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Désolé j'ai ciné #12

Dernier round de l'année pour l'équipe de Désolé j'ai ciné. Et pour ce 12e numéro, on ne pouvait pas ne pas évoquer l'évènement de cette fin d'année : Star Wars. Alors on est revenu sur toute la saga mais également sur la carrière de JJ Abrams. Sinon on vous parle aussi de Terrence Malick, d'Hirokazu Kore-Eda, de Robert Eggers et même de Disney ! Un numéro encore bien riche qui se conclut par un petit mot de fin de ma part pour revenir sur cette année mais aussi sur la place de la femme dans le cinéma et dans la société. On vous remercie pour votre fidélité et on vous dit à l'année prochaine !

Dernier round de l'année pour l'équipe de Désolé j'ai ciné. Et pour ce 12e numéro, on ne pouvait pas ne pas évoquer l'évènement de cette fin d'année : Star Wars. Alors on est revenu sur toute la saga mais également sur la carrière de JJ Abrams. Sinon on vous parle aussi de Terrence Malick, d'Hirokazu Kore-Eda, de Robert Eggers et même de Disney !

Un numéro encore bien riche qui se conclut par un petit mot de fin de ma part pour revenir sur cette année mais aussi sur la place de la femme dans le cinéma et dans la société.

On vous remercie pour votre fidélité et on vous dit à l'année prochaine !

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GREMLINS (1984)

En 1984, Joe Dante réalise un de ses grands classiques. Issu

de la génération Spielberg, le cinéaste signe “Gremlins”

: un film de Noël pas comme les autres. Il reprend le

concept de la créature toute mignonne et toute gentille qui

accompagne les contes de Noël, pour en faire une comédie

horrifique et satirique géniale. Portée par Zach Galligan,

retour sur cette comédie culte.

“Gremlins”, c’est un peu “E.T.” qui rencontre “S.O.S

Fantômes”. Une comédie décalée, ancrée dans la pop

culture, qui respire les années 1980. Joe Dante signe un

divertissement acéré, aigre et caricaturiste. Il joue avec

les clichés de son époque, les clichés de la méthode

Spielberg, pour en faire une comédie presque horrifique,

gentiment trash, et terriblement sarcastique. Il reprend la

formule du lycéen qui rencontre une créature étonnante

vouée à devenir son meilleur ami. Le cinéaste réutilise l’idée

classique d’appréhension du monde et d’incorporation

dans la société via l’aide d’un petit ange gardien. Dans

“E.T.” il s’agit évidemment de l’extraterrestre, ici c’est le petit

Mogwaï qui joue ce rôle.

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