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Désolé j'ai ciné #12

Dernier round de l'année pour l'équipe de Désolé j'ai ciné. Et pour ce 12e numéro, on ne pouvait pas ne pas évoquer l'évènement de cette fin d'année : Star Wars. Alors on est revenu sur toute la saga mais également sur la carrière de JJ Abrams. Sinon on vous parle aussi de Terrence Malick, d'Hirokazu Kore-Eda, de Robert Eggers et même de Disney ! Un numéro encore bien riche qui se conclut par un petit mot de fin de ma part pour revenir sur cette année mais aussi sur la place de la femme dans le cinéma et dans la société. On vous remercie pour votre fidélité et on vous dit à l'année prochaine !

Dernier round de l'année pour l'équipe de Désolé j'ai ciné. Et pour ce 12e numéro, on ne pouvait pas ne pas évoquer l'évènement de cette fin d'année : Star Wars. Alors on est revenu sur toute la saga mais également sur la carrière de JJ Abrams. Sinon on vous parle aussi de Terrence Malick, d'Hirokazu Kore-Eda, de Robert Eggers et même de Disney !

Un numéro encore bien riche qui se conclut par un petit mot de fin de ma part pour revenir sur cette année mais aussi sur la place de la femme dans le cinéma et dans la société.

On vous remercie pour votre fidélité et on vous dit à l'année prochaine !

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112

On a tous nos habitudes pour

Noël, notamment d’un point de vue

cinématographique. Tandis que certains se

revoient « L’étrange Noël de Monsieur Jack

» quelques mois après Halloween (car oui,

il est impératif de se revoir celui-ci à ces

deux moments), et que d’autres retombent

encore et encore sur les mêmes téléfilms

festifs, marronniers d’une saison aux arbres

dénudés, il y a les gens qui regardent “Die

Hard”, sans doute le blockbuster parfait à

savourer avec une bonne tasse de chocolat

chaud.

Comment en effet se sentir lassé face à la

mésaventure de John McLane, sympathique

homme de loi coincé dans une tour envahie

par des terroristes menaçant sa femme ?

Comment ne pas accrocher aux répliques

d’un Bruce Willis à l’époque impliqué dans

son personnage ? Comment ne pas soutenir

et haïr à la fois le charismatique Alan

Rickman, sans doute parmi les méchants les

plus géniaux portés sur les grands écrans

américains ? Difficile à dire, surtout si vous

êtes autant fan que Jake Peralta de ce qui

est un classique de l’actioner.

La mise en scène et l’écriture de John

McTiernan relèvent en effet du travail

rigoureux, cherchant à humaniser la figure

héroïque du film d’action explosif avec une

efficacité visuelle qui allie divertissement

de forme et travail narratif de fond. La

collaboration avec Joel Silver s’avère à

l’aune des productions de ce dernier

mais avec assez d’idées, improvisées ou

non, qui distinguent “Die Hard” du tout

venant du genre. Oui, “Die Hard” est un

récit d’action à la gestion tout simplement

parfaite à tous les niveaux, s’érigeant en

modèle indétrônable du genre (bien que

nous mettrons au même niveau “Die Hard

3”, également grand blockbuster maîtrisé

en tous points). Mais c’est également le

récit d’un homme qui veut reconquérir

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