P L A G E - Les Sables d'Olonne

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— — M— — —W —— Il 'I — W M — wa— — Le Casino, chaque soir si varié, présentait, mercredi soir, un aspect des plus ani més. Sous l’aile gauche de la grande véranda, en face de la mer, était dressée une table somptueusement servie, autour de laquelle prenaient place une vingtaine de convives. C’étaient les membres du conseil général de la Vendée qui rendaient à M. Duphénieux, préfet du département, le dîner que ce fonctionnaire leur avait offert à l’occasion de l’ouverture de la session d’août. C’est là une bonne et louable pensée de la part du conseil général d’avoir choisi pour lieu de cette cordiale réunion la ravissante plage des Sables et le Gasino tout récemment ouvert. Les élus du département ont ainsi témoigné du bienveillant intérêt qu’ils portent à la ville des Sables et particulièrement à l’établissement du Casino, appelé à donner à notre ville une nouvelle vie. M. Leguay, directeur du Casino, a fait les honneurs de la maison avec une affabilité parfaite. Ces messieurs se sont retirés charmés de l’établissement et heureux de constater l’animation et l’entrain dont il est l’objet. Nous sommes heureux d’annoncer que samedi 2 septembre, M. Bémstant violon solo de notre Casino, donnera un grand concert vocal et instrumental avec le bienveillant concours de Mme J. Guivy, professeur de chant à Paris, que nous avons déjà eu le plaisir d’applaudir à un concert donné, il y a deux ans, par la Société philharmonique des Sables, et de MM. Chizalet, violoncelliste de grand avenir, M.de Parme le parfait clarinettiste, et de M. Autran, haubois de grand mérite. Nous sommes sûr que les amateurs de bonne musique se donneront rendez-vous à cette soirée musicale, que le talent des artistes nous promet d’être très-brillante. Dans notre prochain numéro nous en ferons connaître le programme. M. E. Nous lisons dans le Journal des Débats : Les préfets viennent, après avoirpris les ordres du ministre de la guerre, d’adresser aux sous-préfets et aux maires de leurs départements des instructions pour que les devancements d’appel à l’activité, pour les jeunes soldats de la classe de 1875, soient immédiatement ouverts. Dans chaque subdivision régionale, des corps des armées de terre ou de mer ont été spécialement et exclusivement dési gnés à cet effet. Nous ferons remarquer que les jeunes gens qui, par leur taille et leur aptitude physique, ne seraient pas susceptibles d’être affectés aux armes spéciales, seront seuls admis à devancer l’appel pour les ré giments d’infanterie. En outre, les jeunes gens qui seraient placés dans la seconde portion du contin- F E U I L L E T O N 21 UNE ROUSSIi (1) PAR ANDRÉ TREILLE. — Vous pouvez bien danser avec elle. André, reprit Jane, puisque vous ne l’aimez plus ? Car vous ne l’aimez pas, dites ? — Vous savez bien que c’est vous seule que j’aime, répartit M. de Villours, en embrassant Jane. — Ce n’est pas sûr, murmura l’impitoyable marquis. — Maintenant, mes amis ajouta-t-il tout haut, il faut partir. La voiture est prête. Mme de Retzy et ma femme y sont déjà. — Très-bien. Causons, s’écria Jane ; et prenant André par la main, elle l’en- (1) Reproduction inlerdite. LA PLAGE gent par suite de l’élévation de leur numéro de tirage renonceront, par le fait de leur devancement d’appel à l’activtié, au bénéfice que leur accorde la loi sur le recrutement, d’être renvoyés à l’expiration de l’année de service qui leur est imposée par cette loi. Quant aux jeunes gens inscrits sur la 2e partie de la liste du recrutement, qui renonceront au bénéfice de la