Développer <strong>le</strong>s systèmes de santépour obtenir <strong>des</strong> résultatsDans <strong>le</strong> cadre de l’harmonisation del’aide et de l’élargissement <strong>des</strong> activités,notamment en Afrique, <strong>le</strong>s OMDliés à la santé et d’autres indicateursservent de plus en plus de critèresrelatifs aux résultats <strong>des</strong> initiatives derenforcement <strong>des</strong> systèmes de santé.Cet accent mis sur <strong>le</strong>s résultats vise àcréer une synergie entre ce qui a étéaccompli et <strong>le</strong>s efforts fournis. Deplus en plus, <strong>le</strong> développement <strong>des</strong>systèmes de santé s’inscrit <strong>dans</strong> laréalisation <strong>des</strong> objectifs, plutôt qu’iln’est considéré comme une démarcheà part.Cette corrélation entre <strong>le</strong>s systèmes et<strong>le</strong>s résultats a été mise en avant <strong>dans</strong><strong>le</strong> cadre stratégique préparé conjointementpar l’UNICEF, l’OMS et laBanque mondia<strong>le</strong>, à la demande del’Union africaine, pour atteindre <strong>le</strong>sOMD 4 et 5 en renforçant <strong>le</strong>s systèmesde santé. Ce cadre analyse <strong>le</strong>sgou<strong>le</strong>ts d’étrang<strong>le</strong>ment <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s systèmesde 16 pays africains et simu<strong>le</strong>l’impact potentiel que <strong>le</strong>ur suppressionaurait sur <strong>le</strong>s OMD <strong>dans</strong> chacunde ces pays. En s’appuyant sur cecadre, plus de 10 pays d’Afriquemodifient actuel<strong>le</strong>ment <strong>le</strong>urs plans etmécanismes budgétaires, entre autres,<strong>le</strong>urs Documents stratégiques deréduction de la pauvreté, <strong>le</strong>urs plansde développement du secteur de lasanté, <strong>le</strong>urs approches sectoriel<strong>le</strong>s et<strong>le</strong>urs cadres de dépenses à moyenterme, afin que <strong>le</strong> renforcement de<strong>le</strong>urs systèmes de santé se traduisepar <strong>des</strong> résultats concrets pour <strong>le</strong>smères et <strong>le</strong>s <strong>enfants</strong>.Ces pays constituent aussi <strong>des</strong> « argumentsen faveur de l’investissement »qui regroupent <strong>le</strong>s gou<strong>le</strong>ts d’étrang<strong>le</strong>ment,<strong>le</strong>s stratégies, <strong>le</strong>s résultats anticipésen matière de santé et <strong>le</strong>s financementssupplémentaires nécessairespour obtenir <strong>le</strong> soutien politique etfinancier indispensab<strong>le</strong> à la mise enœuvre de <strong>le</strong>urs plans nationaux.Renforcer <strong>le</strong>s systèmes de santéau niveau <strong>des</strong> districtsLe renforcement <strong>des</strong> systèmes <strong>des</strong>anté est une tâche aussi redoutab<strong>le</strong>que comp<strong>le</strong>xe, notamment <strong>dans</strong>beaucoup de pays où la réalisation<strong>La</strong> crise du personnel de santé en Afrique : il est urgent d’intervenir<strong>La</strong> pénurie de ressources humaines compétentes est un obstac<strong>le</strong>majeur à l’élargissement <strong>des</strong> approches intégrées enfaveur de la survie, de la santé et de la nutrition maternel<strong>le</strong>s,néonata<strong>le</strong>s et infanti<strong>le</strong>s au niveau <strong>des</strong> communautés. <strong>La</strong><strong>situation</strong> actuel<strong>le</strong> suggère que la plupart <strong>des</strong> programmes<strong>des</strong> pays en développement se caractérisent par un manqued’efficacité, un fort taux de rotation du personnel et unesupervision inadéquate. <strong>La</strong> migration massive <strong>des</strong> professionnelsde la santé, l’impact du SIDA, qui <strong>dans</strong> certains paysà forte préva<strong>le</strong>nce, a décimé <strong>le</strong>s effectifs, ainsi que <strong>le</strong>s conflitsarmés, ont affaibli <strong>le</strong> personnel <strong>des</strong> systèmes de santé nationaux<strong>dans</strong> un grand nombre de pays en développement