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VNDO NE..............LÆSOCVM. . . . GADO . . .<br />
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NE...............DE PUMORUM...............Æ E BIS...............<br />
CVI CVNPLET ALANOS . .... ILLI AVBTQ<br />
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* *<br />
La nouvelle fit du bruit, les savants de<br />
la Sarthe s’émurent et se réunirent ; on<br />
s’adressa à l’Académie des Inscriptions, ce<br />
fut en vain.<br />
La fameuse inscription restait lettre<br />
morte pour tous et l’agitation continua à<br />
se produire autour de la découverte fortuite<br />
du fermier de la Merlière.<br />
Plusieurs mois se passèrent ainsi. Enfin<br />
le journal qui avait annoncé la découverte<br />
fit connaître le mot de l’énigme.<br />
La clef du secret avait été trouvée, dit-<br />
il, par l’invaincu devineur de rebus, Albert<br />
Hallier, propriétaire du grand café<br />
de l’Univers, au Mans, dont les magnifiques<br />
peintures ont été vantées par plusieurs<br />
journaux de Paris, le Monde illustré<br />
(Pierre Véron) entre autres, et qui méritent<br />
d’être vues.<br />
VlATOn.<br />
(La suite au 'prochain uuméro.)<br />
CA ET L A .<br />
t’t A l’Elysée-Montmartre.<br />
Deux jeunes personnes sans chasteté<br />
causent de leurs amis respectifs.<br />
— Et le tien ?<br />
Oh ! nia chère, il est joliment bien, va.<br />
Il va passer chef de rayon.<br />
— Et comment qu’y s’appelle ?<br />
— Ah! voilà... Devine. Ça commence<br />
par un U.<br />
— Urbain ?<br />
— Non.<br />
— Ulyssse ?<br />
— Non.<br />
— Comment alors ?<br />
— Y s’appelle UgèneL<br />
Le Sphinx.<br />
* Au coin de !a rue Laffitte et de la<br />
• *<br />
rue de la Victoire, on lit, au-dessus de la<br />
porte d’un marchand de vin :<br />
Ancienne maison Soulard<br />
et au-dessous ce nom expiatoire :<br />
BOILEAU<br />
passe le faîte des arbres, car la pente du<br />
coteau est très-roide. De gros rochers en<br />
percent, çà et là, les flancs, et apparaissent,<br />
couverts de buis toujours verdoyants,<br />
et encore emperlés par la rosée du matin.<br />
Au pied du coteau, un marécage au milieu<br />
duquel roule un ruisseau, où barbottent<br />
des canards et les petits patours. A gauche,<br />
un four à chaux, autour duquel,<br />
arbres et maisons, tout est blanc. A<br />
droite, sur une colline un peu moins élevée,<br />
en face, deux ou trois fermes formant<br />
un hameau, et le moulin dont on entend<br />
le monotone tic-tac. Quelques paysans<br />
passent de temps en temps, et le bruit que<br />
font sur le sol dur leurs souliers ferrés,<br />
rompt le silence du paysage.<br />
C’est la Buisse.<br />
Dans la vaste cour qui s’étend devant<br />
le logis, sous un hangard, un homme travaillait<br />
avec entrain à réparer une roue<br />
de charette. Le marteau, la scie et la<br />
bisaigüe se faisaient entendre tour-à-tour.<br />
Tout-à-coup il s’arrêta, son marteau cessa<br />
de battre le fer, et il écouta avec attention<br />
:<br />
— Dis donc, la bourgeoise, dit-il en<br />
s’adressant à la femme qui, assise sur une<br />
grosse pierre, tenait son poupon dont la<br />
figure réjouie est toute barbouillée de<br />
lait, à cheval sur ses genoux, n’entends-tu<br />
Un mot de bébé :<br />
Bébé n’aime pas le poisson. Cependant,<br />
le voilà qui en demande et qui en mange à<br />
belles dents.<br />
Sa mère, surprise, lui demande la cause<br />
de cet exploit.<br />
— C’est pour pas qu’il en reste demain,<br />
dit le gourmand.<br />
On lit dans la Gazette des’Tribunaux:<br />
« L a police a a"rê!é hier à Liverpooj<br />
deuxjeunes filles françaises qui s’étaient<br />
faii enlever par les deux jardiniers de leur<br />
père, lequel possède un magnifique château<br />
dans les environs de Paris. Au moment<br />
où les jeunes filles ont éle découvertes,<br />
elles allaient s’embarquer pour<br />
l’Amérique. Elles ont l’une dix-neuf ans<br />
et l’autre dix-sept. L’aînée a déclaré qui*<br />
quand elle serait majeure, elle épouserait<br />
celui dont on la séparai». »<br />
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des convalescents et des jeunes enfants. Dix<br />
ans de succès et 100 mille malades guéris,<br />
,1e plus souvent, alors qu’on les croyait per-<br />
idus et sans ressources, prouvent qu’on ne<br />
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M. Naudet, docteur â Nantes, chez M. Arnaud, conducteur des Ponts-et-<br />
ChaussSes.<br />
