P L A G E - Les Sables d'Olonne

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Les Sables à Coqnac, Châ- {Par Orléans et 1.2.3 1.2.3 1.2.3 classe (P ar Vendôme et t.2.3 1.2.3 teauneuf, Angoulême et Tours) matin soir soir Tours) matin soir Limoges. 1.2.3 1.2.3 Les Sables, dép. 7 30 midi » 5 15 Les Sables. . . dép. 7 30 5 15 matin soir a arr. 1 2 6 50 9 40 soir Les Sables. . . dép. 7 30 midi Arçay. • • • dép 1 7 6 55 9 46 arr. 1 2 9 40 soir Arçay. T , arr. 1 20 7 10 9 58 ‘ dép. 1 7 9 46 arr. 1 18 10 23 Loudun. . . . dép Saintes. . . . 1 25 7 20 10 3 arr. 1 20 9 58 'dép. 1 46 10 31 Loudun Tours(g.Yee). ar. 3 35 10 20 11 50 ’ dép. 1 25 10 3 Cognac. . . . 2 47 11 34 soir soir soir Tours (gare Y*6), arr. 3 35 11 50 matin 1.2.3 1 cl. lre cl. l re cl. soir matin arr. 3 44 niin27 Châteauneuf. . soir matin matin matin Tours (gare Orl.)dép. 8 15 6 15 ‘dép. 3 47 min30 Tours (g.Or.) dép. 4 30 min42 min42 1 5 Vendôme. . . . dép. 10 20 8 15 arr. 4 30 4 12 Angoulême. . Blois. . . . dép. 6 9 1 49 1 49 2 15 Châteaudun. . . dép. 11 38 9 44 ‘dép. 4 52 1 20 Orléans. . . dép. 7 51 2 48 2 48 3 19 matin soir Limoges.. . . Étampes.. . dép. 9 30 4 7 4 7 4 29 Brétigny dép. 2 35 1 » (Ville). . arr. 8 10 5 » Paris. . . . 10 45 5 5 5 5 5 27 Paris.................... arr. 3 22 2 10 Limoges aux Salbles. Paris aux Sables. Paris aux Sables. 1.2.3 1.2.3 (Par Orléans) l re cl. l re cl. 1.2.3 1.2 cl. (Par 'Vendôme') 1.2.3 1.2.3 matin soir soir soir matin soir matin Limoges. . . Paris. . . . dép, 8 15 8 45 11 45 9 10 Paris................... dép. 4 » 6 30 Puy-Imbert. dép. 4 10 Étampes.. . dép, 9 15 9 54 1 6 10 16 Brétigny. . . . d^ép. 5 23 7 53 Echange. . Orléans. . . dép, 10 13 11 6 2 18 11 40 Châteaudun. . . dép. 8 50 11 16 arr. 4 18 Blois. . . . dép. 11 28 min35 4 17 1 13 soir (Ville). . dép. 5 20 Tours (g. Or.) arr. min41 1 50 5 36 2 38 Vendôme. . . . dép. 10 10 midi 4 arr. 9 5 matin matin matin matin soir matin Angoulême. . dép. 9 33 4 50 1.2.3 classe (.2.3 1.2.3 Tours (gareOrl.) dép. min. 2 1 56 arr. 10 17 5 30 matia matin soir matin soir Châteauneuf.. dép. 10 21 5 34 Tours (g.V“) dép. 2 15 6 15 3 40 Tours (gare Vee). dép. 2 15 3 40 Cognac. . . . dép. 11 16 6 34 Loudun. .’ . df p[ 4 18 8 8 5 35 arr. 4 18 5 35 soir 4 23 8 15 5 38 1 dép. 4 23 5 38 arr. midi 7 24 a arr. » 8 25 5 48 arr. » Saintes. 5 48 dép. mid30 7 33 Arçay.. • • dép » 8 29 5 50 ' dép. » 5 50 Les Sables. . arr. 10 35 2 7 s. 10 34 Les Sables.. . arr. 10 35 10 34 Les Sables. . arr. 6 20 2 7 Les Sables à Angers. Angers aux Sables. 1.2.3 1.2.3 cl. 1.2.3 1.2.3 1.2.3 matin soir mat. mat. soir Les Sables.dé. 7 30 12 » Angers. . .d. 4 17 4 50 3 3 ar. 11 26 4 22 4 36 5 16 3 29 Bressuire.. dé. 11 35 4 36 Possonnière^' 5 21 5 21 3 34 soir soir 2 12 7 20 Bressuire. Possofmière Angers. . . ar. Les Sables à La Rochelle, Rochefort. Saintes, Jonzac, Coutras,Libourne, Bordeaux. 1.2.3 1.2.3 1.2.3 matin matin soir Les Sables............. dép. 7 30 7 30 midi 2 La Roche-s.-Yon. Les Sables à Niort, Niort aux Sables. 