dispense, et qui demanderont à entrer dans l’armée par voie de devancement d’appel, ils pourront choisir leur corps sans autre condition que d’avoir la taille et l’aptitude exigées, et de justifier du consentement du chef du corps. Nous croyons devoir rappeler que c’est au bureau de recrutement de la subdivision dans laquelle ils sont inscrits, que les jeunes gens doivent se présenter pour être admis à devancer l’appel à l’activité. Dès que la répartition des jeunes gens entre les différents corps des armées de terre et de mer aura été publiée, les hommes ne pourront plus être dirigés que sur les corps auxquels ils auront été affectés. +------------- THÉÂTRE DU CHALET L e Vieux chalet vit encore, disait un r e frain chanté dans une spirituelle pièce d’ouverture, et quoique nous n’ayons pas toujours trouvé place dans nos colonnes pour vous parler de lui, nous avons souvent trouvé place et plaisir à assister aux mombreuses et amusantes pièces qui s’y jouent tous les soirs avec succès, et qui ont pour titre : L e Moulin joli, P om m e d’Api, La demoiselle en loterie, L ’A m our qué qu’c’est qu’ça, La consigne est de ronfler, Les 37 sous de M. Montaudoin, Risette, etc., etc. A cet égard, le public qui les applaudit est de notre avis, surtout quand on songe au peu de ressources qu’offre la scène du chalet comme optique, comme décor et comme mise en scène, et on ne peut que féliciter M . Lepailleur, dont l’intelligence artistique et les connaissances théâtrale savent si bien tirer parti du peu dont il dispose. Le répertoire est bien choisi et très-varié, il le serait encore davantage, nous en sommes convaincu, si l’éxiguité de la scène et sa situation ne rendaient pas certaines pièces injouables, en raison de leurs exigences, théâtralement parlant. On me passera, j ’en suis certain, d’aborder les questions de coulisses, mais notre mission de critique impartial nous ferait un devoir de rendre justice à qui de droit, et de savoir reconnaître le talent, n’importe où il se trouve, lors même que les apparences seraient contre lui. Une part de ces éloges revient aux artistes que M. Lepailleur a su choisir, traîna vers le landau, où elle le fit asseoir près d’elle. Bientôt, entraînés par le trot rapide des chevaux,ils purent entendre les sons criards d’une musique discordante, les bêlements des moutons, les mugissements des bœufs, enfin, cette rumeur sourde et étourdissante, commune à tous les champs de foire. Les baraques couvertes d’oriflammes multicolores découpent l’horizon de tous côtés ; les baladins et les paillasses ébahissent le public facile qui les entoure, par leurs quolibets et leurs farces, la grosse caisse et les cymbales font le plus de bruit qu’elles peuvent, les chevaux de bois tournent, ainsi que les tourniquets des marchands de bonbons. Puis, c’est le bal en plein vent, avec les longs frappe- ments de pieds et de mains, les rires sonores, les propos galants, et les regards provoquants. Partout, c’est la foule déroulant sur le champ de foire les couleurs voyantes de ses toilettes etétalant sa puissante animation. Comme l’avait annoncé Jane, on avait rencontré Blanche Vernon, dont tout le monde admirait et enviait la beauté, la riche toilette et l’élégant attelage. Elle était déjà entourée d’une cour assidue^ de jeunes gentillâtres qui venaient se brûler les ailes à cette flamme, et dont elle se comme nous le disions précédemment dans un de nos articles; sans vouloir établir de comparaison, nous devons cependant reconnaître que plusieurs d’t»*tr« eux ont un véritable mérite. Il est incontestable que l’administration du Chalet doit s’estimer