
opposition du ministère public (<strong>les</strong> époux <strong>de</strong>vront alors obtenir une décision <strong>de</strong> mainlevée judiciaire) etdans le cas où le mariage aura été célébré sans obtention du certificat <strong>de</strong> capacité à mariage : dansce <strong>de</strong>rnier cas, l’audition <strong>de</strong>s époux sera obligatoire, sauf si l’autorité diplomatique ou consu<strong>la</strong>ire disposed’éléments permettant d’en dispenser <strong>les</strong> intéressés, et en cas <strong>de</strong> suspicion <strong>de</strong> nullité du mariage, <strong>la</strong>transcription ne pourra désormais survenir que sur décision judiciaire et à l’issue d’une procédure dontl’initiative appartiendra aux requérants.<strong>La</strong> prévention <strong>de</strong>s mariages forcés est facilitée par l’audition obligatoire <strong>de</strong>s époux en cas <strong>de</strong> suspicion, et, sil’un <strong>de</strong>s futurs époux est mineur, par l’audition hors <strong>la</strong> présence <strong>de</strong> ses parents et <strong>de</strong> son futur conjoint.Enfin, <strong>la</strong> loi du 26 novembre 2003 re<strong>la</strong>tive à l’immigration avait créé, à l’article 47 du co<strong>de</strong> civil re<strong>la</strong>tif à <strong>la</strong>force probante <strong>de</strong>s actes <strong>de</strong> l’état civil faits à l’étranger, <strong>la</strong> possibilité d’opposer <strong>de</strong>s doutes sur l’authenticitéou <strong>la</strong> véracité <strong>de</strong> l’acte. <strong>La</strong> nouvelle loi ne remet pas en cause cet apport essentiel mais simplifieradicalement le mécanisme <strong>de</strong> vérification mis en p<strong>la</strong>ce, en permettant à l’administration <strong>de</strong> procé<strong>de</strong>relle-même ou faire procé<strong>de</strong>r à <strong>la</strong> vérification auprès <strong>de</strong>s autorités étrangères <strong>de</strong> l’acte d’état civil étrangerdouteux, sans intervention du parquet <strong>de</strong> Nantes.<strong>La</strong> loi du 24 juillet 2006 re<strong>la</strong>tive à l’immigration et à l’intégration<strong>La</strong> délivrance d’une carte <strong>de</strong> séjour portant <strong>la</strong> mention “Vie privée et familiale” aux conjoints <strong>de</strong> Françaisest désormais subordonnée à <strong>la</strong> détention d’un visa <strong>de</strong>stiné à un séjour <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> 3 mois. L’accès à <strong>la</strong>carte <strong>de</strong> rési<strong>de</strong>nt est subordonné à une durée <strong>de</strong> séjour régulier préa<strong>la</strong>ble portée <strong>de</strong> <strong>de</strong>ux à trois ans, età <strong>la</strong> condition d’intégration républicaine. <strong>La</strong> carte <strong>de</strong> rési<strong>de</strong>nt peut être retirée, en cas <strong>de</strong> rupture <strong>de</strong> <strong>la</strong>vie commune, et sauf exceptions, dans <strong>les</strong> quatre années suivant <strong>la</strong> célébration du mariage. Le dé<strong>la</strong>i <strong>de</strong>communauté <strong>de</strong> vie nécessaire pour souscrire <strong>la</strong> déc<strong>la</strong>ration <strong>de</strong> nationalité française est porté <strong>de</strong> <strong>de</strong>uxà quatre ans et <strong>de</strong> trois à cinq ans si le conjoint étranger ne justifie pas d’une rési<strong>de</strong>nce ininterrompue etrégulière en France <strong>de</strong>puis trois années ou ne peut justifier <strong>de</strong> l’inscription <strong>de</strong> son conjoint français pendant<strong>la</strong> durée <strong>de</strong> <strong>la</strong> communauté <strong>de</strong> vie à l’étranger au registre <strong>de</strong>s Français établis hors <strong>de</strong> France. Le dé<strong>la</strong>id’opposition <strong>la</strong>issé au gouvernement pour s’opposer, pour indignité ou défaut d’assimi<strong>la</strong>tion autre quelinguistique, à l’acquisition <strong>de</strong> <strong>la</strong> nationalité française par le conjoint étranger est porté <strong>de</strong> un à <strong>de</strong>ux ans.Le dé<strong>la</strong>i permettant au ministère public d’exercer un recours en contestation <strong>de</strong> l’enregistrement d’unedéc<strong>la</strong>ration <strong>de</strong> nationalité à raison du mariage est porté lui aussi <strong>de</strong> un à <strong>de</strong>ux ans.3 – Délivrance <strong>de</strong>s titres <strong>de</strong> 2003 à 20073.1 – Commentaires générauxLe régime juridique du séjour <strong>de</strong>s étrangers se traduit par une pluralité <strong>de</strong> critères dont il incombe àl’autorité préfectorale <strong>de</strong> tenir compte pour délivrer au <strong>de</strong>man<strong>de</strong>ur âgé <strong>de</strong> plus <strong>de</strong> 18 ans une autorisationadministrative <strong>de</strong> séjour, sous le contrôle hiérarchique du ministre <strong>de</strong> l’Intérieur et, <strong>de</strong>puis le 30 mai2007, du ministre <strong>de</strong> l’Immigration, <strong>de</strong> l’Intégration, <strong>de</strong> l’I<strong>de</strong>ntité nationale et du Développement solidaire.Cumu<strong>la</strong>tifs, ces critères prennent en considération <strong>la</strong> nationalité et <strong>les</strong> conditions d’entrée en France <strong>de</strong>l’étranger, <strong>la</strong> durée et l’objet prévus <strong>de</strong> son séjour, et enfin <strong>la</strong> nature du titre sollicité.S’agissant <strong>de</strong> <strong>la</strong> nationalité, trois grands régimes sont applicab<strong>les</strong> : <strong>les</strong> citoyens <strong>de</strong>s Etats membres <strong>de</strong> l’UE (ou assimilés), <strong>les</strong> étrangers relevant d’un accord bi<strong>la</strong>téral liant <strong>la</strong> France à certains Etats, <strong>les</strong> étrangers relevant du régime dit “général”.61
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SECRÉTARIAT GÉNÉRAL DU COMITÉ I
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SommairePréface ..................
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7 - Les actions multilatérales ...
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4.1 - Une quantification toujours d
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