Rapport administratif 2013

l l l l l l l l l l l l l l l l Ville de Liège - Rapport administratif 2013
Subventions interculturelles
Plus de 35 associations ont rentré leurs rapports d’activités.
Mars Diversité
Extension du domaine du possible au service d’une politique de cohésion sociale qui invite tout un chacun à une illustration intelligente et
festive d’une démarche d’égalité. Plus de 80 projets ont été mis en œuvre par des associations et des institutions. Le Service des relations
interculturelles a souhaité, une nouvelle fois mettre en exergue : « Tambours de la Paix », projet apolitique et qui a pour ambition d’éveiller
les enfants à la nécessité de lutter contre la violence et leur offrir une occasion d’exprimer librement leur volonté de paix dans le monde par
le biais de la poésie.
e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie au Théâtre du Trianon de Liège.
La clôture de « Mars diversité » a permis de fêter le 50
Création d’une plate-forme Hip Hop
Depuis un certain temps, l’Echevinat des relations interculturelles souhaitait rassembler les acteurs de hip hop, mettant ainsi en avant ce
mode d’expression encore mal connu des citoyens liégeois.
Dès lors, des réunions ont été mises en place pour définir quel mode de communication il serait intéressant d’instaurer.
La mise en place d’un festival urbain regroupant les diverses expressions (musique, théâtre, spectacle, danse, graff, chant, … sur une durée
de 15 jours pourra voir le jour en 2014.
Rêve de Martin
En 2005, la Ville de Liège a adhéré à la coalition européenne des Villes contre le racisme. A cette occasion, l’U.N.E.S.C.O., initiatrice du réseau,
déléguait son ambassadeur pour venir saluer la constance et la qualité de l’action liégeoise. Liège étant la première ville belge à avoir rejoint
cette coalition.
En 2008, le service des relations interculturelles était sous le label du « Rêve de Martin ». Cette politique vise à :
• rassembler les informations sur les projets initiés par la Ville, les associations, voire le monde économique liégeois en la matière ;
• valoriser cette cartographie à Liège et sur la scène internationale ;
• définir un tableau de bord vivant de l’action interculturelle ;
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