1.2.3 1.2.3 1.2.3 1.2.3 matin soir mat. soir Les Sables, d. 7 30 midi Niort. . . d. 5 36 mid25 8 ' T ' ' 6 14 a. 11 26 4 22 a. 7 51 3 25 Bressuire. dé. 10 9 7 23 Bressuire. soir d. 10 9 7 23 2 21 7^36Î^^Î soir d. 2 44 6 14 soir 2 54 8 1219 9 Les Sables ar. 2 7 10 34 Niort. . . a. 5 4 8 19 Les Sables a. 2 7 10 34 arr. 8 36 8 36 1 5 dép. 9 » 9 26 5 9 La Rochelle. . . . arr. 11 18 mid40 8 9 dep. 11 29 soir 8 15 soir arr. Rochefort.............. dép. midlO » 9 1 midi 6 » 9 11 Saintes................... arr. 1 18 » 10 23 dép. 1 30 » 10 45 matin Jonzac.................... dép. 2 39 » mm. arr. St-Mariens............ 3 39 » dép. 3 43 » min57 Les Sables à Nantes. 1.2.3 1.2.3 4.2.3 matin soir soir Les Sables.. . . dép. 7 30 midi 5 45 La Roche-s-Yon fJ T’ 8 36 1 9 6 40 dép. 9 35 5 » 8 10 Nantes. . ■. . . arr. H 56 7 41 40 2i Nantes aux Sables. 1.2.3 1.2.3 4.2.3 matin matin soir Nantes...............dép. 6 35 10 5 2 5 soir La Roche-s-Yon ?'rr' 8 50 42 40 4 30 dép. 9 15 4 42 5 4 Les Sables. . . arr. 10 35 2 7 6 20 1 » Les Sables au Mans. Coutras.................. arr. 4 34 1 clas. 1 50 4.2.3 4.2.3 dép. 5 13 5 3 2 30 matin soir Libourne............... dép. 5 40 5 18 3 5 Les Sables.............. 7 30 5 45 Bordeaux............... arr. 6 57 b 55 4 27 soir Arçay........................ arr. 4 2 9 40 dép. 4 7 9 46 arr. 4 20 Bordeaux aux Sables. Loudun..................... 9 58 ' dép. 4 25 40 3 Tours (g. de la Ydée). arr. 3 35 44 50 4.2.3 1.2.3 1.2.3 1.2.3 soir matin matin matin matin Tours (gare d’Orl.). . dép. 4 45 6 25 Bordeaux. . dép. 6 40 Ohâteau-du-Loir. . • dép. Libourne.. . dép. 5 25 7 53 7 46 Le Mans.................. 6 44 9 22 arr. Courtras. . . 8 12 dép. 9 » arr. 9 52 Le Mans aux Sables. St-Mariens.. dép. 9 57 4.2.3 4.2 3 Jonzac. . . . dép. 11 y> matin matin soir Le M a n s ............... dép. 2 45 41 55 arr. midlO Saintes.. . . soir dép, 7 33 mid30 Château-du-Loir.. . dép. 3 33 4 19 Rochefort. . arr. 8 41 1 31 soir Tours (gare d’Orl.). arr. 4 55 2 45 dép. 8 50 1 3 4 5 Tours (gare Ydée). dép. 6 45 3 40 9 36 La Rochelle. f jr ' 2 14 4 55 dép, 5 50 10 » 2 22 5 10 L o u d u n '................. arr. 8 8 5 35 dép. 8 15 5 38 soir Arçay........................ arr. 8 25 5 48 8 45 Roche-s-Yon.^^' 1 2 4 46 8 » dép. 8 29 5 50 9 15 1 12 5 4 9 42 soir Les Sables. , 10 35 2 7 6 20 10 34 Les Sables......................arr arr. 2 7 10 34 Penr l’indication complète, départs et arrivées de tous les trains des chemins de fer de la Vendée et des Charemes et voi*s correspondantes, voir ; LE GUIDE DES VOYAGEURS; INDICATEUR OFFICIEL (livret Ribaudeau et Chevallier) — En vente dans tontes les garesjjet chez les libraires ; prix : 20 centimes. M 5. à fi o g O' Qd o jr1 s?5 % o H O JJl
ABONNEMENTS Payables d'av'ançe Un mois. . . £ Pour la saison desbain?. . Sj ; 10 centimes le numéro. BUREAUX: LibrairieM:iyeux, r.du Centre, MAREES HEURES DE PLEINE-MER Jeudi 3, 2 h. 37 m. — 2 h. 54 s. Vendredi 4, 3 h. 9 m. — 3 h. 21 s. Samedi 5, 3 h. 37 m. — 3 h. 54 s. Dimanche 6, 4 h. 4 m. — 4 h. 17 sr CHRONIQUE Des fêtes, toujours des fêtes, encore des fêtes, tel est le programme ou plutôt la devise que la ville des Sables a pris à tâ che de réaliser. Les baigneurs seront bien tôt obligés de demander grâce. Dans notre dernier numéro, nous