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RAPPORTS ET BILAN 2012 157 e EXERCICE - BCEE

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Depuis 2009, la Banque est membre indirect du système de règlement des transactionsde change CLS 4 . La majeure partie des opérations de change est aujourd’hui réaliséevia CLS. La participation à ce système élimine largement le risque de contrepartie("settlement risk") lié aux opérations de change par le principe du "Payment-versus-Payment". De même, le système CLS réduit le risque de liquidité de la Banquepar l’application d’un "netting" entre transactions ce qui entraîne une diminutionconsidérable des volumes transférés pour les transactions en question.6.2 Exposition au risque de credit2 COMPTES ANNUELS <strong>ET</strong> COMPTES CONSOLIDES DE LA BANQUE6.2.1 Objectifs et gestion du risque de créditChaque engagement de la Banque donnant lieu à un risque de crédit fait l’objetd’une analyse préalable par le service "Analyse et Suivi Risque" (ASR).Dans le domaine des crédits accordés à l’économie nationale, dont les encours sontrenseignés sous la rubrique bilantaire "Prêts et avances au coût amorti – Clientèle",la structure des décisions est hiérarchisée en différents comités de crédit en fonctionde l’encours global du client. A partir d’un seuil défini, les dossiers doivent êtreratifiés par le Comité de direction de la Banque. La structure du portefeuille sedécompose en prêts hypothécaires au logement pour plus de la moitié de l’encours.En ce qui concerne le portefeuille des prêts hypothécaires au logement, le risque decrédit est couvert par le processus d’évaluation de la capacité de remboursementdes clients et par l’existence de garanties réelles. Pour le secteur des prêts et avancesaux entreprises, la Banque s’est fixé des procédures rigoureuses pour l'analyse desdossiers et la prise de garanties. Une attention particulière est accordée au respectdes limites par secteur et par contrepartie. La méthodologie de Bâle II permetà la Banque d’effectuer un suivi continu de l’évolution du risque de crédit desportefeuilles.Au cours de l’exercice <strong>2012</strong>, la Banque n’a pas changé d’approche dans sa politiquede gestion des risques de crédit.Dans le domaine des marchés interbancaires et des crédits internationaux, dontles encours sont répartis sur les rubriques bilantaires "Prêts et avances au coûtamorti – Etablissements de crédit", "Prêts et avances au coût amorti – Clientèle"et "Titres disponibles à la vente – Valeurs mobilières à revenu fixe" où la grandemajorité des contreparties est constituée d’établissements bancaires et financiers,l’attribution d'une notation interne à une contrepartie bancaire se fait à partir d’unecombinaison d’analyses quantitatives et qualitatives. L’élément quantitatif se basesur des ratios décrivant au mieux la profitabilité, l’importance des fonds propres,la liquidité et la qualité des actifs de la contrepartie tandis que l’élément qualitatifémane de l’analyste lui-même qui tient compte d’éléments non financiers tels que la4Continuous-Linked Settlement123

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