de l’enfant regroupe <strong>des</strong> artic<strong>le</strong>s <strong>des</strong>ensibilisation et lance un appel àl’action afin de traduire <strong>dans</strong> <strong>le</strong>splus brefs délais <strong>le</strong>s connaissancesen pratique. Les travaux du groupesont poursuivis par une nouvel<strong>le</strong>coalition de scientifiques, décideurs,défenseurs de la cause <strong>des</strong> <strong>enfants</strong> etadministrateurs de programmes <strong>des</strong>anté participant au Compte àrebours jusqu’en 2015 : suivre <strong>le</strong>sprogrès en matière de lutte contre lamortalité de la mère, du nouveau-néet de l’enfant. Cette initiative parraineune série de conférences qui adébuté en décembre 2005 et qui sedérou<strong>le</strong>ra environ tous <strong>le</strong>s deux ansjusqu’en 2015 (la prochaine auralieu au Cap, Afrique du Sud, enavril <strong>2008</strong>) 19 .L’initiative du Compte à rebourspermet de réunir <strong>des</strong> informationssur <strong>le</strong>s progrès accomplis par <strong>le</strong>spays qui élargissent <strong>le</strong>ur couvertured’interventions éprouvées visant àréduire <strong>le</strong> nombre de décès d’<strong>enfants</strong>de moins de 5 ans. Si l’on avaitadmis antérieurement que toutes <strong>le</strong>srégions du <strong>monde</strong> devaient passer àla vitesse supérieure, il a aussi étédécidé de donner la priorité aux paysqui affichent <strong>le</strong> plus grand nombrede décès d’<strong>enfants</strong> de moins de 5 ansou <strong>le</strong>s taux <strong>le</strong>s plus é<strong>le</strong>vés. Ainsi, <strong>le</strong>spartenaires du Compte à reboursjusqu’en 2015, y compris l’UNICEF,ont identifié 60 pays prioritairesconcernant <strong>le</strong>s initiatives en faveur dela survie de l’enfant, en se fondantsur deux critères : <strong>le</strong>s pays enregistrantplus de 50 000 décès d’<strong>enfants</strong><strong>La</strong> santé de l’enfant <strong>dans</strong> <strong>des</strong> <strong>situation</strong>s d’urgence comp<strong>le</strong>xesIl est déjà diffici<strong>le</strong> de satisfaire <strong>le</strong>s besoins <strong>des</strong> <strong>enfants</strong>, <strong>des</strong>femmes et <strong>des</strong> famil<strong>le</strong>s en temps de paix. Mais, bien sûr,<strong>le</strong>s difficultés sont encore plus gran<strong>des</strong> pendant <strong>le</strong>s <strong>situation</strong>sd’urgence, qu’il s’agisse de catastrophes naturel<strong>le</strong>s ouprovoquées par l’homme. Et c’est justement lors de ces<strong>situation</strong>s diffici<strong>le</strong>s que <strong>le</strong>s prestations de services de santépour <strong>le</strong>s populations en général et <strong>le</strong>s <strong>enfants</strong> en particuliersont on ne peut plus essentiel<strong>le</strong>s. En effet, une large proportion<strong>des</strong> <strong>enfants</strong> laissés pour compte vit <strong>dans</strong> <strong>des</strong> paysoù <strong>le</strong>s services de santé ont été gravement perturbés. Entre1989 et 2000, la planète a été témoin de 110 conflits, dont103 guerres civi<strong>le</strong>s, pour la plupart de longue durée,accompagnées d’un effondrement <strong>des</strong> institutions et d’actesde vio<strong>le</strong>nce dirigés contre <strong>le</strong>s populations civi<strong>le</strong>s. Àl’heure actuel<strong>le</strong>, un conflit armé sévit <strong>dans</strong> plus de 40 pays,dont 90 % sont <strong>des</strong> pays à revenu faib<strong>le</strong>. Le Rapport 2006de l’UNICEF sur l’action humanitaire dénombrait 29 <strong>situation</strong>sd’urgence affectant <strong>des</strong> <strong>enfants</strong> et <strong>des</strong> femmes.Par <strong>situation</strong> d’urgence comp<strong>le</strong>xe on entend une <strong>situation</strong>de conflit armé, accompagnée de déplacements de populationet souvent d’une insécurité alimentaire entraînant uneprogression de la mortalité et de la malnutrition. Les principa<strong>le</strong>scauses de mortalité infanti<strong>le</strong> <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s <strong>situation</strong>s d’urgencesont <strong>le</strong>s mêmes maladies meurtrières que cel<strong>le</strong>s quifrappent <strong>le</strong>s <strong>enfants</strong> <strong>le</strong> reste du temps : la rougeo<strong>le</strong>, <strong>le</strong> paludisme,<strong>le</strong>s maladies diarrhéiques, <strong>le</strong>s infections respiratoiresaiguës et la malnutrition. À cela, il faut ajouter <strong>le</strong>s autresépidémies de maladies contagieuses comme la méningite,et <strong>le</strong>s carences nutritionnel<strong>le</strong>s qui contribuent largement à lamorbidité et à la mortalité chez l’enfant. Par exemp<strong>le</strong>, <strong>le</strong>staux de mortalité <strong>le</strong>s plus é<strong>le</strong>vés enregistrés <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s populationsréfugiées frappent <strong>le</strong>s <strong>enfants</strong> de moins de 5 ans.Les taux de mortalité infanti<strong>le</strong> sont surtout é<strong>le</strong>vés pendantla phase la plus diffici<strong>le</strong> qui suit l’apparition de la <strong>situation</strong>d’urgence. En comparaison, au <strong>le</strong>ndemain d’une <strong>situation</strong>d’urgence, lorsque <strong>le</strong>s <strong>enfants</strong> se retrouvent <strong>dans</strong> <strong>des</strong>camps de réfugiés où <strong>le</strong> climat est stab<strong>le</strong> pendant unepériode prolongée, il arrive que la mortalité infanti<strong>le</strong> soitplus faib<strong>le</strong> <strong>dans</strong> la population réfugiée que chez <strong>le</strong>s <strong>enfants</strong>locaux. Certains obstac<strong>le</strong>s grèvent <strong>le</strong>s prestations de soinsde santé <strong>des</strong>tinées aux <strong>enfants</strong> <strong>dans</strong> <strong>des</strong> <strong>situation</strong>s d’urgencecomp<strong>le</strong>xes, notamment un accès limité aux soins, <strong>le</strong>sbarrières culturel<strong>le</strong>s, l’insécurité, la pénurie de ressourcescomme <strong>le</strong>s médicaments et <strong>le</strong>s fournitures, et l’absence decommunication entre <strong>le</strong>s diverses organisations qui fournissent<strong>des</strong> secours.Les initiatives et l’engagement de la communauté sontessentiels <strong>dans</strong> ces conditions. Contrairement à l’idée reçueselon laquel<strong>le</strong> <strong>le</strong>s communautés sont fragilisées par <strong>le</strong>s<strong>situation</strong>s de crise et tendent à se fragmenter lorsqu’el<strong>le</strong>ssont soumises au stress de la guerre, de la famine ou <strong>des</strong>déplacements massifs, <strong>le</strong>s étu<strong>des</strong> permettent de penserqu’une forme ou l’autre de mobilisation communautaire esttoujours possib<strong>le</strong> et que <strong>des</strong> éléments importants de lacommunauté restent intacts, voire revêtent davantaged’importance en période de stress. Les données recueilliesen Éthiopie, au Malawi et <strong>dans</strong> <strong>le</strong> sud du Soudan sur <strong>le</strong>sdifficultés de traitement de la malnutrition grave <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s<strong>situation</strong>s d’urgence comp<strong>le</strong>xes permettent de penser que<strong>le</strong> succès d’une intervention dépend essentiel<strong>le</strong>ment de laparticipation de personnalités respectées par la communauté(chefs traditionnels, enseignants et agents de santélocaux, par exemp<strong>le</strong>), ainsi que <strong>des</strong> organisations communautaires,réseaux de volontaires et associations féminines.Par ail<strong>le</strong>urs, la participation <strong>des</strong> guérisseurs peut être toutaussi importante, car, <strong>dans</strong> bien <strong>des</strong> cas, ils sont <strong>le</strong>s premiersà être consultés et peuvent donc jouer un rô<strong>le</strong> critiqueen identifiant très tôt <strong>le</strong>s cas graves de malnutritionchez l’enfant.Voir Références, page 10518 LA SITUATION DES ENFANTS DANS LE MONDE <strong>2008</strong>
