P L A G E - Les Sables d'Olonne

More documents

Recommendations

Info

chot, l’air crâne et l’aplomb !... sachez que du haut duRembtai de charmantes femmes vous contemplent! Mais l'orchestre du Casino fait entendre les préludes d’un quadrille et votre cœur candide bat vivement à la vue de ces adorables danseuses. Allons, allons, pas de honte, le bras aux demoiselles et en place pour la contredanse. * * * Le vent semble toujours souffler du même côté. Ecoutons encore. Grande nouvelle de Mirebeau !... — De Mirebeau ? Connais pas. — Vous ne connaissez pas Mirebeau!... Sachez donc alors que c’est :1a capitale du Mirebalais. Cette ville, (2,700 habitants)» située dans le haut-Poitou sous le 46 degré de latitude, fut jadis très-célèbre par ses savants et par ses ânes. Eh bien, la docte académie de ceüe ville, car elle à une académie, C’eet des savants que je veux dire Et non des ânes ; On pourrait aisément s’y tromper — aurait ajouté La Fontaine — sa doete académie, dis-je, vient de mettre au concours un sujet palpitant d’intérêt pour nous autres, gens de mer : De l’influence des queues de morue sur les ondulations de la mer !__ Décidément il n’y a plus d’enfants; maintenant la moindre bourgade, placée sur un plateau au centre de la France, a une grande altitude au-dessus du niveau delà mer, cherche à se donner des airs de ville maritime. Après cela, pourquoi pas? Qui nous dit qu’un jour, Loudun lui- même n’aura pas sa piage aussi comme les Sables. Ce que, du reste, je trouverai assez rationnel.... pour y loger sa fameuse baleine. Le pigeon voyageur, qui jadis fit gagner aux joueurs à la loterie et aux boursiers de si insolentes fortunes, tomba dans le discrédit lors de l’invention du télégraphe électrique. Depuis cette époque il ne (ut plus qu’un prétxte à Paris entre quelques sociétés du nord de la France et de !a Belgique. Vint 1870, et l’inoffensif pigeon mérita vraiment de la patrie d’être mis au nombre de ses délenseurs. Après les incontestables services rendus par lui pendant la guerre, on comprit le rôle important qu’il pouvait jouer en cas d’invasion. Aussi son élevage et son éducation sont-ils devenus, au jardin d acclimatation, l’objet d’études et de soins tout spéciaux. Aujourd’hui, la compagnie des Transatlantiques entreprend de très-curieuses expériences de correspondance avec ces oiseaux. Un pigeonnier central vient d’être établi à St-Nazaire, d’où seront expédiés un grand nombre de pigeons voyageurs pour rAmérique. Gesvolatiles faisant en moyenne 25 lieues à l’heure, on comprend avec quelle rap;- dité on peut avoir des nouvelles, lorsque FE l ILLETON C» UNE PAR ANDRÉ TREILLE. S I.(,) — Salu', mesdames, cria du haut de la maison une voix fraîche. -— C'était Margot qui poussait les contrevents du grenier. Eh ! bonjour, Margot, fit la marquise. Comment vas ton poupon ? — Merci, madame, il va bien ; tenez, le voilà qui gigote sur l'herbe et qui joue avec Finot, auprès des noisetiers. Dame ? la vie est dure ! Mais ces bébés-là ça vous fait oublier les peines. Margot, on le v.