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Fissuration des mortiers - CSTB

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Annexe C<br />

FIG. C.3: Température à l’intérieur du calorimètre et chaleur d’hydratation du mortier CEReM2<br />

Au bout de 7 jours d’essai, la chaleur d’hydratation est quasiment stabilisée. Ceci indique<br />

que la réaction ne produit pas de dégagement de chaleur supplémentaire. On considère donc<br />

qu’à cet instant, correspond le degré d’avancement maximal de l’hydratation (ce qui ne veut<br />

pas dire que la totalité du ciment à été hydratée). On calcule donc ξ en calculant le ratio entre<br />

la chaleur d’hydratation à un instant t et la valeur à la fin de l’essai (cf. équation C.3).<br />

ξ = Q(t)<br />

Q(t final)<br />

(C.3)<br />

Comme nous l’avons décrit dans le mémoire (cf. chapitre 6 paragraphe 2.2.2), il est indispensable<br />

de tenir compte de la température dans le calorimètre sur la thermo-activation de la<br />

réaction d’hydratation. Pour cela, le concept de maturité propose d’utiliser un temps équivalent<br />

correspondant à <strong>des</strong> conditions isothermes à 20 ˚ C. Ce temps équivalent est calculé à partir de<br />

l’équation 6.5 (cf. chapitre 6 paragraphe 2.2.2). L’énergie d’activation du ciment utilisé a été<br />

prise à la valeur moyenne de Ea<br />

R = 4000 K. On peut ainsi tracer l’évolution du degré d’avancement<br />

dans <strong>des</strong> conditions équivalentes à nos essais, présentée en figure C.4.<br />

FIG. C.4: Évolution du degré d’avancement en fonction du temps équivalent (isotherme 20 ˚ C)<br />

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