de moins de 5 ans par an et <strong>le</strong>s paysaffichant un taux annuel de mortalité<strong>des</strong> moins de 5 ans d’au moins 90pour 1 000 naissances vivantes. En2005, ces 60 pays enregistraientensemb<strong>le</strong> 93 % de la totalité <strong>des</strong>décès d’<strong>enfants</strong> de moins de 5 ans dela planète. Dans ce groupe, sept paysseu<strong>le</strong>ment – Bangla<strong>des</strong>h, Brésil,Égypte, Indonésie, Mexique, Népal etPhilippines – sont sur la bonne voiepour atteindre l’OMD 4. Par contre,19 <strong>des</strong> pays prioritaires devront obtenir<strong>des</strong> réductions annuel<strong>le</strong>s d’aumoins 10 % pour atteindre la cib<strong>le</strong>fixée pour 2015 20 .Priorité 2 : fournir un continuumde soins de santé aux mères, auxnouveau-nés et aux <strong>enfants</strong> enregroupant <strong>le</strong>s interventions àappliquer aux principa<strong>le</strong>s étapesdu cyc<strong>le</strong> de vie.Certains programmes de santé infanti<strong>le</strong>ciblant <strong>des</strong> maladies et <strong>des</strong> conditionsspécifiques ont permis d’obtenir<strong>des</strong> résultats stupéfiants. Ces interventionsdites « vertica<strong>le</strong>s » sontgénéra<strong>le</strong>ment <strong>des</strong> actions ponctuel<strong>le</strong>scouvrant un problème de santé spécifique,comme <strong>le</strong>s campagnes de vaccinationcontre une maladie particulière.Les enseignements tirés <strong>des</strong>expériences passées, qui sont étudiésen détail au Chapitre 2, indiquentque ces programmes ne permettentpas de procurer aux mères, aux nouveau-néset aux <strong>enfants</strong> <strong>le</strong>s soins plusglobaux et sur une plus longue duréedont ils ont besoin. L’expérienceacquise récemment permet de penserque <strong>des</strong> progrès beaucoup plusimportants sont possib<strong>le</strong>s si l’onregroupe <strong>dans</strong> un train de mesuressanitaires administrées à <strong>des</strong> étapescapita<strong>le</strong>s du cyc<strong>le</strong> de vie, <strong>le</strong>s interventionssusceptib<strong>le</strong>s de sauver <strong>des</strong> vies.Le regroupement et l’intégration <strong>des</strong>interventions d’un bon rapport coûtefficacitédont l’utilité a été démontrée– par exemp<strong>le</strong> la vaccination etla supplémentation en vitamine A –sont efficaces. Ces mesures garantissentaussi que <strong>le</strong>s <strong>enfants</strong> <strong>des</strong>servisreçoivent <strong>des</strong> soins plus comp<strong>le</strong>ts.Récemment, il a été démontré que <strong>le</strong>regroupement de 16 interventionséprouvées pourrait éviter jusqu’à 72% <strong>des</strong> décès <strong>des</strong> nouveau-nés. Cesmesures comprennent : vaccinationpar l’anatoxine antitétanique, présencede soignants qualifiés lors del’accouchement, accès aux soins obstétricaux,allaitement exclusif au seindébutant immédiatement après lanaissance, soins pour garder <strong>le</strong>s nouveau-nésau sec et au chaud, accès àla réanimation, si nécessaire, soinsspéciaux aux nourrissons souffrantd’insuffisance pondéra<strong>le</strong> à la naissanceet traitement <strong>des</strong> infections 21 .Le moment auquel ces interventionsgroupées sont mises en place