-it, était plus sage que Jacques. Jane, elle, s’était élancée du côté du poupon et l’avait déjà pris dans ses bras. (i) Reproduction interdite. LA PLAGE les communications télégraphiques ne sont pas permises. * * Un conseil d'hygiène aux habitants des Sables, par ce temps caniculaire. Bien quenotre ville possède un air très- pur et sans cesse renouvelé par la brise de la mer, les fréquents arrosages des rues ne sont pas à dédaigner à cette époque de grandes chaleurs. L’établissement de notre installation d’eaux n’étant pas encore entièrement terminé, les habitants ne peuvent arroser à loisir et surtout d’une façon vraiment utile. Voici donc un procédé don* on se sert à Londres; il serait bon à imiter dans les quartiers malsains et surtout à la poissonnerie. On fait dissoudre dans l’eau devant servir à l’arrosement des rues du chlorure de chaux, de sonde et d’alumine. Ce procédé réunit deux grands avantages : il est hygiénique et constitue un puissant désinfectant qui neutralise l’action des miasmes ; de plus il est économique, car l’affinité des sels pour l’eau en rend l’évaporation plus lente, et l’humidité persiste ainsi plus longtemps, ce qui rend les arrosages plus rares. * * + En me promenant l’autre soir sur le Remblai, je me demandais à la vue de tous ces pauvres ânes attendant philosophiquement les baigneurs, à l’amusement desquels ils semblent si dévoués, je me demandais,dis-je, à quel nombre fabuleux pouvaient bien s’élever les ânes en France, à en juger par le stock de la plage des Sables. Et s’ils y pullulent déjà, on doit ajouter, pour être juste, qu’ils attendent pour le moment des vacances une très-importante caravane de renfort. Au salon de lecture du Casino, l'Officiel me tomba sous la main. Coïncidence heureuse !... M. le ministre de l’agriculture et du commerce, dans une circulaire, faisait connaître* aux Français combien leur patrie possède d’ânes :... Quatre cent cinquante mille... Oui, quatre cent cinquante mille! Pas un de plus, pas un de moins, puisque c’est la statistique de la population animale qui l’a constaté. * * La statistique!... Quelle belle invention et que de cervelles elle met à l’envers de nos jours. Grâce à elle on découvre des choses incroyables en établissant des rapports insensés. Exemple : Un statisticien passe dans une commune, remarque entre autres choses que la presque totalité des habitants portent des bonnets de coton et ne savent pas lire ; crac, aussitôt des chiffres qui établissent proportionnellement que l’instruction est en raison inverse de l’usage du bonnet de coton. Allons, je m’arrête; il me semble que — Le bel enfant, et les beaux yeux bleus ! Regardez-donc M. de Villours. André se tourna vers elle et voulut le lui prendre. — R est trop lourd pour vous, dit-il. — Oh non ! Je suis forte, allez, laissez- le moi, répondit-elle en riant. — Donnez-le moi. J’aime les bébés autant que vous. — Vous aimez les enfants, vous aussi. Ah! j’en suis bien heureux. Elle rougit aussitôt, craignant d’avoir trop parlé.mais cette fois encore, André ne fut frappé de rien. — Eh bien ! Pour ne pas nous le disputer toujours, je ferai son portrait,.... et ie vôtre aussi, mademoiselle. — Celui du bébé, oui, mais le mien, non. — Pourquoi? — Parce que...... — Mais encore? — Parce que le bébé est joli, — et moi,...... — Et vous ? — Dame ! Je suis laide! Pour la première fois, les yeux d'André s’arrêtèrent sur Jane. Jane n’était pas belle; elle était jolie, sa figure avait un air de distinction gracieuse et charmante; et, loin de l’enlaidir, ses cheveux roux lui ces savants,qui réduisent tout au réalisme du chiffre, froncent les sourcils et me rangent au rang de ces pauvres bêtes de la plage qui sont si dignes d'intérêt’. Prenez garde, messieurs, en me traitant d'âne vous allez déranger l’équilibre des chiffres de la circulaire ministérielle et faire mentir la statistique; ce ne sera plus quatre cent cinquante mille, mais bien quatre cent cinquante