<strong>La</strong> « budgétisation margina<strong>le</strong> <strong>des</strong> gou<strong>le</strong>ts d’étrang<strong>le</strong>ment »<strong>La</strong> « budgétisation margina<strong>le</strong> <strong>des</strong> gou<strong>le</strong>ts d’étrang<strong>le</strong>ment » estun outil de planification et de budgétisation axé sur <strong>le</strong>s résultatsqui utilise l’expérience de l’impact <strong>des</strong> interventions deréduction de la mortalité maternel<strong>le</strong> et infanti<strong>le</strong> <strong>dans</strong> un pays,identifie <strong>le</strong>s obstac<strong>le</strong>s de mise en œuvre et estime <strong>le</strong> montant<strong>des</strong> coûts marginaux pour éliminer ces obstac<strong>le</strong>s. Cet outil,qui a servi à préparer d’importants cadres stratégiques pour lasanté maternel<strong>le</strong>, néonata<strong>le</strong> et infanti<strong>le</strong> en Afrique subsaharienne,a été élaboré conjointement par l’UNICEF, la Banquemondia<strong>le</strong> et l’OMS. Il aide à fixer <strong>le</strong>s cib<strong>le</strong>s d’interventions àfort impact qui ont fait <strong>le</strong>urs preuves, à estimer l’impact anticipé,<strong>le</strong> coût par vie sauvée et d’autres considérations financières,ainsi qu’à prévoir l’espace fiscal requis pour financerces coûts supplémentaires. (L’espace fiscal peut être définicomme la disponibilité d’un espace budgétaire autorisant ungouvernement à affecter <strong>des</strong> ressources à un objectif désiré,par exemp<strong>le</strong>, la suppression <strong>des</strong> obstac<strong>le</strong>s à la santé maternel<strong>le</strong>,néonata<strong>le</strong> et infanti<strong>le</strong> sans pour autant porter atteinte àla <strong>situation</strong> financière de ce gouvernement.)<strong>La</strong> budgétisation margina<strong>le</strong> <strong>des</strong> gou<strong>le</strong>ts d’étrang<strong>le</strong>ment comportecinq étapes clés :• Évaluer <strong>le</strong>s principaux indicateurs, <strong>le</strong>s tendances et <strong>le</strong>s causesde la mortalité et de la morbidité maternel<strong>le</strong>, néonata<strong>le</strong>et infanti<strong>le</strong>, ainsi que l’accès aux services essentiels, etchoisir et regrouper <strong>des</strong> interventions à fort impact qui ontfait <strong>le</strong>urs preuves pour remédier aux problèmes immédiatsselon <strong>le</strong> mode de prestation <strong>des</strong> services, par exemp<strong>le</strong>,soins familiaux/communautaires, services réguliers auxpopulations et stratégies mobi<strong>le</strong>s, ou soins cliniques individuelsdispensés <strong>dans</strong> <strong>des</strong> centres de soins primaires et decentres de tri.• Identifier, à l’échel<strong>le</strong> du système, <strong>le</strong>s gou<strong>le</strong>ts d’étrang<strong>le</strong>mentde l’offre et de la demande qui bloquent la couvertureadéquate et efficace <strong>des</strong> soins de santé primairesessentiels, ainsi que <strong>le</strong>s obstac<strong>le</strong>s à la mise en œuvre degroupes d’interventions de fort impact à chacun <strong>des</strong> principauxniveaux de prestation <strong>des</strong> soins. Une couvertureadéquate implique, entre autres, la disponibilité de médicamentset d’équipements essentiels, l’accès aux serviceset aux agents de santé, une utilisation initia<strong>le</strong> <strong>des</strong> serviceset la continuité du recours aux services. En examinant plusavant <strong>le</strong>s causes sous-jacentes <strong>des</strong> gou<strong>le</strong>ts d’étrang<strong>le</strong>mentet en concevant <strong>des</strong> stratégies susceptib<strong>le</strong>s de <strong>le</strong>s éliminer,on peut définir <strong>des</strong> « frontières » – ou <strong>des</strong> niveaux de couverture<strong>des</strong> groupes d’interventions qui s’avèrent adéquats,efficaces et réalisab<strong>le</strong>s une fois que <strong>le</strong>s gou<strong>le</strong>tsd’étrang<strong>le</strong>ment sont résorbés.