P L A G E - Les Sables d'Olonne

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mersion du corps dans la nier, à une heure déterminée de la journée, répétée pendant un certain laps de temps, constitue à elle seule ce qu’on est convenu d’appeler une une saison de bains de nier. C’est là une manière de voir que le médecin ne peut adopter. Une saison de bains de mer se compose bien, il est vrai, d’un certain nombre de bains plus ou moins fréquents, plus ou moins prolongés, que les enfants prennent chaque jour, à une heure déterminée, mais elle se compose aussi pour le médecin, je dirai même, elle se compose aussi pour lui, du régime que ces mêmes enfants suivent, de l’hygiène qu’ils observent pendant qu’ils prennent ces bains. C’est dans ce cas seulement que les bains de mer constituent une médication spéciale dont l’action, prudemment conduite, est toujours fortifiante. Pour que les enfants malades retirent de l’usage des bains de mer un bénéfice assuré, il faut qu’ils se conforment rigoureusement aux prescriptions d’une hygiène et d’une diététique appropriées à leur état. Lorsqu’on veut fortifier ou lorsque l’on veut guérir des enfants, il ne suffit donc pas de les conduire simplement à la mer. Pour arriver à ce but, il faut d’abord choisir la plage sur laquelle on conduit ces jeunes baigneurs, il faut connaître ensuite les règles que ces jeunes malades ont à observer dans l’usage des bains, la manière dont ils doivent vivre sur les bords de l’Océan. Le médecin, dans ses prescriptions, ne doit pas oublier que toutes les plages de France sont loin d’être identiques, que les effets physiologiques et thérapeutiques produits par les bains de mer et principalement par l’almosphère maritime varient selon les lieux ; qu’ils sont, par conséquent, aussi dissemblables entre eux que les plages elles-mêmes diffèrent entre elles. Pour le praticien qui connaît les conditions climatériques et géologiques si variées des divers points du littoral de la France, il existe une différence prononcée entre toutes nos plages. Les bains de mer et les bains d’air maritime , non moins souverains à mes yeux, ont une action tellement fortifiante, qu’ils devraient, dans les classes aisées de la société, devenir le complément obligé de l'éducation physique de tous les enfants. Que les mères qui ont des enfants souffrants les conduisent donc sur des plages sablonneuses où l’atmosphère est tiède, vivifiante, imprégnée de molécules salines, parfumée des senteurs bienfaisantes du pin maritime. Comme de jeunes plantes qui, pour se développer, demandent -de l’eau, de l’air et du soleil, les enfants trouveront là des modificateurs hygiéniques puissants qu’ils ne trouvent pas ailleurs et qui favorisent singulièrement chez eux l’action toujours salutaire des bains de mer. Que les médecins apprennent aux mères FEUILLETON UNE r o u ssi; (2) PAR ANDRÉ TREILLE. Enfin, retentit le bienheureux coup de sonnette, le premier qui annonçât un invité. A cet instant-là même, M. de Retzy proposait à sa fille une partie de dames pour faire échec au temps. Il jeta un rapide coup-d’œil sur les salons tout resplendissants, pendant que sa femme fai- saità l’orchestre la recommandation de ne pas jouer de valses — on ne valsait pas encore en province. — Il se mira dans une des nombreuses glaces où, reproduite à l’infini, se réllétait sa remarquable corpulence, donna sur la dentelle de son jabot une légère chiquenaude, pour (1) Reproduction interdite. LA PLAGE defamille qu’elles peuvent, qu’elles doivent aller chaque année demander à la mer et à son atmosphère réparatrice des forces pour leurs enfants