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Désolé j'ai ciné #12

Dernier round de l'année pour l'équipe de Désolé j'ai ciné. Et pour ce 12e numéro, on ne pouvait pas ne pas évoquer l'évènement de cette fin d'année : Star Wars. Alors on est revenu sur toute la saga mais également sur la carrière de JJ Abrams. Sinon on vous parle aussi de Terrence Malick, d'Hirokazu Kore-Eda, de Robert Eggers et même de Disney ! Un numéro encore bien riche qui se conclut par un petit mot de fin de ma part pour revenir sur cette année mais aussi sur la place de la femme dans le cinéma et dans la société. On vous remercie pour votre fidélité et on vous dit à l'année prochaine !

Dernier round de l'année pour l'équipe de Désolé j'ai ciné. Et pour ce 12e numéro, on ne pouvait pas ne pas évoquer l'évènement de cette fin d'année : Star Wars. Alors on est revenu sur toute la saga mais également sur la carrière de JJ Abrams. Sinon on vous parle aussi de Terrence Malick, d'Hirokazu Kore-Eda, de Robert Eggers et même de Disney !

Un numéro encore bien riche qui se conclut par un petit mot de fin de ma part pour revenir sur cette année mais aussi sur la place de la femme dans le cinéma et dans la société.

On vous remercie pour votre fidélité et on vous dit à l'année prochaine !

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développer tout au long de la décennie.

En effet, se mettant à enchaîner les

films, il en profite pour pousser ses

expérimentations de plus en plus loin tout

en variant le point de vue de ses réflexions

existentielles et spirituelles. Il va aller

explorer les profondeurs de l’âme dès 2012

avec “To The Wonder” et revenir, d’une

certaine manière, à hauteur d’homme dans

“Knight of Cups” trois ans plus tard.

Il s’offre ensuite un interlude documentaire

avec “Voyage of Time” en 2016 où il

décide de reprendre une idée forte de sa

palme d’or à savoir revenir sur la création

de l’univers et enfin en 2017 il réunit un

casting cinq étoiles dans “Song to Song”,

œuvre toujours expérimentale dans laquelle

il apporte une sorte de conclusion à ses

déambulations post “Tree of Life”.

Se distinguant par une vision personnelle

tant du cinéma que de la vie mais aussi

par sa carrière on ne peut plus singulière,

seulement 10 films en 46 ans, il a su

s’imposer comme un réalisateur majeur de

l’histoire du cinéma américain et il demeure

encore actuellement l’un des auteurs les

plus passionnants à voir évoluer. Certes plus

clivant depuis cette décennie, il n’a jamais

cédé aux lois du système et nous offre

continuellement à voir sa vision du monde

et du cinéma, aussi déroutante puisse-t-elle

être devenue. C’est pourquoi, à l’occasion

de la sortie de son dixième long-métrage,

“Une Vie Cachée”, Désolé J’ai Ciné décide

de se repencher sur l’exaltante filmographie

de cet auteur en revenant sur chacun de

ses films un à un. L’occasion pour vous de

(re)découvrir l’œuvre d’un artiste hors-pair,

disons-même du cinéaste démiurge par

excellence.

Élie Bartin

THE TREE OF LIFE (2011)

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