où<strong>le</strong>s progrès pour réduire la mortalité infanti<strong>le</strong> sont <strong>le</strong>nts ouinexistants. Dans ces <strong>situation</strong>s, <strong>le</strong>s agents de santé communautairesont un rô<strong>le</strong> important à jouer pour améliorer lasanté de la communauté en général, et la santé <strong>des</strong> <strong>enfants</strong>en particulier. Il faut souligner, toutefois, que <strong>le</strong>s agents <strong>des</strong>anté communautaires doivent s’ajouter et non se substitueraux professionnels de la santé formés.Les agents de santé aux niveaux <strong>des</strong> districts et <strong>des</strong>communautésLe nombre d’agents de santé disponib<strong>le</strong>s pour 1 000 <strong>enfants</strong>,notamment <strong>le</strong>s infirmières et <strong>le</strong>s médecins, détermine engrande partie <strong>le</strong>s variations <strong>des</strong> taux de mortalité de l’enfant etmaternel<strong>le</strong> observées <strong>dans</strong> divers pays. Par exemp<strong>le</strong>, la recherchenous apprend que <strong>le</strong>s chances d’obtenir une couverture de80 % en matière de vaccination contre la rougeo<strong>le</strong> et d’accouchementsassistés par un personnel qualifié augmentent fortementlorsque la densité du personnel médical est supérieure à2,5 pour 1 000 habitants. Pourtant, de nombreux pays en développement,notamment en Afrique subsaharienne, souffrentd’une grave pénurie <strong>des</strong> personnels de santé.<strong>La</strong> migration <strong>des</strong> professionnels de la santé qualifiés pose unproblème grave <strong>dans</strong> beaucoup de pays en développement.En particulier, il est très inquiétant de voir <strong>le</strong>s professionnelsde la santé <strong>des</strong> pays pauvres partir en masse pour <strong>le</strong>s paysriches (ce qu’on appel<strong>le</strong> la « fuite <strong>des</strong> cerveaux »). Mais d’autrestypes de mouvements à l’intérieur <strong>des</strong> pays – <strong>des</strong> zonesrura<strong>le</strong>s aux zones de conurbation, du secteur public au secteurprivé, et du secteur de la santé à d’autres branches d’activité– réduisent aussi <strong>le</strong> nombre de professionnels de lasanté qualifiés disponib<strong>le</strong>s pour fournir <strong>des</strong> soins de santéprimaires <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s pays en développement.Les raisons pour <strong>le</strong>squel<strong>le</strong>s <strong>le</strong>s médecins et <strong>le</strong>s infirmièresquittent <strong>le</strong> secteur de la santé semb<strong>le</strong>nt être <strong>le</strong>s mêmes<strong>dans</strong> <strong>des</strong> régions aussi diverses que <strong>le</strong>s Î<strong>le</strong>s du Pacifique etl’Union européenne. Ce sont, entre autres, la faib<strong>le</strong>sse <strong>des</strong>rémunérations, <strong>des</strong> horaires inf<strong>le</strong>xib<strong>le</strong>s et de nombreusesresponsabilités supplémentaires, l’offre insuffisante de formationprofessionnel<strong>le</strong>, <strong>des</strong> conditions de travail diffici<strong>le</strong>s,<strong>des</strong> patients exigeants et une pénurie de matériel et d’équipements.Selon <strong>des</strong> statistiques récentes, par exemp<strong>le</strong>, lamoitié <strong>des</strong> diplômés <strong>des</strong> éco<strong>le</strong>s de médecine du Ghana émigre<strong>dans</strong> <strong>le</strong>s 4 années et demi qui suivent la fin <strong>des</strong> étu<strong>des</strong>,et 75 % d’entre eux partent <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s dix années qui suivent.En Afrique du Sud, plus de 300 infirmières spécialisées quittentchaque mois <strong>le</strong> pays – dont beaucoup pour ne jamaisrevenir. Les principa<strong>le</strong>s <strong>des</strong>tinations <strong>des</strong> professionnels dela santé sont l’Europe et l’Amérique du Nord. Cela est particulièrementvrai pour <strong>le</strong> Royaume-Uni, où un tiers <strong>des</strong> personnelsde santé est originaire d’autres pays. <strong>La</strong> recherchesuggère que la densité <strong>des</strong> professionnels de la santé(médecins, infirmières, sages-femmes) est plus de 10 foisplus é<strong>le</strong>vée en Europe et en Amérique du Nord qu’en76 LA SITUATION DES ENFANTS DANS LE MONDE <strong>2008</strong>