pâles et languissants, quelquefois même la sanié qu’ils ont perdue. Par ses propriétés vivifiantes, par ses principes salins et aromatiques qui la composent, l'atmosphère maritime est une mère bienfaisante qui attire vers elle tous les enfants qui souffrent, qui leur tend sans cesse une main secourable et qui leur procure toujours du soulagement. Mais pour obtenir un semblable résultat, il faut écouter les conseils de l’hygiène et de la médecine. Que l’on renonce pour le jeune âge au luxe et aux plaisirs qui partout accompagne la médication maritime. Les enfants doivent prendre les bains de mer d’une manière toujours profitable à leur santé. Il ne suffit pas à ces petits baigneurs de passer quelques instants chaque jour sur la plage sans oser se mouiller les pieds, sans oser, à cause de leur toilette, se livrer aux plaisirs de leur âge. Il faut qu’ils fassent un séjour prolongé sur les bords de l’Océan, il faut que, pendant des mois entiers, ils puissent chaque jour et à toute heure de la journée aspirer le souffle vivifiant de la mer. Ainsi comprise, la médication maritime doit être considérée^comme une véritable médication thermale : c’est à cette seule condition qu’elle sera couronnée de succès. Les petits baigneurs doivent donc consacrer tous leurs instants à suivre d’une manière méthodique le traitement qui leur est prescrit. Il faut que dans leurs jeux, dans leur régime, dans toute leur vie en un mot, il y ait un but hygiénique. Le patricien qui envoie des enfants sur le bord de la mer ne doit, en effet, jamais oublier que l’Océan offre avec libéralité à tous ces petits malades de l'eau qui les régénère, des aliments qui les fortifient, une atmosphère qui les vivifie. (La jeune mère). ÇA ET LÀ. Po ur qui sont ces serpents qui sifflent sur nos [têtes? « Constantinople, 3 juillet. » On a découvert une conspiration des femmes de l’ancien harem pour tuér la nouvelle sultane Validé en lui faisant tomber une glace sur la tête.» On se demande comment les femmes de l’ancien harem peuvent vivre en bon ménage avec celles du nouveau et faire des conspirations avec- les tapissiers du palais. Mourad a-t-il acheté en bloc le vieux lot des femmes d’Abd-ul-Aziz,dont un journal annonçait-il y a quelques jours, l’apparition à Valentino, à Mabille et autres ska- ting-rink ? Entendu aux bains de mer : — Dis donc, Ernest, la mer monte : chasser deux grains de tabac d’Espagne j égarés — car il prisait ! — et s’avança vers le marquis d’Hissonière, qui entrait, donnant le bras à la marquise. M. et Mme d'Hissonière étaient de charmants vieillards, tout à l’ancienne mode. Le marquis, surtout, avait gardé du bon vieux temps le langage précieux et la politesse exquise. Tout, pour lui, était matière à madrigaux. Il eût écrit en quatrains le règne du roi Louis-Philippe, auquel il avait voué une haine égale à son amour pour Charles X. Le roi des bourgeois n’avait pas dans le Poitou d’ennemi plus acharné que le marquis ; il faut avouer que c’était là un ennemi peu redoutable. Les nouveaux-venus ne tardèrent pas à être suivis d’une foule considérable, eu égard au peu d’importance de Montmoril- lon. Les salons regorgèrent bien vite de tout ce que la petite ville possédait de mieux en fait de gandins. Malheureusement, ou heureusement, comme on voudra, ceux-là n’étaient pas le plus grand nombre, Montmorillon étant, alors comme aujourd’hui, trop éloignée de l'influence parisienne. Le sous-préfet , un ancien journaliste libéral, aux gages du château, comme on disaità cetteépoque, avait seul été exclu de la fête, pour cause politique: c’est le montent de se plo.nger amoureusement