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Désolé j'ai ciné #12

Dernier round de l'année pour l'équipe de Désolé j'ai ciné. Et pour ce 12e numéro, on ne pouvait pas ne pas évoquer l'évènement de cette fin d'année : Star Wars. Alors on est revenu sur toute la saga mais également sur la carrière de JJ Abrams. Sinon on vous parle aussi de Terrence Malick, d'Hirokazu Kore-Eda, de Robert Eggers et même de Disney ! Un numéro encore bien riche qui se conclut par un petit mot de fin de ma part pour revenir sur cette année mais aussi sur la place de la femme dans le cinéma et dans la société. On vous remercie pour votre fidélité et on vous dit à l'année prochaine !

Dernier round de l'année pour l'équipe de Désolé j'ai ciné. Et pour ce 12e numéro, on ne pouvait pas ne pas évoquer l'évènement de cette fin d'année : Star Wars. Alors on est revenu sur toute la saga mais également sur la carrière de JJ Abrams. Sinon on vous parle aussi de Terrence Malick, d'Hirokazu Kore-Eda, de Robert Eggers et même de Disney !

Un numéro encore bien riche qui se conclut par un petit mot de fin de ma part pour revenir sur cette année mais aussi sur la place de la femme dans le cinéma et dans la société.

On vous remercie pour votre fidélité et on vous dit à l'année prochaine !

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J’AI PERDU MON CORPS (2019)

vital, une personnification qui recherche sa maison. Après

tout, ce n’est pas le premier à utiliser cette idée, mais il la

magnifie avec énormément de sensibilité.

Porté par la superbe bande son de Dan Levy, le métrage est

également une leçon de maîtrise technique. L’animation est

superbe, et permet des séquences magnifiques pendant

l’odyssée de cette main qui affronte de nombreux dangers.

C’est aussi et surtout une leçon d’écriture sur l’amour, la

vie, la mort aussi. Une écriture puissante, romanesque et

romantique, qui trouve des instants de grands cinéma. La

séquence de rencontre entre les deux protagonistes, via un

interphone, est absolument géniale. Le final est renversant,

laissant tout ceci en suspend, entre deux univers.

“J’ai Perdu mon Corps” est peut-être même le meilleur film de

cette année. Une œuvre à la portée émotionnelle sans limite.

Une écriture intelligente et pertinente. Une vision humaniste

incroyable et subtile. Du grand art.

Aubin Bouillé

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