P L A G E - Les Sables d'Olonne

THEATRE DU CASINO
Direction de M. Jules Merg-j’
Mardi 18 juillet 1876
Ire représentation de :
LE SOURD
0 péra comique en trois actes par M. De
Leuven et F. Langié, musique d’Adolphe
Adam.
DISTRIBUTION
Danière MM. Borès
Doliban Kuntz
Le chevalier d’Orbe Masson
Pétronille Mmes Brunet
Mme Legras Bovery
Mlle Isidore d’Orbe Mlle J. Massue
Joséphine Deliban Berthe
Onveitniv A grand oicliesire
Bureaux à 8 h. — Rideau à 8 h. 1/2
THEATRE DU CASINO
Mardi 18 juillet 1876, à S h. 1/2.
Première représentation de :
m mm d e c h e z v e r y
Vaudeville en un acte.
An tony MM. Gacon.
Galimard Testot.
Alexandre Préville.
Mme Galimard Mlle Dali ou.
ON COMMENCERA PAR :
Adélaïde et Vermouth
Vaudeville en un acte.
Adelaïde Mme E. Dorval.
Vermouth M. Charley.
ÉTRANGERS
ARRIVÉS AUX SABLES
6e Liste
Mine el M. Goupy-Tremblay, propriétaires à Montbazon, chez M. Febvre, place du
Ménage.
M. delà Couture, propriétaire à Limoges, chez M.Febvre, place du Ménage.
Mme Baufïre, propriétaire à Chartres, chez M. Aider, rue du Palais.
M. Eugène Lambert, juge au tribunal civil de Nantes, chez M. Aider, rue du Palais.
M. Pichard de la Blanche, propriétaire à Fontenay, chez Me Loizeau-Guéry, sur le
Remblai.
Mme de Ste-Eitève, propriétaire à Fontenay, chez Me Loizeau-Guéry, sur le Remblai.
M. üry, Jules, rentier à Noisy-le-Sec,Paris, chez Mlle Boulanger, rue du Palais.
Mlle Frémy, Anna, propriétaire à Angers, au couvent.
Mlle Barbier, propriétaire à Poitiers, au couvent.
Mlle et M. Musset, inspecteur des contributions indirectes à Chartres,au couvent.
Mlle Peignian, propriétaire au Mans, au couvent.
Mlle de Semet, propriétaire à Angers, au couvent.
Mlle de Lozé, propriétaire à Angers, au couvent.
Mme et M. de Gheveliard, propriétaires à Paris, au casino.
Mme et M. de Majaeskay, propriétaires à Londres, au casino.
Mme etM. Baron, propriétaires à Le Pontenne,(Creuse), au casino.
Mme etM. Touralin, négociants à Châtellerault, à l’hôtel du Cheval-Blanc.
Mme et M. Mathias, propriétaires à La Roche-sur-Yon, chez Me Letard, rue du
Rempart.
Mme et M. Tabra, boulanger à Nantes, chez Me Letard, rue du Rempart.
Mlle et M. Ageret, à St-Nazaire, chez M. Loizeau, coiffeur, sur le Remblai.
Mlle et Mme Brangoimaur, à Tours, chez M. Loizeau, coiffeur, sur le Remblai.
M. Amédée Hérissant, capitaine à Paris, à l’hôtel de 1 Océan.
M. Garret, propriétaire à Strasbourg, à l’hôtel de l’Ocean.
Mme et MM. Langereau, propriétaires à Tours, à l'hôtel de l’Océan.
Mmes Chantoury, propriétaires à Bourgneuf, à l’hôtel de l'Océan.
Mme la comtesse. M. le comte du Landreau et leur famille, propriétaires aux Herbiers,
chez M. Biclet, rue du Palais.
Mme et Mlles Duval, propriétaires à Argeriton-l’Eglise, chez Mme Ardor, rue du
Palais.
Mme et M. de Russy, propriétaires à St-Junien, chez M. Ferrand, sur le Remblai.
Mme Bédouin, propriétaire à Nantes, chez Mme veuve Boureau, rue du Palais.
Mme et Mlle de Lagrené, propriétaires à Nantes, chez Mme veuve Boureau, rue du
Palais.