mille un qu’il faudra inscrire à notre statistique animale. O scar du R em blai. CHRONIQUE LOCALE M. Duchastenier, procureur général à Angers, un des riehes propriétaires dans notre bocage Vendéen, vient d’être appelé au même poste à Rennes. CHINON. — Un festival aura lieu dans cette ville le dimanche 6 août avec le concours de plusieurs musiques des villes de la ligne des Sables. Cette fête sera, paraît-il, donnée dans les jardins du vieux châtean historique. Programme des morceaux qui seront exécutés le dimanche 16 juillet, à 3 heures, par la société philharmonique de la Roche-sur-Yon, au Casino. !• Barcarolle Lecot. 2. Ouverture du Domino Noir Auber. 3‘ Air des Vêpres Siciliennes Verdi. 4- Feuille légère, Mazurka E. P. 5- Air varié pour petite clarinette Meyerbeer. 6- Le Vendéen, Quadrille J. Varenne. Le chef de musique, L ecot. Pendant les courses d’aujourd’hui dimanche à 5 heures, la société philharmonique des Sables jouera plusieurs morceaux de son répertoire et à 7 h. 1/2 elle exécutera les suivants : Allegro Blancheteau. Valenline de Milan Mullot. Valse Offenbach. Ouverture Hermann. Polka Porsck. TI-IÉATRE DU CASINO d e s s a b l e s - d ’o l o n n e r>irectïon de M. Jules Me rgy Dimanche 16 juillet 187(j. Première représentation de : Les Femmes qui pleurent Comédie en un acte, par MM. Siraudin et L. Thiboust. DISTRIBUTION Chambly MM. Victor Albert de Prieux A. Brûlé donnaient une expression tout originale. Que se passa-t-il dans le cœur d’André ? Il n’en sut rien lui-même, mais il se prit à admirer, en aitiste, ce mignon visage encadré dans ses masses de cheveux roux. Involontairement il compara Jane à Blanche Isman. Jane se taisait, gênée par ce regard fixé oü eüe lisait l’admiration. — Mais, si, vous êtes belle, lui dit-il à voix basse. Et ce fut tout. La marquise les appelait pour visiter sa serre avant le déjeuner. Andrépnt le poupon des bras de Jane et le remit sur l’herbe. La jeune fille le laissa faire, et acceptant, le bras qu’il lui offrait, elle rejoignit M. d’Hissonnière, appuyéesurceluiqu elle aimait et dont elle eût tant voulu être ai- . mée. Quand ils eurent disparu, Margot appela Jacques. — Les coftnais-tu ? — Dame ! la demoiselle, c’est la fille de M. de Uetzy ; je me souviens de l’avoir vue à la ville, et même plusieurs fois, Quant au monsieur, je ne sais pas. — Il me semble pourtant l’avoir vu. Ne trouves-tu pas qu’il ressemble au partrait qui est dans legrand salon, à côté de celui de M. le marquis ? — Le portrait de l’homme qui se cachait ici pendant la grande guerre ? Jean Delphine Clolilde L e s D e u x Brussel Mines Meyer Monnet Timides Comédie - vaudeville en un acte, par MM. Marc Michel et Eugène Labiche. DISTRIBUTION Thibaudier MM. Kuntz Jules Frémissin Bores Anatole Garadoux A. Brûlé Cécile Thibaudier Mmes Monnet Annette Victor LES EI-EUX AVEUGI.ES Bouffonnerie musicale en un acte, paroles de J. Moineaux,musique d’Offenbach. Patachon MM. Borès Girafier Kuntz OiiTcrtnre à ^rnniil «rehcstre Ordre : l - Ouverture; 2- les Deux Timides ; 3‘ les Femmes qui pleurent ; 4’ les Deux Aveugles. Bureaux à 7 h. 3/4, rideau à 8 h 1/4. Après les Deux Timides, entr’aste de 40 minutes pour le feu d’artifice. Tous les jours, concert de 3 heures à 4 heures et soirée dansante. Le jeudi, de 2 heures à 4‘heures, matinée enfantine dans le grand salon, sous la direction de M. et Mme Paul. Prix d'entrée, par enfant, 1 fr. Le samedi, à 8 heures, bal à grand orchestre. Les grands bals gala avec cotillon, di- rigésparM.etMme