• Estimer l’impact anticipé de chacune <strong>des</strong> interventions sur<strong>le</strong>s taux de survie. Ces estimations s’appuient sur une analyserécente et détaillée <strong>des</strong> preuves de l’efficacité <strong>des</strong>groupes d’interventions de fort impact pour déterminer <strong>le</strong>sprogrès accomplis en matière de santé et de survie <strong>des</strong>mères et <strong>des</strong> <strong>enfants</strong>. El<strong>le</strong>s sont calculées de manière résiduel<strong>le</strong>pour éviter de compter deux fois <strong>le</strong>s taux de survie.• Sé<strong>le</strong>ctionner <strong>le</strong>s types, la quantité et <strong>le</strong>s coûts <strong>des</strong> intrantssupplémentaires, y compris <strong>le</strong>s salaires, <strong>le</strong>s médicaments etla formation, nécessaires à l’application de mesures quipermettront de résorber <strong>le</strong>s gou<strong>le</strong>ts d’étrang<strong>le</strong>ment et derehausser la couverture réel<strong>le</strong> <strong>des</strong> groupes d’interventionsau niveau de <strong>le</strong>urs frontières.• Analyser <strong>le</strong>s implications budgétaires, identifier <strong>le</strong>s sourcesprobab<strong>le</strong>s de financement et comparer <strong>le</strong>s coûts marginauxet <strong>le</strong>s besoins de financement requis à « l’espace fiscal »<strong>des</strong> dépenses de santé. (L’espace fiscal <strong>des</strong> dépenses <strong>des</strong>anté <strong>dans</strong> chaque pays est estimé par la Banque mondia<strong>le</strong>et <strong>le</strong> Fonds monétaire international.)Il faut aussi surveil<strong>le</strong>r la couverturepour pouvoir adapter rapidement <strong>le</strong>spolitiques et <strong>le</strong>s interventions qui doiventl’être. Les OMD liés à la santésont en grande partie mesurés à l’aided’instruments à grande échel<strong>le</strong>,comme <strong>le</strong>s Enquêtes démographiqueset sanitaires (EDS) et <strong>le</strong>s Enquêtes engrappes à indicateurs multip<strong>le</strong>s(MICS). Les indicateurs <strong>des</strong> OMDfournissent quant à eux <strong>le</strong>s principauxparamètres grâce auxquels on peutmesurer la réalisation <strong>des</strong> cib<strong>le</strong>s liées àla santé. <strong>La</strong> plupart d’entre eux fontpartie du groupe minimum d’indicateursde haute priorité de la survie del’enfant adoptés en commun parl’UNICEF et l’OMS, en collaborationavec <strong>le</strong>urs partenaires, <strong>dans</strong> <strong>le</strong> cadredu processus de Compte à rebourspour la survie <strong>des</strong> mères, <strong>des</strong> nouveau-néset <strong>des</strong> <strong>enfants</strong>.Les EDS et <strong>le</strong>s MICS fournissent <strong>des</strong>données ponctuel<strong>le</strong>s qui permettent dedéterminer la couverture réel<strong>le</strong> quel’on peut obtenir avec un minimumd’interventions essentiel<strong>le</strong>s. Pour améliorerla surveillance, l’interval<strong>le</strong> entreces enquêtes a été ramené de cinq àtrois ans. En outre, <strong>des</strong> processus <strong>des</strong>urveillance nationaux, sous-nationauxet communautaires sont essentielspour analyser <strong>le</strong>s progrès et <strong>le</strong>sproblèmes associés à l’élargissement<strong>des</strong> interventions de fort impact.Plusieurs pays en développement ontpris <strong>des</strong> mesures origina<strong>le</strong>s pour surveil<strong>le</strong>rl’impact de <strong>le</strong>urs programmesde soins sur <strong>le</strong>s populations etrecueillir <strong>des</strong> informations