heureuse de posséder des artistes tels que M m e Lepailleur, qui a joué Gentil-Bernard à Paris, sur théâtre de la Renaissance, et qui retourne, paraît-il, reprendre M. Garat au théâtre- Déjazet; M. C harley, un des bons premiers comiques que nous connaissions, à qui les propositions les plus avantageuses sont faites en ce moment pour le théâtre- Boynl du Parc, à Bruxelles, M lle E . Dor- val, qui vient de passer la saison dernière au Théâtre-Français, de Rouen, comme chanteuse d’opérettes; M. P ichet, si original, si amusant; M. Gacon, quenous avons applaudi cet hiver à la salle, Graslin de Nantes; MM. Testot et P reville, qui, faisant ce qu’ils peuvent, font ce qu’ils doivent. Mlle M .D o r v a l une sémillante brune aux yeux bleus; enfin, Mlle Dallou, qui vient compléter le trio de ces charmantes actrices. Tous ces artistes, M. M alfeyt, en tête comme pianiste et compositeur distingué, rivalisent de zèle, de travail; j’ai donc tenu à vous parler d’eux un peu plus longuement que d’habitude, et à les encourager dans les efforts qu’ils font, de concert avec M. Lepailleur, pour maintenir la réputation du théâtre du Chalet à la hauteur des années précédentes. M, E. FAITS D IV ERS UN POISSON GIGANTESQUE. — On lit dans le Temps : Un de nos abonnés du Paon (Finistère) nous adresse le récit suivant d’une capture singulière faite par des marins de ce port. Samedi dernier, vers quatre heures du matin, au moment de la pleine mer, par l’une des plus grande marées de l’année, les marins Louis Muselle et Hamon virent à quelques mètres du grand quai l’eau s’agiter comme soulevée par un poisson gigantesque. Armés d’une gaffe, ils se jetèrent dans un canot et se dirigèrent du côté où l’eau bouillonnait. Une nageoire énorme sortait de l’eau, qu’elle frappait avec fureur, après une lutte prolongée, la gaffe ne pouvant pénétrer d ans la cuirasse de l’animal, nos marins réussirent à lui couper la retraite, et malgré une course aussi rapide que dangereuse, ils lui portèrent un coup terrible qui leur permit d’amener le monstre à la cale. Co poisson énorme est le môle, dit le poisson-lune, nom qui lui vient de ce qu’on le prendrait de loin pour l’image de la lune réfléchie dans le miroir des eaux. Il moquait agréablement. Lorsqu’elle aperçut Jane, elle fût rapidement vers elle, et tandis que les vieillards entraient chez le maire de Lhommaizé, un ami du marquis, les deux jeunes filles se mirent en riant à parcourir la foire ; ce qui fut bientôt fait. Elles se jetèrent alors à travers la foule compacte qui entourait le bal et les danseuses. Les rangs s’ouvrirent avec déférence, et un murmure admirateur accueillit les nouvelles venues. Jusque-là, André s’était tenu à l’écart, et, plus que jamais, à ce moment, il eût voulu s’y tenir. Mais le moyen de refuser à sa fiancée d’être galant vis-à-vis de celle qu’il recommençait à aimer ! Jane, dn milieu de la foule, lui fit un signe ; et il vint obéissant. Sur l’ordre de Jane, il offrit son bras à Blanche ; sur l'ordre de Jane, il dansa avec Blanche ; sur l’ordre de Jane, il fut charmant pour Blanche ; et Blanche le récompensa de tant d’obéissance aux volontés de Jane par des sourires à lui tourner la tête. Mlle Vernon s’amusait beaucoup de ce manège, où Mlle de Retzy semblait vouloir montrer combien elle tenait André en sa puissance où André semblait vouloir montrer comuien il était heureux d’obéir. Mais, quelques instants d’attention soutenue suffirent à la fille du banquier pour lui mesure 1 m. 70 de hauteur, 93 centimètres d’épaisseur et pèse 460 livres. Sa mâchoire est revêtue d’une petite plaque unique et entière, sa