Paul,serontannoncés par voie d’affiches. Un cours de danse est ouvert tous les jours au casino, sous la direction deM. et Mme Paul. Le directeur du Casino, E. L égua y . Théâtre dix Chalet A 8 heures 1/2 Dimanche 16 juillet 1876 Bj ü vieux. Chalet vit encore Prologue d’ouverture en un acte. Le Vieux Chalet, Le Jeune Casino, La Muse théâtrale, L’Eau Merveilleuse Le Journal la playe, Mmes Lepailleur E. Dorval Margarita Dallou M. Dorval M. Critique, MM. Pichet M: Public, Préville Le Café de l’Océan, Charley Un Agent gai, Gacon Un Agent triste, Testot On terminera par : Tromb al Oazar Opéra-bouffe en 1 acte. Beaujolais, Vert-Panné, Ignace, Gigolette, Prix habituels. MM. Charley Pichet Gacon Mme Lepailleur. — Oui. — Tu as pîut-être raison. — Mais, c’est le mari et la femme ? — Es-tu fou ? ils se disent vous ? — Ce n’est pas une raison, çà. Pour nous des payans, on peut se tutoyer. Mais souventes fois, j ’ai vu ces beaux messieurs et ces belles dames se donner des vous comme s’ils ne se connaissaient pas. Ifs mettent des gants blancs pDur se parler, eux ! — Peut-être ; mais nous aurions bien su si Mlle de Retzy s’était mariée, et d’ailleurs on nous a écrit de préparer deux chambres. C’est pas^ pour des mariés, ça. — Tout çà, tout çà, ce ne sont pas des raisons, reprit Jacques. Mais alors, s’ils ne sont pas mariés, ce sont des amoureux. — Des amoureux ! Mais ils ne viendraient pas ici, sans leurs parents! — Ah bah! qu’en sais-tu? M. ie marqué est si drôle. {La suite au prochain n°) s
ÉTRANGERS ARRIVÉS AUX SABLES 5“ L tite M. François Clément, artiste musicien à Nîmes, chez Mlle Pallier, rue Napoléon. M. Georges Rousselot, artiste musicien à Nîmes, chez Mile Pallier, rue Napoléon. M. Charles Naudin. artiste musicien à Nîmes, chez Mlle Pallier, rue Napoléon. M. Plantier, Gabriel, propriétaire à Tours, chez Mme Pépin-Jouet, rue du Palais. Mme et M. Porcé, propriétaires à Tours, chez Mme Pépin-Jouet, rue du Palais. Mlles Plancher, propriétaires à Tours, chez Mme Pépin-Jouet, rue du Palais. Mme la comtesse de St-Chamains, propriétaire à Paris, chez M. Mercier, ruedes Cor- deries. Mines et MM. de Clerambault, vérificateur des domaines»Bourges, chez M. Mercier, rue des Corderies. M. Marcel Michaud, propriétaire à St-Maixent, chez M. Fermé, rue des Dunes. Mme et MM. liaigre, négociant à Angers, chez Mme veuve Groisard, sur le remblai. Mlles et M. Pérotteau, propriétaires aux Lues, chez Mme veuve Guiochet, rue des Corderies. M. Maurice, menuisier à Tours, à l’hôtel de l'Etoile. MM. Roux, Alphonse et Clovis, marchands à La-Garde, à l’hôtel de l’Etoile. Mme et M. Deschamp, marchands à Flars, à l'hôtel de l’Etoile. M. Dupin, propriétaire à Pamprouse, à l’hôtel de la Plage. M. Lesage, propriétaire à Richelieu, à l’hôtel de la Plage. Mme et M. Froger, propriétaires à Richelieu, à l’hôtel d e la Plage. M. Doussault, propriétaire à Moatluçon, à l’hôtel de la Plage. Mme et M. d’Abadie, propriétaires au château de Chebora (Vienne,) à l’hôtel de la Plage. Mlle et MM. Godillot, négociant à Bordeaux, à l’hôtel de la Plage. M. Mesnier, négociant à Nantes, au Casino. M. Nicolas, propriétaire à Niort, au Casino. Mme et M. Le Benier, propriétaires au château de Lasnière, au Casino. Mmes et M. Moussion, propriétaires à La Châtaigneraie, chez Mme veuve Guignar- deau, rue du Palais. Mme et M. Chenard, négociant à Cognnc, à l’hôtel de France. M. d Ognon, négociant à Paris, à l’hôtel de France. M. David, négociant à Limoges, à l’hôtel de France. Mme et M. Fortin, propriétaires