Mlle, Mme et M. Maurice Sand, baron Dudevant, propriétaires à Paris, maison Sigo-
gne, sur le Remblai.
M. Edmond Planchut, propriétaire à Paris, maison Sigogne, sur le Remblai.
D e r n i è r e s n o u v e l l e s
C’est un fait acquis à la science, que
toutes les maladies de poitrine sont guérissables
par l’emploi de la Farine mexicaine,
del doctor Benito del Rio de
Mexico. Cet aliment est non-seulement le
plus sûr, mais encore le plus agréable remède
pour guérir les maladies de poitrine,
bronchites, catarrhes, maladies du larynx,
phthisie pulmonaire tuberculeuse, maladies
consomptives, vieux rhumes, anémie et l’épuisement
prématuré.
S’emploie pour la nourriture des vieillards,
des convalescents et des jeunes enfants. Dix
ans de succès et 100 mille malades guéris,
le plus souvent, alors qu’on les croyait perdus
et sans ressources, prouvent qu’on ne
doit jamais désespérer.
La Farine mexicaine se trouve
aux Sables, chez M. MOURAILLEAU, négociant.
Aux mêmes dépôts : C a f é B a r l e -
r i n , 2 médailles d’honneur, et C o l l i e r
W a t h i a , préservatif du croup et de la
coqueluche.
Monsieur le rédacteur,
J’ai soixante-treize ans et je viens d’être
guérie sans opération d’un e a tie er du
esin dans la maison de santédu Dr Ca­
baret, rue d’Armaillé, 19, à Paris. J’y ai
rencontré Mme Blot, d’Argenteuil (Yonne),
qui a été aussi guérie s a n s o p é ra tio n
d’une tumeur cancéreuse, déjà opérée, à
la ceinture, Mlle Marie Guérive, pensionnaire
aux incurables des sœurs dé Saint-
Vincent-de-Paul, avenue de Roule, 30, à
Neuilly-sur-Seine, a obtenu comme moi la
guérison d’un cancer très grave au nez.
Je suis heureuse de faire connaître ces
Suérisons, pensant que beaucoup de malades,
désespérés comme je l’étais, retrouveront
aussi la santé dans cette maison.
A. VERCOLIER,
3 , place du marché, à St-Denis (Seine).
BON PLACEMENT
On annonce comme imminente l’émission
de 10,000 obligations à 140 fr., rapportant
9 fr. par an et remboursables en
30 ans à 200 fr. (soit produit net 7 77 %),
faite pour le compte de la Société française
des charbonnages et du chemin de
fer de Pienza-Murlot, dont le siège est à
Paris.
Cet emprunt est garanti indépendam­
LA PLAGE
ment du capital de la Société, par deux
charbonnages dont les 3.146 mètres de
galerie peuvent produire immédiatement
60,000 tonnes à 7 fr. de bénéfice par tonne,
et par un shemin de fer à grande section,
de 23 kilomètres, desservant ces mines,
et ouvert au trafic public avec tout le
réseau italien.
Aussi l a h o u i l l e , journal réputé pour
sa compétence et sa grande réserve en pareille
matière, présente-t-elle ce placement
comme un des mieux garantis et des plus
rémunérateurs qu’il lui ait été donné de
recommander depuis 10 ans.
L’émission est faite par les soins de la
Spciétê de c r é d it m i n i e r , 5, rue de Châ-
teaudun, Paris, à laquelle on fera bien de
s’adresser sans refard et avant, la souscription
publique.
291
Gouvernement Egyptien,
Conversion de la dette générale d’Egypte
en obligation 7 % de la dette unifiée.
Jouissance du 15 juillet 1876.
(Décrets des 7 et 23 mai 1876.)
PAIEMENT DES COUPONS ET FRACTIONS DE
COUPONS DUS AUX 7 ET 15 JUILLET 1876 ET
DES OBLIGATIONS DES EMPRUNTS 1865-66 ET
1868, DÉSIGNÉES PA R LE SORT POUR ÊTRS
REMBOURSÉES A 500 FRANCS, AUX M ÊM E
DATES.
