orienté le choix <strong>du</strong> corpus. Ces textes chantaient non seulement la légendaire beauté de Paris, les plaisirs des fêtes et l'amour frivole rencontrés au coin d'une rue, mais aussi les jolies femmes qui bouleversaient les cœurs des narrateurs. Avec les connaissances que nous avons acquises jusqu'<strong>à</strong> présent, nous pouvons d'ores et déj<strong>à</strong> dire qu'une plus grande plénitude habitait le Paris d'antan et que de nombreuses histoires d'amour auraient égayé les pages de ce mémoire. Malgré la Seconde Guerre mondiale qui traverse ces décennies, peu utilisent la capitale comme décor, laissant penser que Paris a toujours besoin de divertissement et de soleil dans ses rues. 124
Corpus étudié BIBLIOGRAPHIE AUBERT, Jean-Louis, « Quand Paris s'éteint », 1987 BARBARA, « Gare de Lyon », 1964 BARRIÈRE, Alain, « Notre rue de Paris », 1972 BERNARD, Michèle, « Les boyaux de Paris », 1999 BRILLANT, Dany, « Viens <strong>à</strong> Saint-Germain », 1991 DAHO, Étienne, « Paris le Flore », 1986 DASSIN, Joe, « La complainte de l' heure de pointe », 1972 DOC GYNÉCO, « Dans ma rue », 1997 DUTRONC, Jacques, « Il est cinq heures Paris s' éveille », 1968 CHELON, Georges, « Paris n'a plus l' air de Paris », 1970 CLAY, Philippe, « Ta gueule Paris », 1971 LA VILLIERS, Bernard, « Paris (J'adore le ciel de Paris) », 1995 LAVOINE, Marc, « Paris », 1991 FERRAT, Jean, « Paris an 2000 », 1972 FERRAT, Jean, « Regarde-toi Paname », 1960 FERRÉ, Léo, « À la Seine », 1984 FERRÉ, Léo, « Les Parisiens », 1961 FERRÉ, Léo, « Paname », 1960 FERRÉ, Léo, « Paris c' est une idée », 1970 FERRÉ, Léo, « Paris je ne t'aime plus », 1967
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fredonne et peut rester en tête pe
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voyou, le truand. Les voix féminin
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l'ensemble des Français est perçu
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qu'il fait référence, comme nous
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Grenelle Benoît La Sorbonne l Plac
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destruction des rues, l'occupation
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doivent se faire une place sur le m
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montrait ses jambes, avant, / Au mo
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faisaient le même boucan 95 ». Ce
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Un cœur quelque part ne bat plus /
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