à Angers, chez M. Ravon, place de la Digue. Mme la marquise et Mlles Lesnie et Geneviève de Barbançois, propriétaires à Tours, au Couvent. Mme et MM. Becq, propriétaires à Paris, chez Mme Hervaut-Audubon, place du Palais. Mines et MM. de Veyrière, propriétaires à Beaussier(Corrèze,) chez Mme Hervaut- Audubon, place du Palais. Mmes Chauveau, propriétaires à Blois, chez M. Déplanc, sur le Remblai. Mme Paul Meusnié, propriétaire à Blois, chez M. Déplanc. sur le Remblai. Mlle Aunée Cour, propriétaire à Blois, chez M. Déplanc, sur le Remblai. Mmes et M. Olick, facteur de pianos à Niort, chez M. G-iraud, rue Nationale. M. Fontaine, chef du génie à La-Roche-sur-Yon, à l’hôtel du Cheval blanc. M. le général du génie Ségretain, à Nantes, à l’hôtel du Cheval blanc. M. Beaulieu, capitaine du génie à Nantes, à l'hôtel du Cheval blanc. M. Godefroy, propriétaire à Neuillé, à l’hôtel du Cheval blanc. M. Foulard, entrepreneur à Tours, à l’hôtel du Cheval blanc. Mmes Pétrée, propriétaire à Tours, à l’hôtel du Cheval blanc. M. Bouchardeau, maître-d hôtel à Poitiers, à l’hôtel du Cheval blanc. M. Boulet, voyageur à Angers, à l’hôtel du Cheval blanc. Mme Maria Gautier, propriétaire à Paris, chez M. David ingénieur. Mme Vilmet, Louise, propriétaire à Fontainebleau, chez M. David, ingénieur. M. Gautier, propriétaire à Paris, chez M. David, ingénieur. Mme et M. Gilly, propriétaire à Clussais, chez MlleBrossaud, sur le Remblai. Mmes Lubin, propriétaires au château de Marmagne, à l’hôtel de la Plage. Mlle Marguerite Plat, institutrice à l'hôiel de la Plage. Mmes Morin, propriétaires à Poitiers, à l'hôtel de la Plage. Mmes et M. de Rnimonville, propriétaires au château delà Velle, au Casino. Mmes et M. Brault, commissaire-priseur à Poitiers, chez M. Magneau, rue du Casino. M. Mercier Mmes d1 Mme de Mmes et M. Richard, Alfred, archiviste de la Vienne à Poitiers, chez Mme Ardor, rue du Palais. M. Gay-Richard fils, archiviste de la Vienne à Poitiers, chez Mme Ardor, rue du du Palais. , • Mlle et M. Richard, juge-suppléant a Parthenay, chez M. Perrocheau, sur le Remblai. Mlles etM. Bazjn, propriétaires à Troyes, chezM. Guillet, sur le Remblai. Mmes et MM. Perreau, propriétaires à Nieul-le-Dolent, chez M. Bobinet de Langle, quai Franqueville. M. l'abbé Grandjon, propriétaire à Lyon, chez M. Chusseau, plaee de la Digue. M. Charles Lambert, étudiant à Orléans, chez M. Chasteau, place de la Digue. Mme, Mlle etM. Raubinière, notaire à Clisson, cliez M. Soize, rue du Palais. Mlle Boisteaux, propriétaire à Nantes, chez M. Snize, rue du Palais. Mme et MM. Gérard, propriétaires à Tiffauges, chez M. Soize, rue du Palais. Mme Pélisson, propriétaire à Bressuire à l'hospice. Mlle Dandy, propriétaire à Bressuire, à l’hospice. M. l’abbé et M. Chieart père, propriétaire à Poitiers, à l’hospice. M. Rageau, propriétaire à St-Maixent, à l’hospice. M. Gaillard, pharmacien à Fernoy (Vienne), au Casino. M. Lambert, juge du Tribunal civilde Nan es, au Casino. Mmes de St-Marc, propriétaires à Angers, au Casino. Mlles, Mme et M. Maurice Sand, à Vohan (la Châtre), hôtel de l’Océan. M. Blanchut, propriétaire à Vohan, à l’hôtel de l’Océan. Mme et M. Biéiet, propriétaires à Paris, à l’hôtel de l’Océan. M. Dupuy, horloger à Loudun, à l’hôtel du Cheval Blanc. M. Bourguignon, rentier à Loudun, à l’hôtel du Cheval Blanc. M. A. Chenai, négociant, à Loudun, hôtel du Cheval-Blanc. M. Bourdon, conducteur des Ponts-et-Chaussées, à Loudun, hôtel du Cheval-Blane. M. Chailloux, propriétaire à Challans, hôtel du Cheval-Blanc. M. Dupleix, propriétaire à Beauvoir, hôtel du Cheval-Blanc. M. Thibault, avocat à Challans, hôtel du Cheval-Blanc. M. Duchesne, propriétaire aux Moutiers, hôtel du Cheval-Blanc. M. Miction, négociant à St-Gilles, hôtel du Cheval-Blanc. M. et M"1” Hiom, propriétaires à Nanles, au Casino. LA PLAGE C o u r s cl© cîaïisie d u C a s i n o clés Sa.Mes-cT O l o i i n e . Nouveautés de la saison démontrées par M. et Mme Paul, professeurs. 