P L A G E - Les Sables d'Olonne

More documents

Recommendations

Info

que manoir, toi qui jadis dominais si fièrement sur le riant val de la Vienne, tu as abrité les amours de Charles VII et e'es dans tes murs qu'est venue la pueelle d’Orléa.is pour marcher contre l’envahisseur étranger. Une inscription que la municipalité de Chinon a eu le bon esprit de faire placer, indique la chambre où eut lieu l’entrevne entre Jeanne d’Arc et Charles VII. Des fouilles récentes viennent de mettre à découvert les restes de cette salle, démolie au XVIIe siècle par ordre du duc de Richelieu. Les anciennes cours du château ont été converties en un charmant jardin anglais, et les vieilles tours,semblant s’élancer de ce fond verdoyant, font le plus pit’ ores- que effet. Du plateau de ce jardin, l’œil se repose merveilleusement sur le panorama de la Vienne. Au pied de l’observateur, à travers la prairie, se déroule comme un long serpent argentin la rivière de la Vienne ; sur les hauteurs, à l'horizon, dans les lointains du ton le plus rigoureux se détachent d’antiques manoirs et des clochers avec cimes élancées. R a b e la is Un nom que rappelle inévitablement la ville de Chinon, c’est celui de Rabelais, de l’immortel et satyrique auteur de Gargantua et de Pantagruel. Rabelais naquit à Chinon vers la fin du xve siècle dans la rue de la Lamproie. On montre encore aujourd’hui la maison qu’occupait son père ; mais l’auberge de la Lamproie a été presque complètement transformé. Le Chinonais est un pays où l’on aimait beaucoup jadis où l’on aime encore un peu aujourd’hui, il faut bien le dire, la vie grosse et les festins homériques, on se figure alors volontiers que Rabelais enfant, ayant en germe celte jovialité qu’il immortalisa, assistant aux joyeux festins de l’auberge de la Lamproie qui frappèrent sa jeune imagination, dut puiser dans ce pays les penchants de son exhubérante nature. Outre la maison de Rabelais, on peut encore voir eomme souvenir l’entrée des Caves peintes, souterrains ou l’auteur de Pantagruel place dans san roman le temple de la dive bouteille. Le plus beau souvenir Rabelaisien que les Chinonais ont à offrir aux étrangers c’est un magnifique portrait peint par Eugène Delacroix, portrait exposé dans la salle de l’hôtel de ville. Si ce n’est pas ane œuvre contemporaine de Rabelais, le peintre s’est vivement inspiré de son sujet. Il est impossible de mieux se représenter la franche et spirituelle figure et le sourire malin du grand satyrique. Le festival Arrivons maintenant au but principal de notre voyage et parlons du festival donné par la musique municipale de Chinon avec le concours des Sociétés musicales de Thouars et de Loudun. Dès le matin les vieux canons du château annoncèrent aux échos d’alentours que Chinon était en liesse. A D heures, à l’arrivée du train de Bres- suires, la municipalité et le conseil vinrent recevoir à la gare leurs invités ; puis on se dirigea au château où fut servi le vin d'honneur. C’est là, n’est-ce pas, lecteurs, un début vraiment louable et toutefois digne de cet excellent pays de cocagne et du bon vivre. Aussi en goûtant ce délicieux nectar, écrions-nous avec Maistre françois Rabelais : « ô lar.ryma christi, c’est bien de » Chinon ! C’est vin breton ! oh, le gen- » til vin ! Par mon âme ce n’est que vm » de taffetas. » Après la répétition d’ensemble vint nécessairement le déjeûner offert aux musiques de Thouars et de Loudun par la municipalité de Chinon dans la salle du théâtre élégamment décorée, déjeûner dans lequel la plus franche cordialité ne cessa de s’allier aux joyeusetés Rabelaisiennes qui caractérisent les chinonais. Au dessert M. Martin, doyen d’âge, du conseil présidant en cette qualité la réunion en l’absence dumaire et des adjoints, adressa aux invités les parotes suivantes : « Messieurs, « Je ne m’attendais pas à l’honneur de présidée cette petite fête de famille, je le dois à un privilège que personne n’enyie je le suppose : je suis le doyen d’âge. « Cet honneur revenait de droit à l’honorable maire de la ville, M. Faucon, que son état de santé retient chez lui. « Je crois être l’interprète des sentiments de tous en exprimant ici les regrets que nous cause son absence. « Maintenant, Messieurs, au nom de la municipalité de Chinon, que je représente, au nom de la commisssion de cette fête, dont j’ai l’honneur de faire partie, qu’il me soit permis d’adresser à MM. les musiciens de Thouars et de Loudun nos sincères rernercîments pour l’empressement qu’ils ont mis à répondre à l’invitation qui leur a été faite par leurs confrères de Cbinon, de venir prêter leur bienveillant concours à cette fêle dont le but est l’inauguration