dans l'onde amère. Allons-y. Ernest, d’un air soucieux. — Tu es un heureux, toi ; tu sais nager ; mais moi...... — Eh bien, quoi I c’est là ce qui t’arrête! Avec moi, il n’y arien à craindre: je t’apprendrai ; et puis, sois tranquille, nous n’irons pas au large. — Einest, de plus en plus rêveur. — Merci, mon ami, mille fois merci; mais j ’attendrai de savoir nager. Calino n’eût pas mieux dit. La mère Guignard a des ânes de toutes couleurs, de toutes grosseurs et pour tous les goûts. Il en est un surtout qui fait l’admiration des promeneurs de la plage. C’est Eugène. — Pourquoi, diable, disait hier un baigneur, a-t-on donné mon nom à cet animal ? — Pourquoi ? s’écrie un loustic; mais la raison en est simple. — C’est parce qu’il a de beaux harnais. On lit dans Paris-Journal : Un de nos amis, qui voyage en ce moment dans l’Ouest de la France, y a recueilli de la bouche de paysans vendéens une chanson de quelques vers, naïve comme une idyle et gracieuse comme un virelai. La voici telle qu’il l’a notée : Ma mie reçoit de mes lettres Par le rossignol chantant ; Elle me renvoie des siennes Par l’alouette des champs. Sans savoir lir’ n’écrire, Nous savons ce qu’a dedans. Il y a dedans ces lettres : Aime-moi, je t’aime tant ! U IR O N IQ U E LOCALE C o u rses «ïe elievau x A LA R O C H E -S U R -Y O N Les dimanche 2‘i et lundi 24 juillet 1876 RÉDUCTION DE 40 % Sur le prix ordinaire des places La Compagnie ries chemins de fer de la Vendée a l’honneur de prévenir le public qu’à l’occasion des COURSES DE CHEVAUX qui auront lieu à La Roche- sur-Yon les 23 et, 24 juillet 1876, il sera délivré à Bressuire et aux Sables-d’O- lonne, ainsi qu’aux gares et stations comprises entre ces deux points, les 23 et 24 juillet, des billets' aller et retour de foutes classes pour LA ROCHE-SUR-YON avec réduction de 40 % sur les prix ordinaires des places. Ces billets seront valables, pour le retour, jusqu’au premier train de la journée du 23 juillet. Le directeur de la Compagnie, JENTY. le salon des Retzy était un salon légitimiste, mais les hobereaux et les gentillâ- tres y abondaient. La province, en 1836, était loin d’avoir abandonné ses préjugés de castes et d’opinions; elle était encore divisée en une infinité de petites églises dont chaque adhérent se faisait pontife, en une infinité de coteries, armées jusqu’aux dents les unes et les autres, ayant bec et ongles et se déchirant à qui mieux mieux. Les nobles, anciens émigrés revenus en 1815, n’étaient rentrés dans leurs terres qu’en froissant mille intérêts divers et n’avaient pas su reconquérir l’affection et l’estime de leurs anciens vassaux, devenus devant la loi leurs égaux. Ils n’y tenaient pas d’ailleurs. Les bourgeois, plus riches, plus cossus, plus intelligents en affaires, faisaient bande à part, eux aussi, et se dédommageaient d’être mis par l’aristocratie à l'index en montrant un orgueil d’autant plus hautain qu’il était plus humilié d’un côté, vis-à-vis du populaire. Quant à celui-ci, il ne comptait pas. L’hôtel de Retzy était donc l’arche sainte de la grande et petite noblesse du Poitou : ce n’était point là qu’on eût pu voir des visages roturiers. Les hommes et les femmes qu’on y rencontrait étaient ceux d’un autre siècle. Tout y était à l’ai- Dimanche prochain, 8 juillet, la société philharmonique des Sables fera entendre plusieurs morceaux de son reperloirc sous le kiosque de la place de la Liberté, à 4 heures du soir. Un brillant feu d’artifice sera tiré, le même jour,à 9 heures, sur remplacement de la cité Jenty, par les soins de l’habile artificier M. Kervello. l r,î Liste des Étrangers ARRIVÉS AUX SABLES