bouche, très-petite, semble ne devoir avaler que des petits poissons, des vers et des fucus ; l’œil est celui du bœuf; son corps d’une belle couleur argentée, phosphorescent la nuit, est couvert de plaques dures et épaisses, sa queue tronquée est courte et haute verticalement. Son moyen de locomotion consiste en deux nageoires de 55 centimètres de longueur, placés l’une sous le ventre, l’autre sur le dos, et un gouvernail sur le milieu du côté droit; un autre petit gouvernail correspond au premier sur le côté gauche. L e s f o u il l é s d’o l y m p ie . — Le docteur Schliemann, qui vient d’abandonner ses travaux d’excavation près d’Issardjik, dans la Troade, s’est rendu en Grèce pour commencer des fouilles sur l’emplacement de Tirynthe (Argolide.) On sait que l’antique cité de Prœ tus s’élevait au pied d’un rocher occupé par l’Acropole. L ’enceinte, formée de murailles cyc-lopéennes hautes de 12 mètres et d’une épaisseur de 15 mètres, est assez bien conservée. Dans son Voyage historique, sorte d’excursion pittoresque dans laquelle il donne les renseignements les plus curieux sur la topographie et les monuments de la Grèce, le géographe Pausanias va jusqu’à proclamer cette œuvre des Oyclopes aussi prodigieuse que les pyramides d’Egypte. Les fouilles du docteur Schliemann ont pour but de rechercher les constructions qui ont disparu au sommet de l’Acropole, principalement autour des célèbres galeries de Tyrnithe. Dans une baraque du champ de foire de C..., on pouvait admirer dernièrement une femme à barbe, une femme à barbe comme on en voit peu, un vrai sapeur. Le public se pressait pour eontempler cette bizarrerie de la nature. Unjour, un curieux sur !e point d’entrer, s’apercevant que la jeune fille qui distribue les billets à la porte est fort jolie, cherche à engager la conversation. — Mon enfant, lui demanda-t-il, est-ce que la femme à barbe est votre mère ? — Mais non monsieur, réplique-t-elle vivement ; c'est mon père. T rois m auvais d r ô l e s. — Des particuliers qui ont la galanterie bien brutale, ce sont le nommé Eugène L..., âgé de vingt ans, et ses amis Albert et Ernest X..., tous trois ouvriers selliers- Avant-hier, ils invitèrent à dîner et conduisirent dans leur chambre, rue du Champ- de-Mars, deux ouvrières de la manufacture de tabacs, Mathilde H... et Léontine V ..., âgées de 29 et 25 ans. Après le repas, quand leurs invitées acquérir la conviction qu’André n’obéissait si bien que parce que son obéissance lui donnait le bonheur. Et comme, à la manière des paysans, M. de Villours l’embrassait, après la bourrée, elle lui dit à mi-voix, et en le regardant fixement. — Vous ne l’aimez pas ; c’est moi que vous aimez ! André ne répondit rien ; mais, lui serrant convulsivement la main, il l’entraîna de nouveau dans la danse. Un mot, un coup d ’œil avaiest suffi à Blanche pour reconquérir son empire. Elle comptait bien ne plus le perdre. r (La suite au prochain n°)
voulurent se reii rr. ils fermèrent la porte à clef, et malgré ieurs cris et leur résistance, se livrèrent tous trois, par la force et en les bâillonnant, aux derniers outrages sur ces malheureuses. Vers onze heures et demie du soir, les pauvres filles qui, certes, ont été cruellement punies de leur conduite plus que légère, ont été raconter en pleurant aux agents, les indignes traitements qu’elles avaient soufferts avec des détails tels qu’on ne saurait les rapporter ici. Sur leur plainte, des poursuites ont été immédiatement dirigées contre les auteurs de ces odieux attentats. Un dramatique événement a eu lieu à Ghaponost, petite commune près Lyon. Hier matin, une femme Duclos, sortit