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Abréviations - Faculté de Médecine et de Pharmacie de Fès

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Il n’existe non plus <strong>de</strong> lien significatif entre l’information sur le nom du<br />

médicament prescrit <strong>et</strong> la qualité <strong>de</strong> l’observance thérapeutique.<br />

Tableau 8: Relation entre l’observance du traitement <strong>et</strong> l’absence ou la présence<br />

d’information sur le nom du médicament<br />

Observance<br />

Bonne<br />

Moyenne<br />

Mauvaise<br />

3) Discussion :<br />

Absence d’information<br />

sur nom du médicament<br />

79,5 %<br />

18,2 %<br />

2,3 %<br />

a) La prévalence <strong>de</strong>s comorbidités psychiatriques :<br />

Information sur nom du<br />

médicament<br />

85 %<br />

15 %<br />

La prévalence <strong>de</strong>s troubles psychiatriques chez les épileptiques <strong>de</strong> notre étu<strong>de</strong><br />

est très élevée 76,6%. Ceci est concordant avec les étu<strong>de</strong>s <strong>de</strong> la littérature<br />

notamment dans l’étu<strong>de</strong> Hermann BP <strong>et</strong> Sei<strong>de</strong>nberg M en 2000, qui ont trouvé une<br />

prévalence estimée entre 19 <strong>et</strong> 62 %, <strong>et</strong> celle faite par Marsh L <strong>et</strong> Rao V en 2002 où<br />

la prévalence <strong>de</strong>s comorbidités psychiatriques étaient <strong>de</strong> 50 – 60 % <strong>et</strong> aussi dans<br />

celle réalisée par Despland PA <strong>et</strong> Kramer G qui ont objectivé une prévalence <strong>de</strong> 20 à<br />

70 %. Mais pour d’autres auteurs c<strong>et</strong>te prévalence est beaucoup moins faible comme<br />

celle obtenue dans l’étu<strong>de</strong> <strong>de</strong> Vuillemier P <strong>et</strong> Jallon P (20 à 30 %). Cela revient du fait<br />

<strong>de</strong>s critères d’inclusion <strong>de</strong>s troubles psychiatriques, leur intensité <strong>et</strong> les outils<br />

d’évaluation utilisés, ainsi certains auteurs n’ont pas inclus les anxiétés mineures <strong>et</strong><br />

les dépressions mineures dans leur résultats, d’où une prévalence plus ou moins<br />

n<strong>et</strong>tement <strong>de</strong> notre étu<strong>de</strong>.<br />

0 %<br />

35

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