M. Bing, négociant à Hambour, hôtel Dupuy. M. Sariterneit, propriétaire à Angers, hôtel Dupuy. M. Guilloteau, propriétaire à Paris, hôtel Dupuy. M. le comte Friond, propriétaire à Paris, hôtel Dupuy. M. Brun, propriétaire à Tours, hôtel Dupuy. Mme et M. Cok, négociant à Nantes, hôtel de l’Océan. M. Louis Menet, voyageur à La Rochelle, hôtel du Cheval blanc. M. Renaud, négociant à La Rochelle, hôtel du Cheval blanc. M. Guérin, négociant à La Rochelle, hôtel du Cheval blanc. M. Dumas, voyageur à Angers, hôlel du Cheval blanc. M. Dénécheau, propriétaire à Bazoges- en-Pailler, chez M. Grolleau, Remblai. Mlles Marthe et Marie-Antoinette et MM. Dénécheau, àBazoges-en-Pailler, chez M. Grolleau, Remblai. Mlle Guêdon, bonne à Bazoches-en- Pailler, chez M. Grolleau, Remblai. M. le vicomte de Pierres, propriétaire à Chinon, hôtel.Dupuy. Mlle de Pierres, propriétaire à Chinon, hôtel Dupuy. M. Roturci, valet de chambre hôtel Dupuy. M. de Ronneus, propriétaire à Angers, chez Mme veuve Péché, Remblai. Mme et Mlle Bacot, propriétaire à Paris, Mme veuve Péché, Remblai. Mlles Elise, Hélène et Anna, femmes de chambre chez Mme veuve Péché, Remblai. M. et Mme Cherbonnier, propriétaire au Mans, Casino. M. Gebert, gérant du Casino, à Paris, Casino. Mme, e; M. Lemaria, négociantsà Paris, hôtel Dupuy. Mme Mlle et M. Henri Lelong de Loi- gny, à Nîme3, chez M. J. Roux, rue Nationale. M. Gautier, pharmacien à Saumur, chez Mile Angèle Servanteau. Remblai. Mlle Augustine Gautier, à Saumur, chez Mlle Angèle Servanteau, Remblai. Mlle Marie Jarry, propriétaire à Penta- vallain,chez Mlle AngèleServanteau,Remblai. M. Goupelle, propriétaire à Cholet, chez Mlle Angèle Servanteau, Remblai. le de pigeon. On voyait toujours là les mêmes figures : on y entendait toujours les mêmes noms. Aussi, lorsque le valet de pied annonça : M. André de Villoirs ! « un silence universel se fit dans le salon de M. de Retzy, et les regards étonnés se concentrèrent sur le nouveau-venu. » Celui-ci, après avoir salué M. et Mme de Retzy, s’en alla dans un coin causer avec M. d'Hissonière, sans plus sepréoccuper de l’attention dont-il était l’objet._ Quant à mademoiselle Jane, elle avait entraîné quelques-unes de ses meilleures amies dans une embrasure de fenêtre afin de bavarder un pou de colifichets avec elles. La causerie était vive, animée, maligne même, à en juger par les éclats de rire moqueurs qui s’élançaient en fusées de leur coin ; Jane avait repris toute sa sérénité d’esprit, à en juger par la joie naïve et enfantine qui illuminait ses traits. Pas la plus légère ombre à son bonheur, pas la moindre tristesse dans son sourire. {La suile au prochain n°)
M. Louis Jarry, propriétaire à Ste-Â- nastasie, chez Mlle Angèle Servanteau, Remblai. Ville Hélène Jarry, propriétaire à St- Leps-en-Loup, chez Mlle Angèle Servanteau, Remblai. Mme et M. Mérieux, propriétaires à Poitiers, chez Mlle Angèle Servanteau, Rem blai. Mme et M. de la Fouchardière, propriétaires à Versailles, chez Mlle Angèle Servanteau, Remblai. MM. Georges et Jacques de la Fouchardière; à Versailles, chez Mlle Angèle Servan teau, Remblai. M. et Mmé Leriiariée, propriétaires chez Mlle Angèle Servanteau, Remblai.