4e rapport comité de suivi dalo - Haut Comité Pour le Logement des ...

Ceci représente 10,6% de l’ensemble des recours des 12 mois. Cependant la hausse s’est
accélérée : le taux est de 12% si l’on prend le 1 er semestre 2010, et même de 13,4% si l’on ne
considère que le 2 e trimestre 2010.
La part des recours
hébergement est très variable
selon les départements. Parmi
ceux qui enregistrent une
activité Dalo d’au moins 1
dossier par jour, le
pourcentage sur 12 mois va
de 1% pour les départements
de PACA à 29% pour le
Rhône et pour les Yvelines.
Département
enregistrant les taux
les plus élevés
juillet 2009 à juin 2010
taux de recours
hébergement
nombre de
recours
hébergement
Yvelines 29,1% 858
Rhône 29,1% 578
Oise 19,7% 118
Val de Marne 18,3% 1 552
Val d’Oise 17,7% 1 164
Loire Atlantique 15,6% 371
Haute Garonne 15% 226
A l’intérieur de la région Ile de France, Paris enregistre le taux le plus faible avec 7,6% sur 12
mois, mais son pourcentage atteint 20% si l’on ne considère que le 1 er semestre 2010 4 .
Une répartition territoriale stable mais toujours très contrastée.
L’Ile de France
représente
toujours les 2/3
des recours : 67%
des dossiers
déposés et 63%
des accusés de
réception délivrés
entre juillet 2009
et juin 2010. La
part de Paris, qui
s’élevait à 20%
des recours il y a
un an, n’a été
« que » de 17%
sur les 12
derniers mois.
4 658
Recours déposés en Ile de France
(les chiffres sont ceux du 1er semestre 2010)
2 539
1 444
1 606
4 559
4 016
1er sem 2009
2e sem 2009
1er sem 2010
4 571
75 77 78 91 92 93 94 95
3 281
Hors Ile de France, l’activité Dalo la plus forte est enregistrée par les départements suivants :
les Bouches du Rhône, largement en tête avec plus de 5 346 dossiers déposés (mais
3 256 accusés de réception) ;
6 départements à 1 500 dossiers et plus : Loire Atlantique, Rhône, Nord, Var, Haute
Garonne, Alpes Maritimes ;
3 départements autour de 900 dossiers : Hérault, Isère et Gironde
2 départements qui apparaissent pour la première fois dans cette catégorie : la Guyane et
l’Oise.
4 Les données fournies pour Paris, notamment pour le 3 e trimestre 2009 font apparaître des écarts qui
interrogent : ils ne peuvent s’expliquer par la seule fluctuation de l’activité.
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