essentiel<strong>le</strong>ssur la santé. En Bolivie, par exemp<strong>le</strong>,une approche basée sur <strong>le</strong> recensementa été utilisée pour identifiertoutes <strong>le</strong>s personnes visées par <strong>le</strong> programmeen rendant visite à la totalité<strong>des</strong> foyers deux fois par an. Ce recensementa ensuite servi à cib<strong>le</strong>r <strong>des</strong>interventions spécifiques de fortimpact sur <strong>le</strong>s <strong>enfants</strong> qui présentaient<strong>le</strong>s risques de mortalité <strong>le</strong>s plusé<strong>le</strong>vés. Grâce à cette approche, <strong>le</strong>taux de mortalité <strong>des</strong> <strong>enfants</strong> demoins de cinq ans <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s zones70 LA SITUATION DES ENFANTS DANS LE MONDE <strong>2008</strong>
Exemp<strong>le</strong>s d’analyses de gou<strong>le</strong>ts d’étrang<strong>le</strong>ment <strong>dans</strong>plusieurs paysUne analyse <strong>des</strong> gou<strong>le</strong>ts d’étrang<strong>le</strong>ment a été effectuée <strong>dans</strong>près de 25 pays en développement et à tous <strong>le</strong>s niveaux deprestation <strong>des</strong> services. Les approximations utilisées pourévaluer <strong>le</strong>s déterminants de la couverture pour chacun <strong>des</strong>trois mo<strong>des</strong> de prestation se fondent sur <strong>le</strong>s paramètres suivants(la liste n’est pas exhaustive) :• Soins familiaux et communautaires : <strong>le</strong>s indicateurs comprennentl’utilisation d’eau salubre, d’installations d’assainissementet de moustiquaires imprégnées d’insecticide;l’alimentation <strong>des</strong> nourrissons et <strong>le</strong>s soins donnés aux<strong>enfants</strong> mala<strong>des</strong> et aux nouveau-nés.• Services réguliers <strong>des</strong>tinés à la population : <strong>le</strong>sindicateurs comprennent <strong>le</strong>s niveaux de vaccinationet de soins prénatals.• Soins cliniques : <strong>le</strong>s indicateurs comprennent <strong>le</strong>s accouchementsassistés par un personnel qualifié, <strong>le</strong>s soins obstétriquesd’urgence et <strong>le</strong>s soins néonatals.Les résultats obtenus <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s pays où l’outil a été utilisé ontrévélé la présence de gou<strong>le</strong>ts d’étrang<strong>le</strong>ment qui n’apparaissaientpas immédiatement lors de l’examen <strong>des</strong> données sur<strong>le</strong>s niveaux et <strong>le</strong>s tendances.consistent à faire passer <strong>le</strong>s services de traitement de l’eau àplus grande échel<strong>le</strong>, à diffuser <strong>des</strong> informations, et à promouvoirl’usage exclusif d’eau potab<strong>le</strong> en lançant <strong>des</strong> initiativesd’éducation et de communication.Guinée : en 2000, 70 % <strong>des</strong> villages <strong>des</strong> districts concernéspar <strong>le</strong> Programme accéléré pour la survie et <strong>le</strong> développementde l’enfant (ASDE) avaient un éducateur communautairesur la santé et la nutrition, la moitié <strong>des</strong> famil<strong>le</strong>s possédaitune moustiquaire et un quart <strong>des</strong> femmes enceintes dormaitsous une moustiquaire. Toutefois, on a constaté que lacouverture réel<strong>le</strong> était bien inférieure aux niveaux de couvertureadéquats, puisque moins de 5 % de la population dormaitsous une moustiquaire qui avait récemment été traitée àl’insecticide. Ce gou<strong>le</strong>t d’étrang<strong>le</strong>ment de la lutte contre <strong>le</strong>paludisme a été éliminé en traitant gratuitement toutes <strong>le</strong>smoustiquaires existantes, et en distribuant en priorité auxfemmes enceintes qui recevaient <strong>des</strong> soins prénatals et quiavaient fait