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travailles bien. Tu as beaucoup changé depuis quatre ans. Ils disent de toi que tu n’es pas fort, mais que tu es solide. Ils n’avaient pas confiance en elle. Ils aimaient et admiraient leur fille, mais savaient qu’en dehors de leur tutelle, elle se mettrait en danger, et la meute par la même occasion. Celui ou celle qui faisait cela était exécuté. Les loups évitaient de tuer les leurs, mais ils n’avaient pas de pitié pour ceux qui risquaient de dévoiler leur secret. Serafina ne comprenait pas cela. Moi si. Ainsi, ils comptaient sur moi pour la contrôler. Ils avaient tort. C’était impossible. — Et donc ils te font confiance, ajouta-t-elle. Si tu leur demandes, je suis sûre qu’ils accepteront. L’espace d’un instant je fus tenté. Elle était belle, si belle. La passion de son baiser brûlait encore mes lèvres. Puis je me souvins qu’elle n’était pas seulement belle. Elle était dangereuse. Il ne restait qu’une seule chose à faire. Je l’amenai sur le bord de la piste, la lâchai et reculai un peu, prudent. Elle souriait, persuadée que j’allais faire ce qu’elle voulait, comme d’habitude. Je pris une grande inspiration et dis doucement : — Je suis désolé, Seraf, mais tu vas devoir te débrouiller toute seule sur ce coup-là. Son visage se décomposa. — Que... quoi ? Balbutia-t-elle. — À la seconde où tu seras à l’université, tu fileras à New York ou à Los Angeles et tes parents me tomberont dessus. Je ne prendrai pas cette responsabilité. J’ai dû me battre pour pouvoir partir, Serafina. Il va te falloir faire de même. Je suis désolé. Peut-être que le répéter allait m’éviter une énorme crise de rage. Puis je vis ses yeux rétrécir et je compris que c’était raté. — Tu ne veux pas m’aider, siffla-t-elle comme un serpent en colère. — Je ne peux pas t’aider, ce n’est pas la même chose. — Tu n’es qu’un salopard égoïste. Je t’ai embrassé ! — Je suis désolé. Enfin, pas que tu m’aies embrassé mais... — Un misérable petit humain sans force et sans vigueur, incapable d’affronter la femelle la plus débile de la meute, m’interrompit-elle avec rage. — Tu ne peux pas me vexer en disant la vérité, dis-je doucement alors que mon cœur battait à toute vitesse. — Tu... Je ne sais pas quelle horreur elle allait me sortir encore lorsque Ned apparut, l’attrapa par le bras et lui dit :
— Je ne pense pas qu’un scandale dans la maison des grands-parents d’Indiana soit une bonne idée, Serafina. Viens respirer un peu d’air frais, ça va te faire du bien. Il devait lui faire un mal de chien, parce que je voyais ses doigts s’enfoncer dans la chair dense du bras de Serafina, mais elle ne broncha pas. Ses yeux d’or étincelaient de rage. Puis elle baissa la tête et se laissa aller contre lui. Mais je l’avais vu. Cet éclair de haine pure. Je venais de me faire une ennemie pour la vie.
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par trois poutrelles. J’ai compri
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— Retirer la poutrelle n’est pa
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— Chuck, je ne comprends rien à
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Je le foudroyai du regard. Mais pou
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La maison était fraîchement repei
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de désir sauvage. Mais à côté d
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Il commençait à être tard, je sa
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Chapitre 15Coup de tonnerre dans un
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Pendant tout le trajet, je m’agit
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Pendant tout le voyage jusqu’au c
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— J’ai vu, Indiana, j’ai vu l
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Son front se rida, soucieux. — Je
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dégagés. Il me jeta un regard, é
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perdrez. Irrémédiablement. Je ne
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Soudainement, la voiture bascula un
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Chapitre 16L’appât Lorsque je me
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voudrais la contacter ? M’avait-i
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Je leur expliquai ce que m’avait
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— Cela fait partie du package, as
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Le docteur Brown vint vérifier que
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Elles étaient en argent. Si les lo
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Chapitre 17La trahison Je pense que
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C’était une photo. On reconnaiss
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— Tu as utilisé quelque chose ?
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Chapitre 18Le coupable — N’avan
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— Non. — Mais tu es le fils Tel
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Seamus. Dire que j’étais surpris
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— Puisque tu es si soucieux de la
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Elle planta son regard doré dans l
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— Et d’un, gronda-t-il d’une
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Chapitre 19Katerina Je jurai. Faire
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— Pourquoi ? Elle est en danger ?
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— Je vais aller voir ton père.
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— Je vais y aller maintenant, dis
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— Non ! hurlai-je. J’ai besoin
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la grâce d’une dame bien élevé
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Tout le monde le regarda, les yeux
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— Vais-je mourir ? demanda Seamus
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— Euh, non ? — Parce que je sui
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passé loin, Katerina. Cela aurait
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qu’elle venait de remplir. — Ti
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— Quoi ? M’exclamai-je. Mais po
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Chapitre 21Préparation au combat S
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— Vous aussi ? Vous êtes une de
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qui ? Aïe aïe aïe, j’avais esp
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— Oui. Je croisais les doigts en
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Je ne pense pas que ce sera un gros
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— Ben, j’ai crié à Tyler de s
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clinique et qu’il m’aura confir
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Grand-mère soupira. — À moins q
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— Ben, ne la laisse pas entrer.
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J’avais eu du mal à respirer et,
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Alors, merci de lui avoir sauvé la
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Mon ton sarcastique fit tourner la
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Je cessai de respirer. — En fait,
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C’était l’heure.
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Les loups se transformèrent à par
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mauvaises nouvelles. Il m’a dit q
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ien qui est le plus fort ! De moi,
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— Reviens vers nous, Serafina. Il
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Chapitre 25Celui qui n’avait pas
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— J’ai tué trois de vos loups
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Je l’enlaçai tendrement avant qu
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me rongeait, je murmurai : — Vas-
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Les deux gardes pivotèrent paniqu
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— Mais... et toi ? — Bon sang,
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J’entendis un cri de fureur dehor
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passé ? Je leur racontai. Que je m
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Il me lança un regard surpris. —
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Il y eut un instant de silence tand
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tous du bien de rire un peu et de n
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La réponse de Brandkel fut tout à
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À suivre dans le tome 2
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Chapitre 1Le meurtre Je vois la sc
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