de chez elle emmenant ses trois plus jeunes enfants. Quelques instants après, le mari rentrant à son domicile et n’apercevant pas sa femme, s’empressa de la chercher et la trouva dans une pièce d’eau située à quelque distance des habitations. La malheureuse avait jeté à l’eau ses trois enfants, puis s’y était précipitée ensuite. La femme et une petite fille ont pu être sauvées, deux autres enfants se sont noyés. Le parquet a fait conduire l’auteur du crime à l’hospice de Lyon. I n c e n d ie d a n s l e s t o u r b iè r e s b e l g e s . — On lit dans Y Union libérale de Ver- viers, du 19. « Depuis dimanche, une grande étendue de terrains entre Jalhay, Hockay et la baraque Michel est en feu. Là, s’étendent de vastes bruyères, des tourbières profondes, des terres où croît ce que nos campagnards appellent « four des fagues. » Grâce à la sécheresse, lefeutreuve dans les bruyères un aliment abondant. Presque tous les paysans ont vu se consumer les tourbes qu’ils avaient préparées pour l’hiver, et le foin qui croissait au milieu des bruyères. La tourbe a fi nis maints endroits une profondeur de deux à trois mètres, le feu est descendu à environ un mètre. Le même journal ajoutait dans son numéro du 21 : « L’incendie des hautes fagues situées entre Jalhay, la baraque Michel et le Hockay n’a fait que progresser et s’étend sur plus de six lieues carrées. « Hier matin, vers trois heures, ordre a été donné de diriger vers Verviers, par les voies rapides, 150 hommes du lie régiment de ligne et 50 du 12e, soit en tout 200 hommes, commandés par un capitaine et un lieutenant. » Nos braves soldats, à peine arrivés et sans prendre le temps de respirer, se répandirent vers les points les plus menacés, et à l’aide de pelles, de pioches, de haches qne leur fournissaient bien volcjn- tiers les campagnards de Jalhay, de Hockay, de Francorchamps, etc., etc. ; ils combattirent le fléau pied à pied, le concentrant dans les tourbières qui brûlaient jusqu’à deux mètres de profondeur. « La forêt domaniale de Hertogenwald a couru un grand danger, et ce n’est qu’au dévouement de la troupe de ligne, qui r s’est réellement surpassée, qu’on doit la conservation de cette belle forêt. « Nos soldats ont accompli un travail énorme et creusé un fossé d’une lieue de circuit, ayant quarante centimètres de profondeur et un mètre de largeur; l’incendie ne put étendre ses ravages au- delà ; on craignait que le feu ne se communiquât au village de Jalhay ; heureuse ment on a pu l’arrêter à rne lieue de l’agglomération. « L’incendie n’est pas étreint, mais il est concentré dans les tourbières, en Belgique du moins, car sur le territoire prussien, au-delà de Francorchamps, il continue à dévorer les bruyères et les tourbières. « Des soldats prussiens exécutent, sur ]e territoire allemand, les mêmes travaux que les militaires belges ont opérés suite sol belge ; ils isolent les bois et les aillis, tachant de circonscrire l’incendie dans les tourbières. * THEATRE DU CASINO Dimanche 27 août 1876 Représentation extraordinaire La Poyfe et ses Poussins Comédie en deux actes, par Emile de Najac. DISTRIBUTION Georges de Revel, MM. Mergy. De Bernac, Kuntz. Contran, Faure. Benoit de Pouzols, Livry. François, Brussel. Mmes de Bernac, Mme Bovery. Wolsy, Mlles Monnet. Mariette, Berthe. Auguste, la petite Lucile. Les Projets de ma Tante Comédie en un acte du Théâtre-Français, par Henri NICOLE. DISTRIBUTION Ernest Duplessis, M. Faure. Mme Gardonnière, Mme Bovery. Cécile, Mlle Monnet. Lise, Mlle Berthe. Les Diamants d e là Couronne, (Ouverture) Auber, exécutés par l’orchestre. Pauline (valse), Bousquet, exécutée