Fonds ancien – Analyses pièce à pièce - Ville de Reims

Article 32 : 6 juillet 1384 :
Lettre de mandement de Charles VI, au bailli de Vermandois et au premier huissier du
Parlement, demandant de faire comparaître le prévôt-forain de Laon, à la demande de
l’archevêque et des échevins, pour emprisonnement abusif de plusieurs bourgeois de Reims, dont
Jesson Quarre.
Article 33 : 5 novembre 1384 :
Lettre d’ajournement de procès devant le Parlement de Jehan Termie, sergent du roi à Laon. A la
requête du procureur de l’archevêque, et par lettre de mandement royal du 21 octobre 1384, il a
convoqué devant le Parlement le prévôt de la cité de Laon et le prévôt-forain de Laon pour abus
commis par eux contre des bourgeois de Reims.
Articles 34 et 35:
a) 12 avril après Pâques 1385 : lettre d’ajournement de procès devant le Parlement de
Pierre Poulain, sergent du roi.
b) 3 février 1384 avant Pâques : arrêt du Parlement, avec vidimus de lettre de
mandement royal adressée au bailli de Vermandois le 6 juillet 1384, au sujet des abus
de pouvoir de Nicaise Saunalle, lieutenant du prévôt de Laon, qui a arrêté et
emprisonné plusieurs bourgeois de Reims, dont Jesson Quarre, pour port d’armes.
Article 36 : 21 septembre 1385 :
« Requête » auprès des officiers de l’archevêque, par les échevins de Reims, au sujet de
l’emprisonnement de Thiebault de Veizieulx et sa femme Margueritte.
Article 37 : 10 octobre 1385 :
Copie de la lettre d’ajournement de procès devant le Parlement de Jehan Termie, sergent du roi à
Laon. A la requête de l’archevêque, et par lettre de mandement du roi du 26 février 1380, il a
convoqué devant le Parlement le procureur de l’archevêque et Jehan Maigret, bourgeois de
Reims, pour une affaire qui les oppose au sujet de baux de places et de maisons.
Article 38 : 28 mai 1386 :
Plaidoyer porté devant la cour de l’auditoire du bailli à Reims en faveur de Jesson Haronet,
contre les échevins et leur procureur.
Article 39 : 14 septembre 1387 :
Lettre d’ajournement de procès devant le Parlement de Jehan Termie, sergent du roi à Laon. A la
requête du procureur de l’archevêque, et par lettre de mandement royal du 24 novembre 1385
retranscrite (en latin), il s’est rendu à Reims au sujet d’une affaire opposant l’archevêque à
Oudin Houssette, bourgeois du ban des échevins, qui a installé un pressoir dans sa maison rue de
la Cousture. Le procureur des échevins, Thomas La Gode, prend sa défense.
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