1“ Le Printemps. Variante de la polka importée en France par les tsiganes hongrois. 2' Nouvellequatrième figure du quadiille croisé, beaucoup plus facile et plus gracieuse que l’ancienne. 31 Sir Roger de Cavn Jey, danse d'origine anglaise dont le nombre des couples est illimité, indispensable pour finir avec entrain toules les petites soirées dansantes. {■ 300 figures de Cotillon seront démon- tiées partiellement dans les cours qui se donnent tous les jours au Casino. Sous le titre Cotillonnade, M. Paul nous promet de nous donner pour chaque numéro de notre journal la description d’une ou plusieurs figures de cette danse, le Cotillon, qui est le final obligé de toutes les grandes soirées. Nul doute que les amateurs de danse n’accueillent avec plaisir cette innovation, que nous devons à la gracieusete de M. Paul et qui nous paraît être des plus complètes. Etat-civil des Sables-d’Olonne Naissances. 5 juillet, Théophile-Marcel-Louis Le Pus. 5, Maria-Léonline Binsse. 9, Alcine-Hippolyte Bréluzeau. 10, Marie-Louise-Adeiine Mérot. 11, Annantine Marie-Constanc'e Thi- baudeau. 18, Berthe-Augustine Barreau. Publications de mariages. Marie-Joseph-Henri Chevrier, 21 ans, marin, et Marie-Elise-Assomption Lhom- medé, 20 ans, poissonnière. Anatole-Marie Gimard, 25 ans, marin, et Zoé-Augustine Mallard, 18 ans, sans profession. Mariages. Victor-Anatole Bornet, 25 ans, forgeron, et Léontine-Clotilde Clot, sans profession. Décès. 7 juillet, Pauline-Adolphine Elbert, 8 ans. 12, Céline-Marie Aune, G7 ans, domestique. Dernières n o u v e l l e s C’est un fait acquis à la science, que jtoutes les maladies de poitrine sont guérissables par l’emploi de la F a r i n e m e x i c a i n e , del doctor Benito del Rio de Mexico. Cet aliment est non-seulement le Ijplus sûr, mais encore le plus agréable re- jmède pour guérir les maladies de poitrine, fbronehites, catarrhes, maladies du larynx, Sphthisie pulmonaire tuberculeuse, maladies Iconsomptives, vieux rliumes, anémie et l’é— gpuisement prématuré. S’emploie pour la nourriture des vieillards, Ides convalescents et des jeunes enfants. Dix |ans de succès et -100 mille malades guéris, aie plus souvent, alors qu’on les croyait per- ‘jdus et sans ressources, prouvent qu’on ne doit jamais désespérer. j La F a r i n e m e x i c a i n e se trouve Jaux Sables, chez M. MOURAILLEAU, négociant. | Aux mêmes dépôts : C a f é B a r l e - j r i n , 2 médailles d’honneur, et C o l l i e r î’W 'a t h i » , préservatif du croup et de la oqueluche. Monsieur le rédacteur, J’ai soixante-treize ans et je viens d’être guérie sans opération d’un «cancer du sein dans la maison de santédu Dr Cabaret, rue d’Armaillé, 19, à Paris. J ’y ai rencontré MmeBlot, d’Argenteuil (Yonne), qui a été aussi guérie ®»sas o p é p a ü o n d’une tumeur cancéreuse, déjà opérée, à la ceinture, Mlle Marie Guérive, pensionnaire aux incurables des soeurs dé Saint- Vincent-de-Paul, avenue de Roule, 30, à Neuilly-sur-Seine, a obtenu comme moi la guérison d’un cancer très-grave au nez. Je suis heureuse de faire connaître ces guérisons, pensant que beaucoup de malades, désespérés comme je l’étais, retrouveront aussi la santé dans cette maison. A. VERCOLIER, 8, place du marché, à St-Denis (Seine). Les imprimeurs gérants : RIBAUDEAU ET CHEVALLIER.