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la methode simple pour perdre du poids - Free

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CHAPITRE XXV<br />

RÉFLÉCHIR AUX IMPLICATIONS<br />

À <strong>la</strong> lumière de ces révé<strong>la</strong>tions, il doit être évident <strong>pour</strong> vous que le menu idéal <strong>pour</strong> l'espèce humaine est<br />

composé de fruits frais. On peut y ajouter les légumes, les fruits secs et certains autres aliments d'origine<br />

végétale mais, à tout point de vue <strong>la</strong> forte teneur en eau, en fibres, en vitamines et en sels minéraux, <strong>la</strong><br />

digestibilité, <strong>la</strong> valeur nutritionnelle, <strong>la</strong> facilité d'assimi<strong>la</strong>tion de l'énergie et des éléments nutritifs, <strong>la</strong> rapidité<br />

d'élimination des toxines et des déchets -, les fruits frais constituent le viatique idéal <strong>pour</strong> nous. De plus, ils<br />

ont un goût agréable, ils sont sucrés et rafraîchissants. L'argument massue, c'est qu'ils n'ont pas besoin<br />

d'additifs. Ce sont des aliments naturels. C'EST LE MENU QUE DAME NATURE NOUS<br />

RECOMMANDE !<br />

Vous <strong>pour</strong>riez vous demander <strong>pour</strong>quoi Dame Nature a prévu une telle variété de fruits. Ç'aurait tout de<br />

même été plus <strong>simple</strong> si le Créateur avait fourni un seul et unique menu adapté à chaque créature, non ?<br />

Ç'aurait peut-être été plus <strong>simple</strong>, mais ç'aurait aussi été très fastidieux. Personnellement, je suis très<br />

heureux de cette merveilleuse variété. Après tout, <strong>la</strong> diversité est le piment de l'existence - ce n'est qu'une<br />

preuve de plus que notre Créateur vou<strong>la</strong>it que nous profitions de <strong>la</strong> vie.<br />

S'il n'avait mis qu'un menu à notre disposition, il est probable que nous aurions protesté avec véhémence.<br />

Les véritables réticences qu'inspire l'idée de devenir végétarien viennent, à mon avis, moins d'une aversion<br />

<strong>pour</strong> les fruits que de <strong>la</strong> crainte d'être privé de tout un éventail d'autres aliments que nous considérons<br />

comme précieux.<br />

Nous l'avons vu, les fruits frais et secs, les légumes, les céréales et quelques autres végétaux sont les seuls<br />

aliments que l'espèce humaine peut facilement et va<strong>la</strong>blement consommer et digérer à l'état naturel, sans<br />

intervention de l'intelligence humaine. Les enfants ne sont pas seuls à aimer les fruits. Tout le monde aime<br />

ça instinctivement. Vous avez le droit de préférer le poulet tikka plutôt qu'un bol de framboises, une grappe<br />

de raisin, un ananas, un melon, une poire, une orange juteuse ou n'importe quel fruit ; ça prouvera seulement<br />

que vous êtes conditionné. Un enfant choisira chaque fois le fruit.<br />

Paradoxalement, même les institutions responsables, au premier chef, de ce <strong>la</strong>vage de cerveau, sont peu à<br />

peu obligées de reconnaître l'évidence. On nous a conditionnés à croire que les aliments comme <strong>la</strong> crème, ou<br />

un bon steak, étaient les plus savoureux et les meilleurs à tout point de vue, gustatif et <strong>pour</strong> notre santé, et<br />

voilà qu'on vient nous conseiller de ne pas trop manger de viande, surtout de <strong>la</strong> viande rouge. Beaucoup de<br />

gens se rabattent donc sur <strong>la</strong> vo<strong>la</strong>ille et le <strong>la</strong>it écrémé en pensant avoir réglé le problème. Tout le monde<br />

nous conseille maintenant de consommer plus de fruits et de légumes, même les pouvoirs publics qui sont<br />

généralement les derniers à admettre les changements de mentalité.<br />

Peut-être <strong>la</strong> viande b<strong>la</strong>nche est-elle moins nocive que <strong>la</strong> viande rouge, et il est manifeste que le <strong>la</strong>it écrémé<br />

est moins mauvais que le <strong>la</strong>it non écrémé. Mais ce<strong>la</strong> ne revient-il pas, en réalité, à dire : « Essayez de ré<strong>du</strong>ire<br />

votre dose d'arsenic, ou passez plutôt à <strong>la</strong> strychnine, c'est moins toxique ? »<br />

Pourquoi les pouvoirs publics ne nous disent-ils pas franchement que <strong>la</strong> viande et les pro<strong>du</strong>its <strong>la</strong>ctés sont<br />

mauvais <strong>pour</strong> nous et que nous ferions mieux de manger des fruits et des légumes ? Est-ce parce qu'ils n'ont<br />

pas le cran de prendre un virage à cent quatre-vingts degrés et d'admettre qu'ils se sont mis le doigt dans<br />

l'oeil jusque-là ? Est-ce à cause des immenses intérêts économiques et financiers enjeu ? Ou parce qu'il leur<br />

est difficile, voire impossible, de croire que des êtres intelligents et civilisés aient pu se tromper à ce point ?<br />

Il y a probablement un peu de tout ça. Mais avant de commencer à taper à bras raccourcis sur<br />

l'establishment, sommes-nous, vous et moi, prêts à en accepter toutes les implications ? Ce n'est pas si<br />

facile. Songez à ces milliers d'années passées à faire des recherches et à expérimenter des combinaisons<br />

d'aliments. Pensez à ces milliers de livres de cuisine. Vous admettrez - c'est indispensable à <strong>la</strong> pleine<br />

acceptation de ce que j'essaie de vous faire partager - qu'au lieu d'améliorer <strong>la</strong> saveur des aliments les plus

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