Le VIH et <strong>le</strong> SIDA en Afrique et <strong>le</strong>ur impact sur <strong>le</strong>s femmes et <strong>le</strong>s <strong>enfants</strong>Elizabeth N. Mataka, envoyée spécia<strong>le</strong> du Secrétaire général<strong>des</strong> Nations Unies pour <strong>le</strong> VIH et <strong>le</strong> SIDA en AfriqueIl est décourageant de constater que près de la moitié detous <strong>le</strong>s adultes qui vivent avec <strong>le</strong> VIH <strong>dans</strong> <strong>le</strong> <strong>monde</strong> sont<strong>des</strong> femmes. Rien qu’en Afrique subsaharienne, sur <strong>le</strong>s23 millions d’adultes de 15 à 49 ans contaminés par <strong>le</strong> VIH,13,1 millions, soit 57 %, sont <strong>des</strong> femmes. En Zambie, parexemp<strong>le</strong>, <strong>le</strong>s femmes et <strong>le</strong>s fil<strong>le</strong>s sont extrêmement vulnérab<strong>le</strong>sau VIH et au SIDA, et <strong>le</strong>s femmes de 15 à 24 ans courenttrois fois plus de risques d’être infectées que <strong>le</strong>s hommes dumême groupe d’âge. Le tribut que <strong>le</strong>s femmes payent au VIH,notamment en Afrique, a été largement sous-estimé. Les<strong>enfants</strong> ont aussi subi de p<strong>le</strong>in fouet <strong>le</strong>s effets du SIDA, etson impact est dévastateur. On estime qu’à la fin de 2006, 2,3millions d’<strong>enfants</strong> de moins de 15 ans vivaient avec <strong>le</strong> VIH.Beaucoup d’<strong>enfants</strong> continuent de perdre <strong>le</strong>urs parentsà cause du SIDA, et <strong>le</strong> nombre d’orphelins et d’<strong>enfants</strong> vulnérab<strong>le</strong>saugmente rapidement : on projette qu’en 2010,15,7 millions d’<strong>enfants</strong> seront orphelins du SIDA rien qu’enAfrique subsaharienne. Les <strong>enfants</strong> souffrent longtempsavant la mort de <strong>le</strong>urs parents, <strong>le</strong>s fil<strong>le</strong>s en particulier, quipeuvent être retirées de l’éco<strong>le</strong> pour s’occuper <strong>des</strong> membresde la famil<strong>le</strong> tombés mala<strong>des</strong>, notamment la mère. Fauted’être soutenus, <strong>le</strong>s <strong>enfants</strong> sont privés de toute possibilitéde s’instruire et de se développer au mieux de <strong>le</strong>urs capacités.Après <strong>le</strong> décès <strong>des</strong> parents, ils doivent al<strong>le</strong>r vivre ail<strong>le</strong>urs– perdant ainsi <strong>le</strong>urs amis et quittant <strong>le</strong>s lieux <strong>dans</strong> <strong>le</strong>squelsils étaient à l’aise. On ne connaît pas véritab<strong>le</strong>ment <strong>le</strong>s traumatismesdont souffrent ces <strong>enfants</strong> parce que <strong>le</strong>s servicesde conseil aux <strong>enfants</strong> ne sont pas développés en Afrique.Je suppose que l’on s’est surtout attaché à répondre à <strong>le</strong>ursbesoins physiques et visib<strong>le</strong>s, en négligeant <strong>des</strong> besoinspsychologiques plus comp<strong>le</strong>xes et plus diffici<strong>le</strong>s à comb<strong>le</strong>r.Les <strong>enfants</strong> ne peuvent plus dépendre du soutien traditionnel<strong>le</strong>mentgaranti par <strong>le</strong> système de la famil<strong>le</strong> élargie, quiprenait en charge <strong>le</strong>s personnes âgées, <strong>le</strong>s orphelins et <strong>le</strong>sparents vulnérab<strong>le</strong>s et démunis. Ce mécanisme d’adaptationn’est plus suffisant pour faire face à la pauvreté et au nombreimpressionnant d’<strong>enfants</strong> dont il faut s’occuper, car <strong>le</strong>SIDA frappe <strong>le</strong>s membres <strong>le</strong>s plus productifs de la famil<strong>le</strong>, àl’apogée de <strong>le</strong>ur vie productive et procréatrice. Par conséquent,<strong>le</strong>s <strong>enfants</strong> doivent parfois al<strong>le</strong>r vivre <strong>dans</strong> <strong>des</strong> foyersqui