vacciner <strong>le</strong>urs <strong>enfants</strong> <strong>des</strong> moustiquaires déjàimprégnées d’insecticide à un prix fortement subventionné.En 2004, cette approche intégrée d’élimination <strong>des</strong> gou<strong>le</strong>tsd’étrang<strong>le</strong>ment avait fait progresser la couverture réel<strong>le</strong> <strong>des</strong>moustiquaires imprégnées d’insecticide de 40 %, tout enétendant aussi la couverture vaccina<strong>le</strong> (toutes <strong>le</strong>s dosesadministrées aux <strong>enfants</strong> de moins de cinq ans) et <strong>des</strong> soinsprénatals (au moins trois visites) de 40 % en 2002 à 70 %deux ans après.Comme il a été signalé lors d’ateliers récents :Honduras : une analyse <strong>des</strong> gou<strong>le</strong>ts d’étrang<strong>le</strong>ment <strong>dans</strong> <strong>le</strong>sservices d’eau, d’assainissement et d’hygiène a révélé que,bien qu’ils aient amp<strong>le</strong>ment accès à de l’eau de boisson améliorée,moins de la moitié <strong>des</strong> foyers utilisaient de l’eau quiavait été filtrée pour la rendre propre à la consommation. Lesstratégies retenues pour éliminer ces gou<strong>le</strong>ts d’étrang<strong>le</strong>mentVoir Références, page 108.qui bénéficiaient d’un programme <strong>des</strong>anté s’est établi à entre un tiers et lamoitié du taux moyen enregistré <strong>dans</strong><strong>le</strong>s districts de contrô<strong>le</strong> 13 .Échelonner <strong>le</strong>s panopliesd’interventions et renforcer <strong>le</strong>ssystèmes de santéOn se rend compte de plus en plusque l’élargissement <strong>des</strong> panopliesd’interventions doit parfois se faire enplusieurs phases, en fonction de circonstancescomme la disponibilité <strong>des</strong>budgets, <strong>le</strong>s problèmes logistiques, <strong>le</strong>scapacités techniques ou <strong>des</strong> facteursculturels et socio-économiques. Si certainesinterventions peuvent rapidementpasser à l’échel<strong>le</strong> supérieure,d’autres exigeront plus de temps.L’élargissement de groupes minimumd’interventions essentiel<strong>le</strong>s est un élémentclé <strong>des</strong> nouvel<strong>le</strong>s stratégies quicherchent à atteindre <strong>des</strong> cib<strong>le</strong>s decouverture spécifiques. Les interventionssont regroupées afin d’atteindreces cib<strong>le</strong>s <strong>dans</strong> chacun <strong>des</strong> trois mo<strong>des</strong>de prestation <strong>des</strong> services décrits précédemment,et ce en trois phases 14 .Cette approche échelonnée de laprestation <strong>des</strong> soins de santé permettraà chaque pays de définir et demettre en œuvre un groupe d’interventionsinitial qui pourra ensuiteêtre élargi au fil du temps. Leregroupement et l’offre de cesinterventions prioritaires dépendront<strong>des</strong> capacités du système de santédu pays. L’élimination graduel<strong>le</strong><strong>des</strong> gou<strong>le</strong>ts d’étrang<strong>le</strong>ment faciliteral’expansion de la prestation <strong>des</strong> services– notamment <strong>dans</strong> <strong>des</strong> <strong>situation</strong>sd’urgence comp<strong>le</strong>xes. Puisquel’approche du regroupement est axéesur <strong>le</strong>s résultats, la mise en œuvred’interventions prioritaires àl’échel<strong>le</strong> supérieure peut être planifiéeet surveillée en plusieurs phases.Les trois phases recommandées pourétendre la couverture de la prestation<strong>des</strong> services <strong>dans</strong> <strong>le</strong>s pays où <strong>le</strong>s capacitésdu système de santé sont faib<strong>le</strong>ssont <strong>le</strong>s suivantes :RENFORCER LES PARTENARIATS COMMUNAUTAIRES,LE CONTINUUM DE SOINS, ET LES SYSTÈMES DE SANTÉ 71
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