- Mlles Jeanne et Mélanié et M: Paul Le- mariée, chez Mlle Angèle Servanteau, Remblai. M. Félix Duboz, propriétaire à Chinon} chez M. Pianchot, rue Bergère, n° 16. M. Armand Marcilly, éditeur-libraire à Paris, chez M. Pianchot, rue Bergère, | n° 16. M. Sainton-Drapeaux, propriétaire, à Paris, chez M. Pianchot, rue Bergère, n° 16. Mlle Marcelle et MM. Raymond et Roger Sainton, à Paris, chez M. Pianchot, rue Bergère, n° 16. M. J. Dupont, propriétaire à Tours, chez M. Gravouille,rue du Remparts. Mme, Mlle et M. Abot, propriétaires à Tours, chez M. Guérineau, rue du Pal.ais. Mme et M. Biron, propriétaire, au Mans, Casino. M. Péchard, propriétaire àArçay-le-Châ- teau, Casino. M. Charpentier, propriétaire, à Arçay- le-Château, Casino. M. Heypuis, propriétaire au Mans, Casino. • Mme et M. Cornilleau, propriétaire, au Mans, Hôtel-de-France. Mme M. et Mlles Delocle, à Tours, hôtel de France. M. Trougnou, entrepreneur à Tours, hôtel de France. Mme, Mlle et M. Hardyau, propriétaire, chez Mlle Pépion, rue du Centre. M. Bessereau, négociant à Tours, chez Mlle Pépion, rue du Centre. Mme et MM. Bessereau, à Ghâtellerault, hôtel de France. Mme Mlle et M. Déchois, docteur à Chi- non, hôtel du Cheval-Blanc. Mme et MM. Véron, propriétaires à Poitiers, hôtel du Cheval-Blanc. M. Duval, négociant à Chinon, hôtel du Cheval-Blanc. M. Bernadeau, àC inon, hôtel du Che val-Blanc. M. Nobileau, propriétaire à Tours, hôtel du Cheval-Blanc. M. Maurice, notaire à Lermé, hôtel du Cheval-Blanc. M. Le Boy, négociant à La Roche, hôtel du Cheval-Blanc. M. Desbcrrdes, André, à Chinon, hôtel du Cheval-Blanc. M. Mouleré, substitut à Chinon, hôtel du Cheval-Blanc. M. Sourdeau, régisseur à Boismai, chez M. Proust, rue du Palais. M. Martiueau, propriétaire à Neuilly, chezM. Proust, rue du Palais. M. Graindain àThouars, chezM. Proust rue du Palais. Mm.e et M. Demartial, procureur de la république, à Bressuire, chez Mlle Bros- saud, Remblai. Mme et MM. Rouger à Bressuire, chez M. Chusseau, place de la Digue. Mlle Louise Mignon, propriétaire à Tours, chez M. Chusseau, place de la Digue. Mme et M. Brame, docteur à Tours, chez Mme Logeais, rue fie lTIôlel-de-vi!le. M. Bodart propriétaire à Tours, chez Mme Logeais, rue de l’ïïôtel—de—Ville. Mme, Mlle et M- Arnould, vérificateur à La Roche, chezM. Febvre, place Belle- vue. Mme, Mlle et M. Léger, docteur à La Roche, chez M. Febvre, place Belle- vue. M. Léger, colonel du 61e de ligne, à Nantes, chez M. Febvre, place Belle- vue. M. Drillon, notaire, à Saintes, chez SI. Febvre, place Believue. - M. Laguerre, propriétaire à Saintes, chez M. Febvre, place Believue. MM. Gilluizeau, propriétaire à Talmont, chez M. Richou, rue du Palais.. M. Chauvineau, secrétaire de la mairie de Loudun, chez M. Richou, rue du Palais. M. Bois!evé,mairedeLes 3Moutier,chez M. Richou, rue du Palais. M. Cheny,AdFien, négociant, à Loudun, chez M. Richou, rue du Palais. M. Thibaud, Fernand, négociant à Loudun, chez M. Richou rue du Palais. Mlle Lemaire,' propriétaire à Tours,hôtel de l’Océan. M. Lemaire, propriétaire à Tours, hôtel de l’Océan. M. Lemaire, propriétaire à Tours, hôtel de l’Océan. M. Gauchet, propriétaire à Nantes, hôtel de l’Océan. M. Soudée, Ernest, propriétaire à Nantes, hôtel de l’Océan. M. Jabeneau, propriétaire à Montri- charà, hôtel de l’Océan. M. Jabeneau, propriétaire à St-Aignan, hôtel de l'Océan. M. Langereau, Jules, entrepreneur à Tours, hôtel de France. M. le vicomte d’Orgus, propriétaire à Faris, hôtel de France. M. Moureau, propriétaire à Tours, hôtel de France. M. Micher, propriélaire à Tours, hôtel de France. M. Quampay, propriétaire à Parigné, hôtel de France. M. Decharneau," Léon, négociant à.Bressuire, place du Palais. Mme etM. Morice, négocianis à Bressuire, place du Palais. M. Gauchet, propriétaire à Cholet, hôtel de l’Océan. M. Leclerc, propriétaire à Pas-de-Jeu, hôtel de l’Océan. Mme la comtesse Okarins du Parc, rentière à Tours, h’ôpital des Sables. Mlle la comtesse Okarins du Parc, rentière à Tours, hôpital des Sables. M. le président du tribunal civil de Poitiers, sa dame