n’ont pas <strong>le</strong>s moyens de <strong>le</strong>s prendre en charge, et ausein <strong>des</strong>quels ils ne sont pas vraiment <strong>le</strong>s bienvenus.Certains deviennent sans abris et sont contraints de vivre<strong>dans</strong> <strong>le</strong>s rues <strong>des</strong> gran<strong>des</strong> capita<strong>le</strong>s africaines.Tous <strong>le</strong>s <strong>enfants</strong> ont besoin d’un toit au-<strong>des</strong>sus de <strong>le</strong>ur tête,d’une nutrition adéquate, et de structures parenta<strong>le</strong>s etd’appui qui <strong>le</strong>s aideront à grandir et <strong>le</strong>ur redonnerontespoir pour l’avenir. Sans l’éducation et la socialisation queprocurent <strong>le</strong>urs parents et tuteurs, <strong>le</strong>s <strong>enfants</strong> ne peuventpas acquérir <strong>le</strong>s compétences et <strong>le</strong>s connaissances dont ilsauront besoin pour devenir <strong>des</strong> membres productifs et àpart entière de la société à l’âge adulte. A cause du VIH etdu SIDA, une génération d’<strong>enfants</strong> a été é<strong>le</strong>vée par <strong>le</strong>sgrands-parents qui, <strong>dans</strong> la plupart <strong>des</strong> cas, ont aussibesoin d’aide du seul fait de <strong>le</strong>ur âge.Les taux d’infection <strong>des</strong> femmes et <strong>des</strong> fil<strong>le</strong>s soulèvent degraves préoccupations, et lorsqu’on <strong>le</strong>s combine à la chargede travail <strong>des</strong> femmes – qui s’occupent aussi <strong>des</strong> patients duSIDA, <strong>des</strong> orphelins du SIDA et de <strong>le</strong>urs propres famil<strong>le</strong>s – la<strong>situation</strong> devient intenab<strong>le</strong>, en particulier en Afrique austra<strong>le</strong>.Les disparités en terme de statut socio-économique entre<strong>le</strong>s hommes et <strong>le</strong>s femmes ont un impact considérab<strong>le</strong> surla propagation du VIH, notamment chez <strong>le</strong>s femmes et <strong>le</strong>sfil<strong>le</strong>s. Les normes culturel<strong>le</strong>s et <strong>le</strong>s mariages précocesaccroissent encore la vulnérabilité <strong>des</strong> jeunes fil<strong>le</strong>s à l’infection.Une communication insuffisante sur tout ce qui a traità la sexualité limite <strong>le</strong>ur capacité à négocier <strong>des</strong> pratiquessans risques et peut obliger <strong>le</strong>s femmes à rester <strong>dans</strong> <strong>des</strong>relations dangereuses. En outre, <strong>des</strong> problèmes socio-économiquespeuvent limiter l’accès <strong>des</strong> femmes aux conseilset aux traitements. Dans ce genre de <strong>situation</strong>, <strong>le</strong>s femmesn’accèdent pas à la propriété, sont privées de ressourcesfinancières et dépendent pour vivre de <strong>le</strong>ur mari, de <strong>le</strong>urpère, de <strong>le</strong>urs frères ou de <strong>le</strong>urs fils. Sans ressources, <strong>le</strong>sfemmes peuvent être victimes de vio<strong>le</strong>nce sexuel<strong>le</strong>, et lamenace de cette vio<strong>le</strong>nce réduit aussi <strong>le</strong>urs capacités à seprotéger du VIH et du SIDA.<strong>La</strong> crise est loin d’être résolue. Les gouvernements africainsdoivent s’engager à renforcer <strong>le</strong>s initiatives qui améliorent<strong>le</strong>s capacités <strong>des</strong> individus, et en particulier <strong>des</strong> femmes et<strong>des</strong> <strong>enfants</strong>, à se protéger. L’autonomisation <strong>des</strong> femmesdoit cesser d’être abordée uniquement sous la rubriquegénéra<strong>le</strong> de « l’égalité <strong>des</strong> sexes <strong>dans</strong> tous <strong>le</strong>s aspects dudéveloppement ». L’autonomisation <strong>des</strong> femmes, comme <strong>le</strong>soutien aux orphelins et aux <strong>enfants</strong> vulnérab<strong>le</strong>s, doit êtrel’objet de programmes bien