peuvent .être aussi r mkaniques », vi<strong>des</strong> de relation rru encore namenicontamin& par i'agressivitd manifeste : teffe mère u habille et lave safille de fagon agressive w, telfe autre u secoue i'enfant de façon bmsquelorsqu'elle doit le porter P. La violence peut etre beaumup plus évidenteet les besoins de l'enfant sont dors attaques car vécus par projectioncome menaçants : Il est dégoûtmt, il fait trop., ., pipi .et caca (K: ifbouge trop a, u il mange trop », I< il fait du bmit etc.- <strong>Les</strong> principes tfducatifs draconiens, le dressage sphinct6rien ewahissentet chassent la relation : (K: Ils mettent l'enfant très longtemps sur., le pot w, u ils ne supportent pas une tache sur un cahier a. il faut quetout soit rmg6 et en ordre. Ifs sont e@ect:tlvernent trop exigm& »comme le dit un intemenmt.- Cene u morale formdte a (Grunberger, f 973 [SI) Iaisss bien pwd'espace aux jeux, qui sont ex5renement contrOfés ou refus& mmme sices parants craignaient que l'enfant ne d6passe 1% limites. Ils ne peuventappraender le jeu en tant qu'expression symbolique n6cessaire audtSveloppement psychique de l'enfant, Ils trouvent le jeu inutile »,voire dmgerwx car Jehappant tt leur contrdle,- Ces parents présentent un tableau d'inhibition inteitectuelfe, utilisenttrès peu la communication verbale, Lorsqu'ils s'adressent orafmentLt l'enfant, c'est le plus souvent pour le menacer ou lui donner <strong>des</strong>ordres. L'intelligence, le langage, tes progrb, fe d6vetoppt:ment del'enfant ne sont pas sollicités, stimulés. II y a & la fois discours rt'prasifet r4pression du discours,- Derrikre cette répression, lt; fantasme de l'enfant dmgereuxsemble toujours présent comme si les parents réprimaient Iknfant pourne pas gtre ddtniits par lui. Ainsi, une mbre voyant son fils jouer avec,un couteau interprbte immédiatement cela come une menace pour elle,Une autre *t attache son fils par crainte quY1 ne devienne un dbon a.Nous cctnst'dtons lit fa puissance <strong>des</strong> mtixJanisrne~ projectifs,- Bien souvent, Ggalerxiexzt, ces parents peettent dans I'enfmt Isfmtame de r lkenfdnt pervers en prêtant à son compfiemest une.« intention mdigne 9. (Rouyer, 1978 ("1 : It fait sa pour que vous mejugiez mal *, r( il fait ça pour que mon mari me batte A, etc.
- Certains parents manifestent de la jalousie lorsque l'intervenants'intkresse B l'enfant : a Ne vous occupez pas de lui, il fait du cinéma !»dit une mkre. Cette exclusion da I'enfant sur 1e mode lui OU moi wmasque, semble-t-il, la demande de cette femme d'être maternde par l'intervenant.Sa jalousie, contaminde par l'envie qui attaque le lien affectifadulte-enfant, entrave Ies propres deman<strong>des</strong> infantiles de cette mère.Dans cette sdquence, nous voyons dgaiement combien la triangulation estattaquée par ces parents,- L'inauthenticite, l'absence de spontanéité, la soumission sontpartie integrante de ce tableau d'extrême rdpression et de projectionmassive : u Ils viennent par obéissance. w 11s sont mdfiants, ne peuventvraiment faire confiance à l'intervenant : a On ne sait pas ce qu'ellepense a, 6 elle nous cache tout..B Four eux, a s'ouvrir à l'objet est dangereuxsous peine d'empiétement (Green, 1983 t3>).- La plupart <strong>des</strong> parents, dtfcrits par les intervenants, dissimulent etgardent secrets les mauvais traitements : a C'est très rare qu'ils parlentde Ieurs actes. » 11s cèlent la v6rit6 et disent à l'intervenant que I'enfants'est fait mal tout seul, qu'il est l'auteur de son malheur : l'enfant w esttombe », u il s'est fait mal en tombant ». Cette rationalisation évoque laperte brutale et prématurée d'une protection, d'une contention -l'oiseau tombe du nid ». C'est l'incapacité du parent h contenir les pulsions,les siennes et donc celles de l'enfant, qui fait tomber celui-ci.- Ils évoquent peu lieur histoire. Leur memoire est lacunaire, fragmentée; Ils ne se souviennent pas vraiment. B Ces parents relatentcertains dvénements de leur histoire sans pouvoir les situer dans uncontinuum, leur donner un sens utilisable pour I'expdrience et la croissancepsychique.Tout se passe comme s'ils figeaient le temps par la répétition, cequi implique <strong>des</strong> relations ddfectueuses avec Ieurs propres parents. Relationsdont ils n'ont pu faire le deuil. Des intervenants ont repere cetterdpdtition : u La mére avait dté elle-même battue par son propre pére m,1. Projection : dans le aens pmprement psychanalytique, u opération par laquelle ie sujetexpulse de soi et localise dans I'autne, personne ou chose, <strong>des</strong> qualit&, <strong>des</strong> sentiments, <strong>des</strong> désirsvoire <strong>des</strong> "objeis" qu'il méconnaît ou refuse en fui B. LAPLANCHE (J.), BONTALIS (].-B.), Vocabuluirede la psychanalyse.
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GABEL, M. (1991). DkPr la malaraita
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WINNICOTT, D.W. (1970). Intégratio
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