<strong>VI</strong>. <strong>GESCHICHTE</strong> „le voyage de l’Empereur“ 995 — MARIE LOUISE, Kaiserin der Franzosen, zweite Gemahlin Napoleons I., Tochter Kaiser Franz’ I. von Österreich, 1791 – 1847. E. Br. m. U. Dresden 22.V.1812. 2 S. 8 o . Zwei Einschnitte an einer ehemaligen Heftung des Briefes. (1.200.—) Zu Beginn des Rußlandfeldzugs geschriebener, reizender Brief der jungen Kaiserin an Großherzogin S t e - p h a n i e von Baden. Marie Louise entschuldigt sich überschwänglich für ihre verspätete Antwort auf einen Brief Stephanies. „... J’ai éprouvé bien du regret de ne pas pouvoir vous voir avec le grand duc à Würzbourg, car il m’auroit été bien doux de vous renouveller toute l’assurance de ma sincere et vive amitié, mais, j’ai éprouvé en même tems du plaisir en aprenant la raison qui vous en empêchoit et je vous prie d’en agréer mes tendres complimens. Je fais des voeux pour que vous ayiez un prince, et je crois que je ne contrarie pas par là les vôtres.“ – Der im September des Jahres geborene Erbprinz lebte nur wenige Tage. – „Je suis seulement fachée de vous savoir souffrante dans cette grossesse, et je vous prie de vous bien ménager. J’ai bien parlé de vous avec le grand Duc, il m’a aussi donné des nouvelles de votre fille“ (Prinzessin Luise von Baden) „que l’on dit être charmante. L’ E m p ereur vous fait ses complimens, il se trouve très bien de son voyage. Je me porte aussi très bien, j’ai été un peu fatigué, mais je n’y ai plus pensé dès le moment ou j’ai eu le bonheur de revoir mes Parens“ (Kaiser Franz I. und Kaiserin Maria Ludovika, seine 3. Gemahlin und Stiefmutter Marie Louises). „Il seroit encore plus complet si je ne devois pas craindre une séparation et le voyage de l’Empereur, et cette seule idée suffit pour m’empêcher d’être aussi tranquille et heureuse que je pourrois l’être ...“ 996 — JÉRÔME BONAPARTE, König von Westphalen, jüngster Bruder Napoleons I., 1784 – 1860. E. Br. m. U. „votre vieux oncle Jerome“. Quarto bei Florenz 2.III.1841. 2 S. gr.-8 o . (250.—) An „Ma bien chère Nièce“, wohl Großherzogin Stephanie von Baden, mit Familiennachrichten. „... J’ai fait écrire à Mr. Macaire à Constance pour avoir les détails sur la vente des objets d’Arenenberg.“ (Nach dem Tod seiner Schwester Hortense 1837 wurde das Schloß von ihrem Sohn Louis Napoleon, dem späteren Kaiser Napoleon III., bewohnt, der es 1843 verkaufte.) „... ici malgré ce que l’on veut bien appeler un hiver rigoureux, nous n’avons jamais eu 4 ° , nous n’avons pas eu de neige à Florence, & depuis quelque tems, moi qui suis à ma compagne“ (seine Gemahlin Katharina von Württemberg war 1835 gestorben) „je ne fais pas de feu: Combien le climat vous feroit du bien, et combien je serois heureux si vous vouliez accepter de venir à quarto ... J’attends encore à connoitre la décision de m o n f rére Joseph, avant d’entreprendre le voyage d’Angleterre – – Que dites vous, chère Nièce, du mariage de Theodelinde?“ (eine Tochter Eugen Beauharnais’, die im Februar des Jahres den späteren Herzog Wilhelm I. von Urach geheiratet hatte) „en vérité c’est à ne pas y croire!!!!!!! ...“ Beiliegend ein e. Br. m. U. seines ältesten Sohnes Jérôme Napoléon Bonaparte-Patterson (aus Jérôme Bonapartes erster, 1807 von Napoleon I. annullierter Ehe mit der amerikanischen Kaufmannstochter Elizabeth Patterson); an einen Herrn mit der Bitte, seiner Tante, der Großherzogin Stephanie von Baden, eine Sendung zukommen zu lassen (Stuttgart 1841). Ferner beiliegend ein Br. m. U. seines Schwiegersohnes, des russischen Großindustriellen Anatole Demidoff; an Baron von Schreckenstein, wohl Hofmarschall der Großherzogin Stephanie von Baden, die für Demidoff beim Kauf einiger Gegenstände aus dem Schloß Arenenberg Geld ausgelegt hatte (Baden 1841). 496
<strong>VI</strong>. <strong>GESCHICHTE</strong> Nr. 994 Kaiserin Josephine 497