et sa demoiselle, rentiers, hôpital des Sables. M.Brault, Emile, chef du bureau de préfecture à Poitiers, hôpital des Sables. M. Filloux, négociant à Tours, hôpital des Sables. M. l’abbé Demilien, curé de Ste-Marie,à Limoges, hôpital des Sables. M. de Tinguy, propriétaire, à Rémy,chez M. Giraudeau, sur le remblai. M. de Tinguy.propriétaire à Rémy, chez M. Giraudeau, sur le remblei. M. de Tinguy, propriétaire à Rémy, chez M. Giraudeau, sur le remblai. M. le précepteur de la famille Tringuy chez M. Giraudeau, sur le remblai. M. Martin, propriétaire k Saumur, chez M. Giraudeau, sur le remblai. Mme Martin,propriétaire à Saumur,chez M. Giraudeau, sur le remblai. Mlles Martin, propriétaires à Saumu r, chez M. Giraudeau, sur le remblai. M. Reynar, Prosper, propriétaire à Saumur,clie? M. Giraudeau,sur le remblais Madame et M. Parceneau, directeur du Haras de La Roche, au Casino. Mme et M. Léger, négociant à La Roche, au Casino. M. Gibbert, propriétaire à Tours, au Casino. M. Pacot, propriétaire à Saumur, au Casino. M. Fremy, propriétaire à Chinon, au Casino. Mme et M.Cassou,propriétaires à Tours, au Casino. Mme et M. Petit, propriétaires à Tours, au Casino. Mme et M. Boutin, propriétaires à Thouars, au Casino. M. Laurent, propriétaire à Poitiers, au i Casino. JLA PLAGE Mme et M. Bourou, propriétaires à Loudun, au Casino. M. Bouchard, propriétaire à Saumur, au Casino. Mme et M, Courtin, propriétaires à Tours, au Casino. M. Barré, ingénieur âParis, au Casino. M. Bectebeau, propriétaire à Paris, au Casino. M. Berger, négociant à Saumur, aa Casino. M. Nablot, propriétaire à Bolou, au Casino. M. et Mme Leclerc, ingénieur à Paris, au Casino. Mme et M. Guyou, limonadiers à La Ro che, au Casino. M. Hernoux, propriétaire au Mans, au Casino. M. Holgue, voyageur à Paris au Casino. Mme et MM. Limousin, fabricants à Châteaurenault, sur le Remblai. M. A. Duguet, négociant à Tours, chez M. Bourdaîn. M. Loiseau, propriétaire à Tours, chez M. Bourdain. Mme et M. Dastre, propriétaires à Tours, chez M. Bourdain. Mme et M. Lemaître, propriétaires à Tours, chez M. Bourdain. M. Beghin, Marie, propriétaire àTours. Mlle Beghin, Célestine, à Tours. M. Lesage, Louis, pâtissier à Verteil, chez M. Loquin. M. Roussel, Adolphe, cuisinier à Orvil- liers, boulevard de l’Ouest. M. Thalamot, directeur des contributions indirectes à La Roche, casino. Mlle Thalamot, de La Roche-sur-Yon, casino. M. Gourot, substitut à La Roche-sur- Yon, casino. M. Marie, propriétaire à La Roche-sur- Yon, casino. M. Daivilie, trésorier-payeur à La Ro- che-sur-Yon, casino. M. Couet, ingénieur à Saumur, hôtel de France. Mme Couet, propriétaire à Saumur, hôtel de France. M. Pichard, propriétaire a Saumur, hô tel de France. M. Pichard, propriétaire à l’oatenay-le- Gomte, hôtel de France. M. de St-Estèphe, propriétaire à Champde-Péré, liôtel de France. Mile de St-Estèphe, propriétaire à Ghanip-de-Péré, hôtel de France. M. Devalsalte, propriétaire aux G lèches, hôtel de France. M. Lebleu, propriétaire à Tours, hôtel de France. Mme Lebleu,'propriétaire à Tours,hôtel de France. M. Duval, propriétaire à Tours, hôtel de France. M. Bazin, propriétaire a Bouriégaud, hôtel de France. , Mme Bazin, propriétaire a Bouriégaud, hôtel de France. Mlle Bazin, propriétaire à Bouriégaud, hôtel de France. M. Bastard, propriétaire à Tours, hôtel de France. M. Guitet, propriétaire à St-Benis-d’Oléron, hôtel de France. M. Charriau, propriélaire à Tours, hôtel ♦ de l’Océan. M. Lemaire, propriétaire à Tours, hôtel de l’Océan. M. Piédor, clerc de notaire à Tours, chez M. Bourdain. Mme et MM. Méteau, propriétaires à Moncoutant, sur le