— ToURS. Annonces diverses N'ACHETEZ P&S DE MACHINES â COUDRE s a n s c o n su lte r l e s . i m i n i t s q u ’o ffre ro. b â c l e 46, rae du Bac, 46 LA CÉLÈBRE SILENCIEUSE 175" complétée do récrin des 40 guides et accessoires. d a W M O P I-S Machine à main et à navette U wUüïiLIL pour familles et industries.......... ’ F Y P P F Q C Machine américaine à point f t Q f p L L Â n i L u w retors, qualité garantie......... SI n DU F I l ET D T M ? ST D spéciales p* atelier 5 O fr. iSUaaL&yLal S cl S L il au -dessous du tarif général. Envoi franco Catalogue et Echantillons. Seule M°“ D. B A C L E , 46, rue du Bac, 46 CARTES A NUMEROS. RrevetéesS. G. D. G. Ces Cartes à jouer ne sont que des chiffres. Par leur simplicité elles sont préférables aux cartes ordinaires pour la plupart des jeux de Ranque, tels que : Baccarat, Vingt- et-un, Lansquenet, Trente-Qua- rante. Elles ne peuvent donner lieu à aucune erreur dans la composition du point ; les GRECS n’en veulent pas, parce que, disent-ils, avec ces chiffres on ne peut TRAVAIL LER. — Travailler, on sait ce que cela veut dire. Avec ces cartes nouvelles, on a inventé des jeux nouveaux où toute filouterie est impraticable. Ces jeux offrent la plus complète sécurité à ceux qui veulent bien prendre le jeu comme distraction, mais qui ne veulent pas être volés. A Paris, chez JUQUIN, l'ue de Lancry, 32, aux Sables, chez MA YEUX, rue du Centre, 3, et chez Ve FOUCHER, rue de l’Hùtel-de- Ville. JEU NOUVEAU CARTES NOUVELLES FILOUTERIE IMPOSSIBLE La fi S;ï ue-Ohi lires Cejeu,qui est une imitation du Trente-Quarante, se joue avec les cartes à numéros,brevetées S.G.D.G. qui ne sont que des chiffres. La Banque-Chiffres est clairement expliquée dans une courte notice. En vente, la Notice et ses Cartes : A Paris, J uqüin, rue de Lanery, 32. — Aux Sables, M ayeux, rue du Centre. — Veuve F oucher, rue' de PPIôtel-de-Ville. PLACE DU MARCHE AU ROIS G. BÀMDEAU V IIST S E T L I Q U E U B S Vins fins et ordinaires En fûts et en bouteilles PtUERISONDESDENTS MALADES Maiirion et Luis Médecins-dentist.es, boulevard des Italiens, 25, Paris. Dents, dentiers perfectionnés, soins généraux de la bouche. Aux Sables - d’Olonne maison MARTIN, place de l’Eglise, 2, jusqu’au 15 septembre. Rue de l’Eglise, en face la rue qui descend de la place Bellevue Riaison SSeatidon SSLSc ffiu trc q u in à Nantes C ra i.d clioix. pour m o d e s, ('h ajietin x de b a i n s d« m e r, r u lia n s , fle u rs et i b à l e s d e Saine. Leçon» particulières EFrs»«iç»is, L a t i n , tàrec.iV IatlIié- sn » e i
Page 1 and 2: ABONNEMENTS Payables d'avance centi
Page 3 and 4: Les courses seront régies par l’
Page 5 and 6: ABONNEMENTS Payables d'avance lO ce
Page 7 and 8: 2e COURSE. — AU GALOP. Prix de la
Page 9 and 10: ABONNEMENTS Payable s davànce X O
Page 11 and 12: d’elle. La lettre qui nantissait
Page 13 and 14: ABONNEMENTS Payables d'àv'ance Un
Page 15 and 16: M. Louis Jarry, propriétaire à St
Page 17 and 18: 1 O oentim ot BUREAUX . ! /ibrAii A
Page 19 and 20: 2,000 fr. 3 kil ; do 3,000 fr. et a
Page 21 and 22: ABONNEMENTS Payables d'avànce Un m
Page 23 and 24: né à la peine de mort pour avoir
Page 25 and 26: ABONNEMENTS Payables d'avance Î O
Page 27 and 28: ..............LEN0S D ÆMILI.......