peutêtre déterminant. Plus de la moitié<strong>des</strong> décès de mères et de nouveau-néssurviennent à la naissance et au cours<strong>des</strong> premiers jours de la vie, maisc’est aussi la période au cours delaquel<strong>le</strong> la couverture sanitaire est laplus faib<strong>le</strong>. Un continuum de soinsefficace (voir Encadré, page 17) relie<strong>des</strong> modu<strong>le</strong>s d’interventions sanitairesessentiel<strong>le</strong>s pour la mère, <strong>le</strong> nouveaunéet l’enfant pendant une périodequi englobe la grossesse, l’accouchement,<strong>le</strong>s phases postnata<strong>le</strong> et néonata<strong>le</strong>,ainsi que l’enfance et l’ado<strong>le</strong>scence.L’avantage est que chaqueintervention s’appuie sur <strong>le</strong>s succès<strong>des</strong> interventions réalisées à l’étapeprécédente. Par exemp<strong>le</strong>, l’octroi <strong>des</strong>ervices intégrés aux ado<strong>le</strong>scentespermet de limiter <strong>le</strong> nombre de grossessesnon désirées ou mal planifiées.Les consultations médica<strong>le</strong>s contribuentà éviter <strong>des</strong> problèmes pendantla grossesse et favorisent <strong>des</strong> soinsappropriés pour <strong>le</strong>s mères pendantl’accouchement. L’accès à un personnelcompétent avant, pendant etimmédiatement après la naissanceréduit <strong>le</strong> risque de décès ou d’incapacitéspour la mère comme pour <strong>le</strong>bébé. L’accès <strong>des</strong> <strong>enfants</strong> à toute lagamme <strong>des</strong> soins disponib<strong>le</strong>s garantit<strong>le</strong>ur droit à la santé.Un continuum de soins efficacepermet de comb<strong>le</strong>r <strong>le</strong>s lacunes,qu’il s’agisse <strong>des</strong> soins administrésà domici<strong>le</strong>, <strong>dans</strong> la communauté,<strong>dans</strong> un centre de soins ou à l’hôpital.Les bébés qui souffrent d’asphyxie,de septicémie ou de complicationsà la naissance à la suite d’unaccouchement prématuré risquent demourir <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s heures, voire <strong>le</strong>sminutes qui suivent la naissance s’ilsn’ont pas accès à <strong>des</strong> soins appropriés.Puisque, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> <strong>monde</strong> endéveloppement, plus de 60 millionsde femmes accouchent à la maison 22 ,il est essentiel qu’une personne compétentesoit présente pendant l’accouchementet qu’el<strong>le</strong> bénéficie du soutienvigoureux d’un dispensaire oud’un établissement de premier niveauet de l’hôpital en cas de complications.<strong>La</strong> qualité <strong>des</strong> soins à tousces niveaux est crucia<strong>le</strong>.Priorité 3 : renforcer <strong>le</strong>s systèmesde santé et <strong>le</strong>s partenariatscommunautairesL’octroi de soins de santé intégrauxaux <strong>enfants</strong> exige l’application demesures préventives en plus dutraitement <strong>des</strong> maladies. <strong>La</strong> préventionexige généra<strong>le</strong>ment <strong>des</strong> changementsde comportements qui doiventdébuter au niveau de la famil<strong>le</strong> pourobtenir un soutien communautaire.L’amélioration de la nutrition, parexemp<strong>le</strong>, passe souvent par l’amélioration<strong>des</strong> pratiques d’alimentationdu nourrisson grâce à l’allaitementmaternel ou, par la suite, à la créationde cuisines ou de jardins communautaires.Cet apprentissage doitse faire au niveau individuel et êtrerenforcé par la communauté. Lepuits, <strong>le</strong>s pompes et <strong>le</strong>s toi<strong>le</strong>ttes sontla clé d’une bonne hygiène. Mais<strong>le</strong>ur efficacité dépend de la volontéLA SURVIE DE L’ENFANT : OÙ EN SOMMES-NOUS ? 19
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