par l’orchestre. Ordre : 1- LesDiamants de la Couronne, 2- Les projets ; 3- Pauline ; 4- L,a Poule. Bureaux à 8 heures, Rideau à 8 h. 1/2. Etat-civi! des Sables-d’Olon ne Du 20 au 25 août 1876. Naissances Charles-Victor Boutin. Théodule-Victoria Charpenteau. Théodore-Joseph-Auguste Letard. Décès. Joseph Marchand, 47 ans, propriétaire, époux de Louise-Léonide Bayard. Marie-Jeanne Pottier, 64 ans, domestique, célibataire. Frédéric - Guillaume Chevallier 23 jours. Marie-Augustine Auvinet, 11 mois. Charles-Eugène-Gabriel-AlexandreTou- geron, 67 ans, marin, époux de Jeanne- Adélaïde Chevrier. Eufant du sexe féminin présentée sans vie. Aimée-Rose (Jirardeau, 31 ans, journalière, épouse de Elie Auguste Micheau. Mariages. Jean-M arie-F mnçois Besseau, 23 ans, marin, avec Marie-Augustine Gautreau, 20 ans, lingère. Sommaire des gravures que l’Univers illustré publie dans son numéro de cette semaine : Inauguration du monument élevé à l’Ecole des Beaux-Arts en l’honneur d’Henri Regnault et des autres élèves de l'Ecole morts pour la patrie ; la guerre en Orient : familles slaves quittant Constan- tinople, recrutement de volontaires à Cons- taitinople,transport de bagages pour l’armée turque, le pacha de W iddin interrogeant des prisonniers bulgares,prisonniers serbes dans la citadelle de W iddin, la citadelle de Belgrade ; insignes et médailles des sénateurs et des députés ; Salon de 1876 : Voyage de noces, tableau de M. J.-R. Goubie ; le chemin de fer de Li- vron à Robiac , Drôme-Ardèche. Gard (neuf gravures) ; S. H. le Nizan d’Hyde- rabad ; le jardin d’un couvent en Italie.— Rébus, problème d’échecs. h'Univers illustré offre en ce moment à ses abonnés une p r im e g r a t u it e d’une valeur exceptionnelle : l e T h é â t r e de G e o r ge S a n d , compenant quatre beaux volumes. — Abonnements : Paris et départements, un an, 22 fr.; six mois, 11 fr. 50 ; trois mois, 6 fr. Bureaux : 8, rue Auber (place de l’Opéra)’. LA PLAGE ÉTRANGERS ARRIVÉS AUX SABLES 23° L iste M. Sepé, marchand à Sarp, chez M. Joyaux, rue des Corderies. Mme Brunet, marchande à Valcalreri, chez M. Joyaux, rue des Corderies. Mme Chaigneaux, mercière à Thouars, chez Mme veuve Brénaud, rue de l’Eglise. M. Rochereau, marchand à Thouars, chez Mme veuve Brénaud, rue de l’Eglise. Mme et M. Augereau, propriétaires à Bazoges en Paillé, chez Mme Brémaud, rue de l’Eglise. Mme Berthelot, propriétaire à Tours, chez Mme veuve Bourreau, rue du Palais, 34. Mile Maria, propriétaire à Tours, chez Mme veuve Bourreau, rue du Palais, 34. Mme et Mlle Frappier, propriétaires à Tours, chez Mme veuve Bourreau, rue du Palais, 34. Mme et M. des Abbayes, propriétaires à la Roche sur-Yon, chez M. Richou, rue du Palais, 33. Mlle de Pharamon, propriétaire à Toulouse, chez ville, 42. M. Lamoureux, quai Franque- M. de Montazon, propriétaire à Toulouse, chez M. Lamoureux, quai Franqueville, 42. M. Rouillé, avocat à la Roche-sur-Yon, au Casino. M. de Buort,'propriétaire à la Roche-sur-Yon, au Casino. M. de Rochette, propriétaire à la Roche-sur-Lyon, au Casino. M. Bergé, propriétaire à Châlons, au Casino. M. Goui'aud, propriétaire à la Rochelle, au Casino. M. Raboussé, jockey à Chollet, au Casino. M. Roublot, employé de chemin de fer à Chinon, au Casino. M. Papillon, employé de chemin de fer à Chinon, au Casino. M. Schmit, éleveur à Tarbes, au Casino. M. de Montfort, propriétaire à Belle-Isle (Côtes-du-Nord), au Casino. M. Louis Venies, négociant à Paris, au Casino. M. Cartamet, propriétaire à Lyon, au Casino. M. Chabrol, cultivateur à Rouen, au Casino. M. Voisin, cultivateur à Quevilly-les-Roues, au