avous donné le compte-rendu sommaire des dis tractions qui nous ont été offertes par la municipalité des Sables. Pressé par l’heure, nous n’avons pu nous étendre autant que nous l’aurions désiré sur ces fêtes dont l’éclat se trouvait rehaussé par suite de l’arrivée de l’escadre. Nous n’y reviendrons aujourd’hui que pour encourager la ville des Sables à persévérer dans cette voie de progrès, d’innovations, auxquels se trouvent attachés son avenir el sa prospé rité. Cette saison sera pour la ville une sai son fructueuse, plus fructueuse que les précédentes. Pourquoi ? D’abord, parce que la ville des Sables commence à sortir de sa torpeur, de sa monotonie habituelle et à s’élever vers des horizons nouveaux. Pour peu qu’on compare la saison de i ’année dernière avec celle de cette année, la liste des étrangers d’aujourd’hui avec celle des années précédentes, on se con vaincra de suite de l’importance que vient d’acquérir notre station balnéaire Il y a beaucoup plus d’étrangers, beau coup plus de baigneurs, beaucoup d’agitation, de mouvement, cela est incontes table. Les Sablais eux-mêmes sont una nimes à le reconnaître. D’où vient donc cetle ère nouvelle qui s’ouvre peur cette station ? Pour l’expliquer, il nous faut encore re venir sur ce que nous avons dit tant de fois et que nous ne saurions trop répéter, puisque tout ce que nous avions prévu tend de plus en plus à se réaliser. L’année a été rude et l’on vient aux bains de mer pour se refaire et faire pro vision de forces nouvelles. Est-ce à dire va BBS SABLÉS-B0LONNE ^ Journal Politique el Littéraire, paraissant le Mardi, le Jeudi et le Dimanche Dans sa sublime exallation de la mer, M. Michelet s’écrie : « Les plus précieux éléments de l’animalité terrestre sont riche ment dans la mer, entiers et invariables, salubres, vivants, en dépôt pour refaire la vie. » Donc, la science a pu dire à tous : « Venez, nations, venez, travailleurs fati gués, venez, jeunes femmes épuisées, en fants punis des vices de vos pères ; — approchez, pâle humanité, — et dites-moi, tout franchement en présence de la mer. ce qu’il faudrait pour vous relever. Ce principe réparateur, quel qu'il soit, il se trouve en elle. » Le baigneur vient demander à la mer les trésors de santé qu’elle renferme. Sur toutes les plages on peut trouver ce qu’on vient chercher aux bains, mais dans des conditions différentes. Et puis, la pluplart des baigneurs ne veulent pas compter avec les plaisirs, les distractions qu’ils sont habitués à rencon- rer chez eux. En un mot, pour que tout soit complet, il faut que l’utile s’unisse à l’agréable. La ville des Sables a réalisé l'idéal du bain de mer, grâce à la compagnie de la Vendée qui peut, à juste titre, revendi quer une part dans la prospérité des Sa bles. Nous ne reviendrons pas sur le splen dide Casino construit par les soins de la compagnie de la Vendée et qui, avec cette plage sans rivale, fait des Sables-d’Olonce une station balnéaire de premier ordre. Toutes les distractions s’y sont, po ur ainsi dire, données rendez-vous. Bals, concerts, spectacles se succèdent à la grande satisfaction des baigneurs. Le