ciblés, définis <strong>dans</strong> <strong>le</strong> temps etbien financés qui obtiennent <strong>des</strong> résultats mesurab<strong>le</strong>s.Il est impératif d’accroître <strong>le</strong> soutien aux initiatives « au-delàde la sensibilisation » qui mettent l’accent sur l’acquisitionde compétences, et qui promeuvent <strong>le</strong>s soins de santé baséssur la communauté, un mode de vie positif, l’égalité <strong>des</strong>sexes et l’accès universel à la prévention, aux soins et auxtraitements.Les ramifications de la pandémie de SIDA sont multip<strong>le</strong>set ont un impact négatif sur tous <strong>le</strong>s aspects du développement.Il reste beaucoup à faire en Afrique pour s’assurer quela riposte soit proportionnel<strong>le</strong> aux difficultés humaines etfinancières que posent <strong>le</strong> VIH et <strong>le</strong> SIDA. Nous avons besoinde programmes de prévention à long terme et durab<strong>le</strong>s,de soins et de soutien, et d’une affectation consistante,prévisib<strong>le</strong> et durab<strong>le</strong> de ressources. Il faut aussi donner auxfemmes <strong>le</strong>s moyens de se prendre en charge et faire évoluer<strong>le</strong>s pratiques culturel<strong>le</strong>s discriminatoires à <strong>le</strong>ur égard. Desripostes durab<strong>le</strong>s à long terme sont essentiel<strong>le</strong>s et nepourront être mises en œuvre que si toutes <strong>le</strong>s partiesintéressées travail<strong>le</strong>nt ensemb<strong>le</strong>.42 LA SITUATION DES ENFANTS DANS LE MONDE <strong>2008</strong>
Le Partenariat pour la santé <strong>des</strong> mères, <strong>des</strong> nouveau-nés et <strong>des</strong> <strong>enfants</strong>Le Partenariat pour la santé <strong>des</strong> mères, <strong>des</strong> nouveau-nés et<strong>des</strong> <strong>enfants</strong> (PMNCH), lancé en septembre 2005, rassemb<strong>le</strong>180 communautés membres qui se sont regroupées pourfaire recu<strong>le</strong>r la mortalité et la morbidité. Le PMNCH est <strong>le</strong>produit d’une alliance entre trois grands partenariats enfaveur de la santé <strong>des</strong> mères, <strong>des</strong> nouveau-nés et <strong>des</strong><strong>enfants</strong> : <strong>le</strong> Partenariat pour la maternité sans risque et lasanté du nouveau-né de l’OMS à Genève; <strong>le</strong> HealthyNewborn Partnership de l’organisation Save the ChildrenUSA; et <strong>le</strong> Partenariat pour la survie de l’enfant de l’UNICEFà New York.Le partenariat est actif <strong>dans</strong> quatre domaines principaux :• Plaidoyer/Mobilisation, sa mission centra<strong>le</strong>. Cela consisteà augmenter la visibilité de la santé <strong>des</strong> mères, <strong>des</strong> nouveau-néset <strong>des</strong> <strong>enfants</strong> sur la scène politique et à exercer<strong>des</strong> pressions pour obtenir <strong>des</strong> ressources supplémentaires,financières et autres.• Promotion et évaluation d’interventions efficaces etéprouvées pour <strong>le</strong> passage à plus grande échel<strong>le</strong> en s’efforçantde rendre l’accès aux soins plus équitab<strong>le</strong>.• Soutien aux pays pour faire figurer <strong>le</strong>s soins aux mères,aux nouveau-nés et aux <strong>enfants</strong> <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s plans nationauxde développement et d’investissement, renforcer <strong>le</strong>s systèmesde santé et améliorer l’équité de la couverture.