Remblai. Mlle Gauthier, sur le Remblai. M. de la Débuterie, propriétaire à Bazoge, sur le Remblai. M. Jenty, député à Paris, au Grand- Hôtel, sur le Remblai. M. Masseras, journaliste à Paris, au Grand-Hôtel, sur le Remblai. M. Messadre, propriétaire à Tours, au Grand-Hôtel, sur le Remblai. M. Slolt, ingénieur à Tours, au Grand- Hôtel, sur le Remblai. M. Laroche, propriétaire à Saumur, au Grand-Hôtel, sur le Remblai. M. Joigneux, propriétaire à Saumur, au Grand-Hôtel, sur le Remblai. M. Comte, procureur à Chinon, Grand- Hôtel. M. Prinost, président du tribunal de Chinon, Grand-Hôtel. M. Lesourd, propriétaire à Cfeinon, Grand-Hôtel. M. Chevalier, propriétaire à Mirebeau, place du Palais. M. Bretagne, propriétaire à Pas-de-Jeu, hôtel de l’Océan. M. Bedane, de Tours, hôtel de l’Océan. M. Maneau, propriétaire à Tours, hôtel de l’Océan. Mme et M. Givet, propriétaires à Thouars, rue du Palais. Mme et M. Lamoureux, propriétaires à Thouars, rue du Palais. M. Oudin, avocat à Tours, sur le Remblai. M. Breton, avocal-agréé à Tours, ru» Nationale. M. Biaise, agréé à Tours, rue Nationale. Mme et M. Melin, avoué à Tours, rije Nationale. M. Apaudry, propriétaire à Brézé, au Cheval-Blanc. M. Pirard, négociant à Saumur, Cheval-Blanc. M. Philippon, propriétaire à Saumur, Cheval-Blanc. M. Meunier, greffier à Chinon, Cheval- Blanc. M. Meunier, notaire à Chinon, Cheval- Blare. M. Meunier, avocat à Chinon, Cheval- Blanc. M. Philippon, propriétaire à Poitiers Cheval-Blanc. M. Pineau, négociant à Rochefort, Che- val-Blanc. Mme etM. Vasou, propriétaires à Poitiers, Cheval-Blanc. MM. Pelletier, propriétaires à Montreuü, sur le Remblai. Mlle Mireloude, Marie, propriétaire à Montreuü, sur le Remblai. Mlle Patouceille, rentière à Paris, sim ’ le Remblai. M. Pero.t, rentier à Montreuii, sur le Remblai. Mlle Mary, rentière à Paris, sur le Remblai. Mme et M. Putot, propriétaire à Ghâ teau-Gouthier, sur le Remblai. Mme etM. Rafoux, négociant à Thouars, sur le Remblai. Mme de Laporte, d’Airvault, sur le Remblai. M. Roy, agent-voyer à Tours, hôtel du Cheval-Blanc. M. Guéritault, agent-voyer à Tours, hôtel du Cheval-Blanc. Il y a évidemment beaucoup d’autres étrangers en ce moment aux Sables, mais nous ne pouvons donner aujourd’hui que les noms qui nous ont été communiqué par la police. Nous compléterons donc la liste dans notre prochain numéro. H>evni£r*es>i n o u v e l l e s C’est un fait acquis à la science, que toutes les maladies de poitrine sont guérissables par l’emploi de la Farine mexicaine, del doctor Benito del Rio de Mexico. Cet aliment est non-seulement le plus sûr, mais encore le plus agréable remède pour guérir les maladies de poitrine, bronchites, catarrhes, maladies du larynx, phthisie pulmonaire tuberculeuse, maladies consomptives, vieux rhumes, anémie et l’épuisement prématuré. S’emploie pour la nourrituredes vieillards, dès convalescents et des jeunes enfants. Dix ans de succès et 100 mille malades guéris, le plus souvent, alors qu’on les croyait per- | dus et sans ressources, prouvent qu’on ne | doit jamais désespérer. 1 La Farine mexicaine sé trouve I aux Sables, chezM. MOURAILLEAU, nego- I ciant. | 'Aux mêmes dépôts : Café I îîii-le - 1 I rin, ~ médailles d’honneur, et Colltei* 1 1 Wathia, préservatif du croup et de la S I coqueluche. 1 Les imprimeurs gérants : RIBÀUDEAU ET CHEVALLIER.— ToURS. IIMIMIHl l U m w .il « m il M » I M W — IMUIUJ
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Elle se tenait toujours debout, mun
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FAITS DIVERS * UNE FEMME ENRAGÉE.
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