<strong>des</strong> OMD liés à la santé n’avance pasassez vite. <strong>La</strong> décentralisation <strong>des</strong>systèmes de santé et la préférencedonnée aux initiatives prises auniveau <strong>des</strong> districts peuvent êtreconsidérées comme <strong>des</strong> moyens efficacespour fournir <strong>des</strong> soins de santéprimaires aux <strong>enfants</strong> et aux famil<strong>le</strong>smarginalisés <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s communautés 18 .Mais la décentralisation n’est passans risques : el<strong>le</strong> peut avoir <strong>des</strong>conséquences indésirab<strong>le</strong>s, par exemp<strong>le</strong>,aggraver <strong>le</strong>s inégalités au sein <strong>des</strong>communautés, en fonction de facteurscomme la pauvreté, <strong>le</strong> sexe, lalangue et l’appartenance ethnique 19 .En outre, même lorsque <strong>le</strong>s efforts dedécentralisation ont porté <strong>le</strong>urs fruits,l’expérience suggère que la transformationd’un district administratif enun système de santé opérationne<strong>le</strong>xige du temps. En 2000, par exemp<strong>le</strong>,seu<strong>le</strong>ment 13 <strong>des</strong> hôpitaux dedistrict du Niger étaient équipés pourpratiquer <strong>des</strong> accouchements parcésarienne. Seu<strong>le</strong>ment 17 <strong>des</strong> 53hôpitaux de district du Burkina Fasodisposaient d’installations adéquatesdix ans après la création <strong>des</strong> districts;de plus, seu<strong>le</strong>ment 5 de ces 17 hôpitauxavaient recruté <strong>le</strong>s trois médecinsrequis pour assurer la continuité<strong>des</strong> soins pendant toute l’année 20 .Néanmoins, l’expérience de la décentralisation<strong>des</strong> dix dernières annéessuggère que, en moyenne, <strong>le</strong>s districtssanitaires offrent un moyen rationneld’offrir <strong>des</strong> soins de santé primaires<strong>dans</strong> <strong>le</strong> cadre de centres de santé, depratiques familia<strong>le</strong>s ou de structureséquiva<strong>le</strong>ntes décentralisées, qui s’appuientsur <strong>des</strong> hôpitaux centraux.Là où <strong>le</strong>s districts sont devenus <strong>des</strong>structures stab<strong>le</strong>s et viab<strong>le</strong>s, ils ontdonné <strong>des</strong> résultats remarquab<strong>le</strong>s,même <strong>dans</strong> <strong>des</strong> <strong>situation</strong>s d’urgencecomp<strong>le</strong>xes, comme en Républiquedémocratique du Congo et enGuinée. De la même façon, <strong>le</strong> Malia étendu ses réseaux de centres <strong>des</strong>anté et <strong>le</strong>s services offerts aux mèreset aux <strong>enfants</strong> 21 . Dans <strong>le</strong>s pays où ladécentralisation s’est accompagnéed’une réforme de l’administrationpublique, <strong>des</strong> progrès importants ontété enregistrés en l’espace de quelquesannées. On peut citer <strong>le</strong>s exemp<strong>le</strong>s duMozambique, du Rwanda et del’Ouganda, pays qui ont enduré <strong>des</strong>Afrique subsaharienne. <strong>La</strong> migration a souvent <strong>des</strong> conséquencesdésastreuses sur la prestation <strong>des</strong> services <strong>des</strong>anté <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s pays en développement, car ces mouvementsde capital humain touchent <strong>le</strong>s professionnels <strong>le</strong>smieux formés, et <strong>dans</strong> <strong>le</strong>squels <strong>le</strong>s gouvernements ontbeaucoup investi par <strong>le</strong> biais de la formation et du développementde carrière.En plus de ces raisons généra<strong>le</strong>s, l’épidémie de SIDA et <strong>le</strong>sconflits armés ont aussi été <strong>des</strong> causes importantes <strong>des</strong>départs <strong>des</strong> personnels