Casino possède un orchestre et une troupe lyrique et dramatique irréprocha bles. Inutile d’insister plus longtemps ; la grande affluence des baigneurs est la preuve la plus certaine de la supériorité que vient de conquérir la station des S a bles. Que la ville ne s’arrête donc pas dans cette bonne voie. Qu’elle unisse ses ef forts à ceux troujours croissants de la compagnie et qu’elle achève par ses in novations, par son initiative de transfor mer la ville des Sables qui, par sa situa tion, est appélee à devenir la première station du littoral océanién. CAUSERIE. P. B. pour cela qu’on désire rompre complète Allons le vent est aux fêtes musicales !... ment avec les fêtes et les plaisirs et vivre La ville des Sables vient de donner le en anachorète. branle et dimanche ce sera le tour de la — Assurément non ! Et la preuve c’est petite ville de Chinon. le bon accueil fait par les baigneurs à tous Petite oui, mais aussi de grand, renom, les divertissements nouveaux qui leur Chynon, sont offerts chaque jour. Chinois de Chinonàis, comme vous appelle plaisamment Sardou, pendant que vous étiez en train d’organiser des fêtes rappelez-vous vos exploits d’ébaubisse- inent et de délectation de l'an dernier. — Noblesse oblige, braves amis, il faut donc s’en donner à tire-larigot-, comme feu Pantagruel, en Rabelais notre bien vénéré patron. Bonne chance à la ville de Chinon et puissent ses bons habitants être visilés par autant d’etrangers qu’il en est venu aux Sab'es. On ne saurait du reste trop encourager ces manifestations si pacifiques qui ainsi que le disait avec tant d’apropos M. Bar- rau au festival de dimanche, en remerciant ;ses invités, « donnent et, développent le « goût des arts et rasserénent l’esprit, Quel charmant aspect que celui de la plage et combien elle était encore plus revissante dimanche dernier à ia vue de ces nombreux curieux grouillant comme une fourmillière, à la vue de l’escadre cuirassée posée majestueusement en rade en face de la ville. Tous ces élégants uniformes marins d'officiers et de soldats qui se mêlaient à la foule faisaient le plus pittoresque effet. On se fût cru dans un port de guerre. Des barques nombreuses allaient et venaient, de la plage au vaisseau amiral conduisant des curieux désireux de visiter les magnifiques bâtiments de l'escadre. Sur l'un d’eux se faisaient entendre les chants joyeux de jeunes sablaises qui s'étaient rendues à bord à l’invitation des marins. En gens galants ces messieurs donnaient aux brillants accords de la musique de l'e.-cadre, un grand bal dans les salons d’Amphitrite. L’escadre cuirassée étant le great attraction, inutile de vous dire, lecteurs, que Blandureau, l’ami Blandureau, le seul et unique Blandureau, le Blandureau deLou dun en un mot, avait inévitablement mis le cap sur les Sables et était accouru voir l’escadre, en sa qualité de baleinier principal du Loudunais. Comme cette visite l’a changé de ses ha. bitudes et aggrandi pour lui l’horizon assez limité des bords du Piisquin. Le pauvre, il en a encore la berlue. De retour sur la plage, le cœur encore tout barbouillé de son excursion en mer et le