• Surveillance et évaluation de la couverture <strong>des</strong> interventionsprioritaires, progrès de réalisation <strong>des</strong> OMD 4 et 5,et équité de la couverture, pour responsabiliser <strong>le</strong>s partiesprenantes.Les membres du PMNCH se divisent en six groupes cib<strong>le</strong>s :<strong>le</strong>s instituts académiques et de recherche, <strong>le</strong>s professionnelsde la santé, <strong>le</strong>s institutions <strong>des</strong> Nations Unies, <strong>le</strong>sorganisations non gouvernementa<strong>le</strong>s, <strong>le</strong>s donateurs et <strong>le</strong>sfondations, et <strong>le</strong>s gouvernements.Le partenariat vise à mettre au moins la moitié <strong>des</strong> 60 paysconcernés par <strong>le</strong> Compte à rebours pour la survie de l’enfantjusqu’en 2015 en bonne voie d’atteindre <strong>le</strong>s OMD 4 et5 d’ici à 2010. L’un <strong>des</strong> principes fondateurs de ses activitésest de créer un continuum de soins pour que la santé <strong>des</strong>mères, <strong>des</strong> nouveau-nés et <strong>des</strong> <strong>enfants</strong> soit traitée demanière intégrée, à la fois <strong>dans</strong> <strong>le</strong> temps (grossesse, accouchement,période suivant la naissance et petite enfance) et<strong>dans</strong> <strong>le</strong>s lieux (maison, communauté et centres de santé).Voir références, page 106.Exploiter l’expérience acquiseComme ce bref examen l’a montré,la santé publique est un domaine oùl’apprentissage et l’évolution sontconstants. Nous devons nous concentrersur <strong>le</strong>s stratégies qui ont fait <strong>le</strong>urspreuves pour faire recu<strong>le</strong>r <strong>le</strong>s principa<strong>le</strong>scauses de décès <strong>des</strong> <strong>enfants</strong> et,pour être efficaces, <strong>le</strong>s interventionsdoivent être intégrées à un continuumde soins auquel participent <strong>le</strong>s communautéset <strong>le</strong>s foyers, ainsi que<strong>des</strong> centres de santé et <strong>des</strong> cliniquesmobi<strong>le</strong>s. Les systèmes de santé doiventêtre renforcés et élargis pour soutenirces nouvel<strong>le</strong>s initiatives, notamment<strong>le</strong>s partenariats avec <strong>le</strong>s communautés,et ils doivent bénéficier d’unencadrement et d’un engagementsoli<strong>des</strong> aux niveaux national et international.En outre, <strong>le</strong> grand nombred’institutions qui œuvrent en faveurde la survie <strong>des</strong> mères et <strong>des</strong> <strong>enfants</strong>,de la santé et la nutrition doivent travail<strong>le</strong>rensemb<strong>le</strong> de manière efficace.L’un <strong>des</strong> principes fondateurs quiressort de l’examen <strong>des</strong> approchesadoptées au cours <strong>des</strong> soixantedernières années en matière de surviede l’enfant est qu’il n’y a pas d’interventionunique applicab<strong>le</strong> à toutes <strong>le</strong>s<strong>situation</strong>s. L’organisation, l’offre et <strong>le</strong>choix <strong>des</strong> prestations de services <strong>des</strong>anté doivent être adaptés en fonction<strong>des</strong> limitations <strong>des</strong> ressources humaineset financières, de la conjoncturesocio-économique, <strong>des</strong> capacitésexistantes du système de santé, etenfin, de l’urgence avec laquel<strong>le</strong> <strong>des</strong>résultats doivent être obtenus.Le Chapitre 3, qui souligne lanécessité impérative de développer<strong>le</strong>s systèmes de santé afin d’offrir uncontinuum de soins de qualité et quimet en avant <strong>le</strong>s avantages <strong>des</strong> partenariatscommunautaires <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s paysoù <strong>le</strong>s capacités du système de santésont faib<strong>le</strong>s, montrera comment <strong>le</strong>sconnaissances acquises sont mises àprofit. Les résultats sont souvent prometteurset parfois impressionnants,mais nous pouvons faire plus – etnous avons encore beaucoup àapprendre – pour élargir ces approchesafin d’atteindre <strong>le</strong>s millions demères, de nouveau-nés et d’<strong>enfants</strong>qui vivent ou meurent à l’heureactuel<strong>le</strong> sans avoir accès à <strong>des</strong>soins de santé de bonne qualité.LEÇONS TIRÉES DE L’ÉVOLUTION DES SYSTÈMES ET DES PRATIQUES DE SOINS DE SANTÉ 43
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