VI. GESCHICHTE - J.A. Stargardt

VI. GESCHICHTE
„je n’ai pas d’idéal“
1073 PROUDHON, Pierre Joseph, französischer Sozialist und Staatstheoretiker; prägte den
modernen Begriff des Anarchismus, 1809 – 1865. E. Br. m. U. Paris 23.III.1856. 2 2 ⁄3 S. gr.-8 o .
(1.200.—)
An einen Schriftsteller, dem er zunächst für Lieferungen der „Revue de Paris“ dankt. Im weiteren setzt sich
Proudhon kritisch mit einer Gedichtsammmlung auseinander, die der Adressat ebenfalls geschickt hatte.
„... La Revue m’est précieuse pour suivre le mouvement des esprits à l’époque actuelle; et vos poésies
m’ont encore appris d’avantage. J’ai lu tout, vers et prose; et je pourrais vous prouver, pièces en main,
que si moi, pauvre pionnier de l’idée, je n’ai pas d’idéal, vous de votre côté, et vos collaborateurs, vous
cherchez le vôtre. Mais ce sujet me conduisait trop loin …
Vos légendes sont toutes fort belles ... Vous êtes beaucoup moins heureux dans la Chronique de Jacques
et les Heures de patience, bien que dans ces deux séries vous ayez infiniment plus mis du côté. Mais
l’idéal n’est parfait …
Oh! Monsieur, vous êtes poète, je m’en porte garant: mais tant que la spontanéité populaire, dans les
sociétés primitives; la raison philosophique, dans les sociétés avancées, n’a pas créé ou recréé l’idéal, l a
poésie est impossible ...“
1074 RADETZKY, Josef Wenzel Graf, österreichischer Feldmarschall, 1766 – 1858. E. Br. m.
U. (Monza) 19.VIII.1853. 3 ⁄4 S. gr.-4 o . Faltenrisse. (250.—)
Nach einer alten Zuschreibung an Hofrat Negrelli in Verona mit dem Dank für die Nachricht über dessen
„Wohlseyn u glückliches Eintreffen zu Hauße“.
„... Hofentlich wird die gute Wittrung auch in Verona Sie erfreuen u wohlthätig Ihre Unternehmungen
beglücken. Wir hofen am 28ten in Verona zu seyn ...“
„autant que la iustice vous le pourra permettre“
1075 RICHELIEU, Armand Jean du Plessis, Herzog von, Kardinal, französischer Staatsmann,
1585 – 1642. Br. m. U. „Le Card De Richelieu“. Royaumont 28.IV.1636. 1 S. folio. Mit 2
Ringsiegeln über roter Seidenschnur und Adresse. Kleine Randschäden, winzige Löcher, leicht
gebräunt, linker Rand unterlegt. (400.—)
An Antoine de Nicolay, „Premier President de la Chambre des Comptes“ in Paris, wegen der „affaire des
Boucheries“ des Herrn de la Follaine.
„Monsieur, Le Sr. de la Follaine m’ayant fait cognoistre de quelle façon vous vous estes tousiours employé
en son affaire des Boucheries, et le soin que vous avez pris iusques icy en ma consideration, pour la
mettre au point qu’il en peut avoir contentement, Je n’ay pas voulu differer plus longtemps à vous en rendre
grace, et vous tesmoigner par ces lignes le ressentiment que i’en ay. Je vous coniure de continuer à le
favoriser en ceste ocasion, autant que la iustice vous le pourra permettre, et de tenir la main à ce qu’il
puisse estre promtement expedié ...“
Die Abtei Royaumont wurde gern von Angehörigen des französischen Königshauses aufgesucht.
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