Fonds ancien – Analyses pièce à pièce - Ville de Reims

Pochette avec 6 documents :
a) avril 1722 (le bas d’une page) : paiement de 10 livres à payer à la Saint-Michel.
b) 7 juin 1701 : Jean THEROND doit payer 110 ivres qu’il doit par acte du 21 mars 1699 à M.
LAMANDE (?)
c) 13 décembre 1702 :
Généralité de Montpellier.
Jean THEROND de SALLIERES doit 100 livres à Jacques MOBIN prêtre prieur, curé de Coux,
pour l’achat d’une paire de bœufs. Il promet de les payer le 20 avril 1703.
d) 17____________ (déchiré à l’endroit de la date et en haut) :
Généralité de Montpellier.
Jean THEROND paie 5 livres pour les arriérages (des années 1671 à 1678) d’une rente, à M.
LACOMBE.
e) 7 mai 1707 : Jean TEROND paie pour Alexandre CHAMBON du ROURE, la rente de l’année
1706, due à la marquise de SENCTERE (?).
f) 11 mai [1513] déchiré : convention passée entre Jean THERON du lieu de Sallières et Gabriel
LAROCHE du lieu de Coux, au sujet d’une terre à Sallières.
3 octobre 1697
- Françoise CHOTTARD, veuve de Charles ROSSIGNOL, et Henry GEORGES bourgeois de
Paris et tuteur des enfants mineurs du défunt, nomment Daniel TOURRES, écuyer, conseiller
secrétaire du roi, demeurant à Paris, comme fondé de pouvoir.
- Daniel TOURRES vend à Jean-Louis ARNAULD, conseiller du roi, trésorier général de
l’extraordinaire des guerres et cavalerie légère, demeurant à Paris, l’office e conseiller du roi,
maison couronne de France et des ses financiers (office détenu auparavant par le défunt).
- Suivi de la procuration, du 8 septembre 1697, passée entre Daniel TOURRES et Françoise
CHOTTARD et Henry GEORGES.
23 février 1754
Lettres royales au bailli de Vermandois.
Requête de Catherine de VAUX, veuve de Nicolas BERNARD, demeurant à Reims, contre Jean-
Baptiste LEMOINE, bourgeois de Reims, de qui elle a acquis un corps de ferme, suite à la
résolution du bail par ce dernier.
1630
Parchemin ayant servi de pochette.
Titre : rôle et déclarations de Saint Remy pour M. DESPANCE.
Droits seigneuriaux et mouvance de Saint-Remy.
Coupé.
En anglais.
John Robert ENFFLCY.
George MARVIN.
Parle d’une compagnie de la fraternité (administration, succession, …).
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