pied un peu tiiubant, il s’écria dans son enthousiasme et dans les bras de Pmgielu j qui lui servait de point d’appui : Oh, bon ami, c’est t'y beau, c’est t’y beau, c’t'escadre de cuirassiers et comme ça ferait bon effet sur le Pasquin. VICE VERSA Oscar du R emblai. Les réciproques sont de temps en temps vraies; elles sont quelquefois em barrassantes. ... La garde qui vaille aux barrières du Louvre N’en défend pas les rois. Disons que leur implacable logique ne 10 centimes le numéro année. — N° 15 — 3 août 1 TARJF DES INSERTIONS l ' f Payables d'avance | Annonces , 20' la ligne ! Réclames, dû'- ___ j Faits, l f 00° ___ s'arrête pas davantage devant les jupes l js plus élégantes, fussent-elles doublées du plus fin satin. Nous n'avons pas dit tout ce que nous pensons du Phoi/ue, mouidé depuis quelques jours dans notre port : l’exquise courtoisie de M. Kerros, l'amabilité de M. Minier, la galanterie de MM. dAnonvile, Naudet et de Thoisy, la franche et joyeuse insouciance du docteur Morin nous fourniraient une matière inépuisable. Mais descendons, et de ceux qui commandent à bord, passons — ab uno disce omnes — à ceux qui obéissent. C’était... il y a quelques jours à peine, lors du Yachting Club d’Arcachon. M. Kerros, à la complaisance duquel tout notre littoral océanien rend le plus sincère hommage, avait, de la façon la plus gracieuse, mis un cerlain nombre d’hommes à la disposition du jury. Ces hommes, dont la consigne était de maintenir l’ordre aux abo ds de la plage, se sont acquittés de leur fonction avec la plus louab e inflexibilité; on verra qu'il y avait vraiment du mérite. L’un d’eux, placé à l’entrée du débarcadère, se trouva, à un moment donné, sollicité d’une façon... toute particulière par le plus charmant et le plus frais mi- nuis qu’on puisse rêver ; yeux bleux,cheveux noirs, etc. — Je vous en prie, laissez-moi passer, disait la dame. — Impossible ! — Mais, si je vous doinais cinq francs me laisseriez-vous faire ? Le matelot releva fièrement la tête. — Si je vous donnais cinq francs, répondit-il, d’un air ironique, feriez-vous tout ce que je voudrais ! La dame rougît jusqu’aux oreilles, s’enfuit et court encore ! P . B. LETTRES TOURANGELLES Mon cher Paul, En te priant de m'excuser d’être resté si longtemps sans te donner signe de vie, je le demanderai de bien vouloir jeter un coup d’œil sur le long récit que je te fais, ici, de ma villégiature à Baden-Baden. Ce sera certainement un palliatif à la faute que j ’ai commise en me rendant coupable du cr me de lèse-amitié. Tu t'eu souviens, c’est chez Mme de Gueil que nous nous sommes séparés, il y a trois mois. Pauvre infidèle, j ’ai préféré l’inconnu et je suis allé, nouveau Scipion, chercher des conquêtes villcgiaturesques sur des bords lointains. Pauvre pays, combien ne te dois-je pas de réparai ions ? Si je me permets ici une comparaison, c’est qu’elle ne peut être que flatteuse pour ta gloire et ton immortalité. Voici mon peccavi. Je vais donc maintenant développer ce sommaire et t’annoncer que j ’ai regretté dès le premier jour mon voyage à Baden-
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