LA CONVERSION S’EFFECTUE PAR L ’ENTREMiSE
DU COMPTOIR D’ESCOMPTE DE PARIS ET DE SES
AGENCES, EN FRANCE ET A L’ETRANGER, D ÉSI­
GNÉS OFFICIELLEMENT A CET EFFET DANS LE
RÈGLEMENT DE S. A. LE KHEDIVE NDATE DUE-
25 MAI 1876.
NOTICE EXPLICATIVE
Dette flottante.
Les porteurs de titres de la dette Ilot
tante reçoivent des obl gations 7 / de la
dette unifiée pour le montant de leurs titres,
majorés de 25%, avec augmentation
ou sous-déduction des intérêts à 7 0/0 l’an
selon que l’échéance des titres est antérieure
ou postérieure au 15 juillet 1876.
DETTE CONSOLIDÉE
Emprunts 7 % du gouvernement Egyptien
1862-1868-1873. Emprunt hypothécaire
du Kédive 7 % 1870.
Les porteurs de ces emprunts reçoivent
des obligations de la dette unifiée pour
une somme égale au montant de leurs titres
;
Ils reçoivent, on outre, des fractions de
coupons pour différences de jouissances,
savoir :
L’emprunt 1802, une fraction de 13 fr. 04
représentant les intérêts à 7 / du 1er
mars au 15 juillet.
L’emprunt 1870, une fraction de 10 fr. 06
pour les intérêts du 1er avril au 15 juillet.
L’emprunt 1873, une fraction de 8 fr. 72
pour les intérêts du 1er avril au 15 juillet.
Le coupon de l’emprunt de 1863 arrivant
à échéance le 15 juillet 1876, sera
payé intégralement au moment du dépôt
des titres pour l’échange.
Les obligations du même emprunt, sorties
au tirage d’avril 1876, sont remboursées
à 500 francs.
Emprunt 7 % du gouvernemedt Egyptien
1864, et emprunt 7 % de la Daïra
18R5-66,
Les porteurs de ces Emprunts reçoivent
100 obligations de la dette unifiée
pour 95 anciennes, et les fractions de
coupons suivantes :
Emprunt 1864 10 fr. 06
pour intérêts à 7 0[0 du 1er avril
au 15 juillet.
Emprunt 1865-66 0 fr. 76
pour intérêts à 7 0[() du 7 au 15
juillet.
Le coupon plein de 17 fr. 50, échu le 7
juillet 1876, sur ce dernier emprunt, est
payé en sus, contre dépôt du titre pour
l’échange.
En même temps, les obligations sorties
au dernier tirage sont remboursées à 500
francs.
Emprunt du gouvernement égyptien
9 0|0 1867.
Par suite des deux m ajorions décrétée»
au prorit de cet Emprunt.les porteurs
reçoivent 111.78 obligations de la dette
unifiée pour cent anciennes.
Ils touchent, en outre, une fraction de
coupon de 6 fr. 65 pour intérêts à 9 0[()du
22 mai au 15 juillet.
Nota. — Les opérations d’échange ainsi
que le service des Echéances des 7 et 15
uillet s'effectueront égxlemsnt aux gui
chefs de la Société générale , 56, rue d
Provence, à Paris.
Le dépôt des Titres pour l’échange
pourra être fait dans tous ses bureaux de
qua tiers ainsi qu’à ceux de toutes ses
succursales en France. 2027
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Brevetées S. G. D. G.
Ces Cartes à jouer ne sont que des
chiffres. Par leur simplicité elles
sont préférables aux cartes ordinaires
pour la plupart des jeux de
Banque, tels que : Baccarat, Vingt-
et-un, Lansquenet, Trente-Qua-
rante. Elles ne peuvent donner lieu
à aucune erreur dans la composition
du point ; les GRECS n’en veulent
pas, parce que, disent-ils, avec
ces chiffres on ne peut TRAVAIL­
LE R. — Travailler, on sait ce que
cela veut dire. Avec ces cartes nouvelles,
on a inventé des jeux nouveaux.
O ù toute filouterie est impraticable.
Ces jeux offrent la plus complète
sécurité à ceux qui veulent
bien prendre le jeu comme distraction,
mais qui ne veulent pas être
volés. A Paris, chez JUQUIN, rue
de Lancry, 32, aux Sables, chez
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Ville.
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Ce jeu, qui est une imitation du
Trentc-Quaranie, se joue avec les
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qui ne sont que des chiffres.
La Banque-Chiffres est clairement
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