Mlle Margarita, artiste à Paris, au Casino.<br />
Mme et M. «îrandmange, lieutenant au32e à Thouars, au Casino.<br />
M. Cordier, propriétaire à Mamers, chez M Gravouille, rue du Rempart.<br />
M. Paindessous, commissionnaire à Paris, chez M. Guillet, quai Franqueville.<br />
Mme et M. Fradin, Eugène, et un enfant, propriétaires à Monnaire, commune de la<br />
Planche (Loire-Inférieure,) chezM. Brac, sur le Remblai.<br />
Total des étrangers jusqu’à ce jour 525 .<br />
pas, là -bas, du côté des bois de Morlemer,<br />
comme qui dirait un bruit de voi-<br />
ture ?<br />
La femme prêta l’oreille.<br />
— Oui, répondit-elle, et après ?<br />
— Alors, c’est le maître qui arrive. Je<br />
reconnais le trot de la Rouge, et quoique<br />
Mortemer soit encore à une bonne demilieve,<br />
le vent ma l’apporte distinctement.<br />
Çà doit être eux ; as-tu préparé les appartements<br />
?<br />
— Oui, mon homme, et comme on nous<br />
l'avait marqué sur la lettre, j ’ai arrangé<br />
deux chambres de plus, celle où s’est ca*ché<br />
si longtemps M. de Villours, le père,<br />
pendant la grande guerre, et celle où est<br />
morte la mère à Mme la marquise.<br />
— Sais-tu qui vient avec lui et Mme<br />
d’Hissonnière ?<br />
— Ma foi, je n’en sais pas plus long que<br />
toi ; mais il faut que ce soit des amis bien<br />
intimes pour qu’on nous ait ordonné de<br />
préparer des chambres où personne n’est<br />
entré depuis quarante ans.<br />
L’homme reprit son travail ; mais le<br />
bruit de voiture se rapprochait de plus en<br />
plus.<br />
— Eh! Margot, mets ton petit sur<br />
l’herbe, et va ouvrir les volets, afin de<br />
faire prendre l’air à la maison. Finot gardera<br />
le poupon ; pendant ce temps-là, je<br />
m’en irai au-devant des maîtres à la grande<br />
barrière.<br />
— Oui, mon Jacques.<br />
En essuyant les lèvres toutes pleines de<br />
lait de son petiot, la fermière l’embrassa<br />
bruyamment, le déposa sur l’herbe, et<br />
croisa son fichu sur son sein veiné d’azur.<br />
Ensuite elle monta sur le perron, et, se<br />
faisant un abat-jour avec la main :<br />
— Voici la voiture, cria-t-elle à son<br />
homme. U y a un monsieur et une dame<br />
dedans ; je ne les reconnais pas... Des<br />
neveux à madame sans doute. — Ici, Finot,<br />
auprès du petit !<br />
Elle regarda le chien se coucher aux<br />
pieds du marmot, et entra dans la maison.<br />
VI<br />
La voiture ne tarda pas à entrer dans<br />
la cour, traînée par la Rouge-Vieille, ju <br />
ment née et élevée ehez les d’Hissonnière,<br />
et aimée à l'égal d’un fidèle serviteur.<br />
En reconnaissant ses maîtres, le chien<br />
Finot s’élança vers eux, la queue en trompette,<br />
et frétillant, mais la conscience de<br />
son devoir le fit retourner aux pieds du<br />
bébé.<br />
— Bonjour, mes enfants, comment<br />
ça va-t-il depuis qu’on ne vous a vus ?<br />
s'écria le marquis. Est-on content ? les<br />
récoltes s’annoncent-elles bien ?<br />
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et-un, Lansquenet, Trente-Qua-<br />
raute. Elles ne peuvent donner lieu<br />
à aucune erreur dans la composition<br />
du point ; les GRECS n’en veulent<br />
pas, parce que, «lisent-ils, avec<br />
ces chiffres on ne peut TRAVAIL<br />
LER. — Travailler, on sait ce que<br />
cela veut dire. Avec ces cartes nouvelles,<br />
on a inventé des jeux nouveaux<br />
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■ 285<br />
—Bien le bonjour, Monsieur le marquis,<br />
bien le bonjour à l’honorabie compagnie,<br />
répartit Jacques en soulevant son bonnet<br />
de coton bleu et en le tortillant entre ses<br />
doigts. — Pour ce qui est des récoltes,<br />
elles ne sont pas de mauvaise venue,cette<br />
année, Dieu merci ! Et c’est tant mieux,<br />
car le pauvre monde a de la peine à gagner<br />
sa vie, par le temps qui court.<br />
— Toujours les mêmes, murmura M.<br />
d’Hissonnière à l’oreille d’André 1 Ils se<br />
plaignent toujours, et ça ne les empêche<br />
pas de mettre de t.ôté et d’acheter, au bout<br />
de l’année, de bons lopins de terre. —<br />
Voyons, mes chères, dit-il en se tournant<br />
vers les dames, vous devez être fatiguées.<br />
Descendez et entrez dans la maison vous<br />
reposer.<br />
M. de Villours s’était précipité vers la<br />
marquise et Jane pour leur tendre !a main.<br />
La main de Jane trembla bien un peu<br />
dans celle du jeune homme; mais celui-ci<br />
n’y prit point garde.<br />
(La suite au prochain n°)