Casino. M. Serre, entrepreueur à Orléans, au Casino. Mme et MM. Guertin médecin à Chinon, chez Mme veuve Mochaud, rue Bergère. Mlle Neveu propriétaire à Chinon, chez Mme veuve Mochaud, rue Bergère. Mme et M. Duboz, propriétaire à Chinon, chez Mme veuve Mochaud, rue Bergère. Mlle Marie Brenon, prppriétaire à Brouziis, au Casino. M. Chivaine, propriétaire à Veigné, hôtel de l’Etoile. M. Poisseau, propriétaire à Montbazon, hôtel de l’Etoile. Mme Bouvaud et ses enfants, propriétaires à Bressuire, hôtel de l’Etoile. Mme Gabard et ses demoiselles, propriétaires à Bressuire, à l’hôtel de l’Etoile. M. Presse, employé des ponts et chaussées à Bressuire, hôtel de l’Étoile. M. l’abbé Meunier, à Amayouse, hôtel de l’Étoile. M. l’abbé Bigot, curé à Bouillé-Lorets, hôtel de l’Étoile. Mme et M. Gallarneau, propriétaire à Argenton-l’Église, hôtel de l’Éloile. Mlle Ludovic Bigot, propriétaire à Bouillé-Lorets, hôtel de l’Étoile. Mlle Turpeau, Eugénie, propriétaire à Bouillé-Lorets, hôtel de l’Étoile. M. Prigoudeau, propriétaire aux Châteliers, hôtel de l’Étoile. Mme Bavillon, propriétaire à La Roche-sur-Yon, hôtel de l’Étoile. Mme Michuud et ses enfants, propriétaire à La Roche-sur-Yon, hôtel de l’Étoile. Mme et M. Delaunay, propriétaire à Jallais, hôtel de l'Étoile. M. Vilain, voyageur à Legé, hôtel de l’Étoile. M. Mesnard, propriétaire à Orléans, hôtel du Cheval-Blanc. M. Aupinet, propriétaire à Paris, hôtel du Cheval-Blanc. M. Vendée, voyageur à Tours, hôtel du Cheval-Blanc. M. Dupain, négociant à Lencloître, chez M. Bugeon, rue Lafayette. M. Gandeau, notaire à St-Romain, chez M. Bugeon, rue Lafayette. MM. et Mlle Behier, propriétaires à Angers, chez M. Bugeon, rue Lafayette. Mlle Denéchère, Angèle, propriétaire à Angers, chez M. Bugeon, rue Lafayette. M. le vicomte de Clairvai, officier supérieur de cavalerie à Paris, chez M. Moïse Ravon, place de la Digue, 13. M. Constantin, propriétaire à Châteauroux, chez M. Moïse Ravon, place de la Digue, 13. Mme et Mlle Duret, propriétaires à Châteauroux, chez M. Moïse Ravon, place de la Digue, 13. M. de La Boullaye, propriétaire à Tours, au couvent. Mlle de Sailly, propriétaire a Tours, au couvent. Mme et Mlles Guinbault, propriétaire à Charroux, au couvent. Mme et M. Rousseau, chef d’institution à Fontenay, chez M. Didelot, rue du P arais, 23. Mme-et M. Plasson, maître bottier à La Roche-sur-Yon, chez M. Didelot, rue du Palais, 23. Mme et Mlle Haudbin, propriétaires à Sénou, maison Soize, rue de la Patrie, 27. M. Chauvaux, propriétaire à Airvault, maison Soize, rue de la Patrie, 27. Mme Baltet, institutrice à Tours, maison Soize, rue de la Patrie, 27. D e r n i è r e s n o u v e l l e s C’est un fait acquis à la science, cpe! toutes les maladies de poitrine sont guéris-l sables par l’emploi de la F arin e m é-| xieaine, del doctor Benito del Rio de] Mexico. Cet aliment est non-seulement le-, plus sûr, mais encore le plus agréable re-3 mède pour guérir les maladies de poitrine,® bronchites, catarrhes, maladies du larynx, pkthisie pulmonaire tuberculeuse, maladies’ consomptives, vieux rhumes, anémie et l’épuisement prématuré. S’emploie pour la nourriture des vieillards,! des convalescents et des jeunes enfants. Dix' ans de succès et 100 mille malades guéris,® le plus souvent, alors qu’on les croyait per-^ dus et sans ressources, prouvent qu’on ncj doit jamais désespérer. ; La F arin e m exicaine se trouve,, aux Sables, chez M. MOURAILLEAU, nego-| ciant. Aux mêmes dépôts : C afé Barle-; rin, 2 médailles d’honneur, et C ollier W athia, préservatif du croup et de lai coqueluche.. 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