de santé, notamment en Afriquesubsaharienne.Dans <strong>des</strong> <strong>situation</strong>s de conflit ou pendant la période dereconstruction qui suit un conflit, <strong>le</strong>s prestataires de soinsqualifiés jouent un rô<strong>le</strong> essentiel en fournissant <strong>des</strong> servicesgénéraux et spécialisés à <strong>des</strong> populations vulnérab<strong>le</strong>s quipeuvent avoir été déplacées ou b<strong>le</strong>ssées pendant <strong>le</strong>s troub<strong>le</strong>s.Toutefois, <strong>dans</strong> de nombreux pays frappés par unconflit, <strong>des</strong> années et parfois <strong>des</strong> décennies de conflit ontentraîné une grave pénurie de personnel médical formé.Pour pallier <strong>le</strong> manque de personnel de santé qualifié,au moins à court et à moyen terme, <strong>le</strong>s systèmes de santénationaux doivent prendre <strong>des</strong> dispositions pour encourager<strong>le</strong>s soins dispensés à la maison. Bien que cela resteun défi perpétuel, plusieurs pays ont réussi à recruter età retenir <strong>des</strong> professionnels de la santé, y compris <strong>dans</strong><strong>le</strong>s zones rura<strong>le</strong>s où <strong>le</strong>s pénuries se font souvent <strong>le</strong> pluscruel<strong>le</strong>ment sentir. Des mesures d’incitation qui visent àretenir <strong>le</strong> personnel médical ou à inverser <strong>le</strong>s migrationssont actuel<strong>le</strong>ment élaborées pour mettre fin à cette crise.On peut citer l’exemp<strong>le</strong> du Mali, où <strong>le</strong> ministère de la santéencourage <strong>le</strong>s médecins nouvel<strong>le</strong>ment diplômés à travail<strong>le</strong>ren zone rura<strong>le</strong> en <strong>le</strong>ur offrant <strong>des</strong> formations, un logement,<strong>des</strong> équipements et un moyen de transport, <strong>le</strong> cas échéant.L’offre d’une formation spécialisée sur <strong>des</strong> problèmes <strong>des</strong>anté locaux peut aussi contribuer à limiter l’attrition <strong>des</strong>effectifs. Les efforts persistants pour recruter <strong>des</strong> agents <strong>des</strong>anté en milieu rural suggèrent que la formation d’un personnellocal – dispensée <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s langues loca<strong>le</strong>s et qui offre <strong>des</strong>compétences spécifiques pour traiter <strong>des</strong> problèmes locaux –contribue à retenir <strong>le</strong> personnel. Des formations de ce genreconfèrent souvent <strong>des</strong> titres qui ne sont pas reconnus au planinternational, ce qui limite d’autant <strong>le</strong>s possibilités d’émigrer.<strong>La</strong> réussite, toutefois, est subordonnée à l’offre de mesuresd’incitation et d’un soutien au niveau local.Le fait que <strong>le</strong>s pays riches profitent de la fuite <strong>des</strong> cerveauxau détriment de l’Afrique est de plus en plus préoccupant.C’est pourquoi un mouvement s’est é<strong>le</strong>vé pour <strong>le</strong>ur demanderde ne plus recruter de professionnels de la santé venusd’Afrique, ou, si cette demande s’avère irréaliste, comme onpeut <strong>le</strong> supposer, d’effectuer ces recrutements uniquementd’une manière qui soit mutuel<strong>le</strong>ment avantageuse. Au cours<strong>des</strong> cinq dernières années, une dizaine d’instruments internationauxont été élaborés par <strong>des</strong> gouvernements nationaux,<strong>des</strong> associations professionnel<strong>le</strong>s et <strong>des</strong> organes internationauxpour fixer <strong>le</strong>s normes de conduite <strong>des</strong> principa<strong>le</strong>s partiesprenantes impliquées <strong>dans</strong> <strong>le</strong> recrutement internationalde professionnels de la santé. Des accords bilatéraux ont étéaussi passés pour traiter d’autres problèmes similaires.Voir Références, page 108.RENFORCER LES PARTENARIATS COMMUNAUTAIRES,LE CONTINUUM DE SOINS, ET LES SYSTÈMES DE SANTÉ 77
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