Page 29: * ABONNEMENTS Payables d'svince Un
Page 33 and 34: ABONNEMENTS Payables davàace Un mo
Page 35 and 36: THEATRE DU CASINO Direction de M. J
Page 37 and 38: ABONNEMENTS Payable, s Æàvànce 1
Page 39 and 40: tout ce que les bains de mer n’on
Page 41 and 42: ABONNEMENTS Payables Æavànce 10 c
Page 43 and 44: ÉTRANGERS ARRIVÉS AUX SABLES 8e L
Page 45 and 46: ABONNEMENTS Payables d'àvmce Un mo
Page 47 and 48: ciété des jolies, spirituelles et
Page 49 and 50: ABONNEMENTS Payable s d&Y&nce Un mo
Page 51 and 52: FAITS DIVERS * u n s u ic i d e o r
Page 53 and 54: lia èdlfflÆ?Wililil ÎO centunesj
Page 55 and 56: Etat-civil des Sables-d’Olonne Du
Page 57 and 58: y .10 centimes le numéro ABONNEMEN
Page 59 and 60: ’ Dans la province de Dalarne, en
Page 61 and 62: ABONNEMENTS Payables d'av'ançe Un
Page 63 and 64: FAITS DIVERS Un drame mystérieux o
Page 65 and 66: ^ | 1 0 c e n t i m e s l e n u m
Page 67 and 68: aux préjugés nobiliaires de l’
Page 69 and 70: ABONNEMENTS Payables d'a.v'ance 110
Page 71 and 72: M. Fanni, propriétaire au Mans, à
Page 73 and 74: ABONNEMENTS Payables Æàvànce Un
Page 75 and 76: THEATRE DU CASINO Médecins-dentist
Page 77 and 78: A B O N N E M E N T S Payables d'av
Page 79 and 80: ÉTRANGERS ARRIVÉS AUX SABLES 17e
Page 81 and 82:
. / f l O centimes l e n u m é r o
Page 83 and 84:
. auront eu les derniers numéros d
Page 85 and 86:
ABONNEMENTS ■Payables d'àvànce
Page 87 and 88:
Elle se tenait toujours debout, mun
Page 89 and 90:
ABONNEMENTS Payables iav&nce Un moi
Page 91 and 92:
Dans chaque course, trois chevaux p
Page 93 and 94:
ABONNEMENTS Payables Ækvsnee Un mo
Page 95 and 96:
été baptisé Français par ses il
Page 97 and 98:
ABONNEMEJWS Bntôles â&vïiiçe Un
Page 99 and 100:
foëne ou leu < ;er les reins avec
Page 101 and 102:
ABONNEMENTS Payables Æa.van ce Jn
Page 103 and 104:
voulurent se reii rr. ils fermèren
Page 105 and 106:
ABONNEMENTS P ayables tLa-m ce Un m
Page 107 and 108:
ve,a déjà reçu douze canons du m
Page 109 and 110:
ABONNEMENTS Payables devance Vu moi
Page 111 and 112:
FAITS DIVERS * UNE FEMME ENRAGÉE.
show all

P L A G E - Les Sables d'Olonne

Create successful ePaper yourself

Delete template?

Save as template?