Désolé j'ai ciné #12
Dernier round de l'année pour l'équipe de Désolé j'ai ciné. Et pour ce 12e numéro, on ne pouvait pas ne pas évoquer l'évènement de cette fin d'année : Star Wars. Alors on est revenu sur toute la saga mais également sur la carrière de JJ Abrams. Sinon on vous parle aussi de Terrence Malick, d'Hirokazu Kore-Eda, de Robert Eggers et même de Disney ! Un numéro encore bien riche qui se conclut par un petit mot de fin de ma part pour revenir sur cette année mais aussi sur la place de la femme dans le cinéma et dans la société. On vous remercie pour votre fidélité et on vous dit à l'année prochaine !
Dernier round de l'année pour l'équipe de Désolé j'ai ciné. Et pour ce 12e numéro, on ne pouvait pas ne pas évoquer l'évènement de cette fin d'année : Star Wars. Alors on est revenu sur toute la saga mais également sur la carrière de JJ Abrams. Sinon on vous parle aussi de Terrence Malick, d'Hirokazu Kore-Eda, de Robert Eggers et même de Disney !
Un numéro encore bien riche qui se conclut par un petit mot de fin de ma part pour revenir sur cette année mais aussi sur la place de la femme dans le cinéma et dans la société.
On vous remercie pour votre fidélité et on vous dit à l'année prochaine !
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LE RETOUR DU JEDI (1983)
parfaitement à l’action, une singularité propre
à l’univers «Star Wars». La bataille finale
s’opère sur trois lieux différents : au sol dans
la forêt d’Endor, dans l’espace pour détruire
la nouvelle Etoile de la Mort, et à l’intérieur
de celle-ci, où se déroule le face-à-face entre
Luke, Dark Vador, et l’Empereur. On peut
déplorer un énième schéma de désactivation
de bouclier pour détruire le vaisseau-mère,
et certaines facilités comme l’absence de
pertes dommageables pour la Rébellion
pendant l’attente de la désactivation du
bouclier, mais l’heure est au « happy-end »,
pour contraster avec l’épisode précédent.
Ce ton globalement optimiste n’empêche
cependant pas de poursuivre l’exploration
du bien et du mal à travers la mythologie
Jedi / Sith, et de donner un certain côté
doux-amer à cette victoire pour Luke.
Dans cette conclusion épique, «Star Wars»
confirme sa formidable capacité à stimuler
notre imaginaire, et clôt une Trilogie
désormais culte dans la culture populaire.
Vincent Pélisse
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