delà bannière offerte à la musique municipale de cette viile en récompense des prix qu’elle a obtenus l’an dernier au concours des Sables. * L’initiative de cette récompense est due à la bonne pensée de quelques dames de Chinon. Je saisis cette occasion de leur en adresser ici tous nos rernercîments et notre reconnaissance. « J ’espère, Messieurs, que cette joyeuse et charmante réunion ne sera pas la dernière et qu’à l’avenir plus d’une occasion se présentera où les musiques de Thouars, de Loudun et de Chinon viendront resserrer les liens qui les unissent déjà si étroitement. « Je bois avec bonheur aux musiques de Thouars, de Loudun et de Chinon. » De nombreux applaudissements accueillent cette franche et cordiale allocution. M. Rathier, sous-préfet de Chinon, adressa aux invités les paroles suivantes : « Messieurs, « Je tiens à exprimer à Messieurs les « organisateurs de cette joyeuse et utile « fête tous mes remerciements pour l’hon- « neur qu’ils m’ont fait en m’invitant à ce « banquet, auquel j ’ai été heureux d’as- « sister. « Vous exercez, Messieurs, avec autant « de talent que de succès un art qui « n’est pas purement d’agrément, mais « qui a son utilité bien réelle. La musi- « que offre aux populations, pour les « jours où les travaux sont suspendus, « une distraction simple et noble tout en- « semble ; elle calme, dans une certaine « mesure, à l’intérieur du foyer domesti- « que les ennuis et les soucis dont la vie « est fatalement semée ; elle entretient « chez les hommes, rassemblés autour du « drapeau national, un enthousiasme bien « nécessaire quand il s’agit de voler à la « défense de la patrie. (Nombreux applau- « dissements.) LA PLAGE « Enfin on ne contestera pas qu’elle « élève l’âme, qu’elle lui donne des ailes « jusqu’à ces régions où les sentiments « doivent être purs. Et c’est pourquoi « tous les peuples ont toujours associé la « musique aux cérémonies religieuses, au « culte que nous devons à la divinité. « Continuez donc à progresser dans « l’art musical, qui n’est pas fertile, « comme vous voyez. Les concours, les « réunions que vous organisez d’une ville « à l'autre sous la direction intelligente » de vos chefs, peuvent contribuer dans « une large mesure à ce perfectionne- « ment. Et je ne saurais trop louer, à cette « occasion, le zèle des honorables magis- « trats et fonctionnaires de cette ville qui « consacrent les loisirs dont ils peuvent « disposer à composer des morceaux d’en- « semble d’une mélodie si douce et si « agréable à entendre, et destinée à être « exécutés par les orchestres municipaux. « Le culte des beaux-arts que vous « professez, messieurs, entretient et établit « des liens d’amitié entre les hommes : « ils donnent naissance dans les concours, « dans les réunions de corporations musi- « cales, à une .émulation qui n’est pas de « la rivalité, mais bien de la fraternité. < (Applaudissements■ frénétiques.) » C’est l’exemple que nous donnent en » ce moment, dans cette enceinte,les trois » sociétés musicales réunies de Thouars, » de Loudun et de Chinon. » Que ces deux premières veuillent bien » garder précieusement le souvenir de la » franche et bonne hospitalité qu’elles » reçoivent. Nous les remercions du con- » cours si bienveillant et si empressé » qu’elles apportent à cette fête. » Je porte un toast à leur prospérité » ainsi qu’à celle de la société musicale » de cette ville où j ’ai l’honneur d’exer- » cer mes fonctions. » Toutes les mains se tendirent pour ser- ser dans une même étreinte celles de M. le sous-préfet et le remercier de ces bonnes paroles qui ont produit la plus chaleureuse et la plus sympathique impression sur toute l’assistance. M. Charpentier, président de la Société musicale de Loudun se leva ensuite. En quelques mots il exprima à l’Assemblée » ses regrets que le chef de la municipa- » lité de Loudun retenu par des intérêts » locaux n’ait pu se rendre à l’aimable » invitation de la municipalité de Chinon. » Il assura que cette réunion ne pourrait » que ressérer les liens de bonne amitié » qui existaient déjà entre Chinon et Lou- » dun. M. Proux, président de la Société musicale de Thouars, prit ensuite la parole. « Il exprima au nom de M. le maire de » Thouars et de la ville tout entière, ses » sincères remerciements pour l’accueil » fait à la musique municipale de cette » ville. » M. Laurent, chef de la musique de Chinon, remercia ses collègues de Thouars et de Loudun. « Je regrette, dit-il, qu’une » note triste vienne se faire entendre au » sein de cette réunion, car, au milieu de » la joie de nous retrouver ensemble, » nous ne pouvons que nous associer au » coup cruel qui vient de frapper notre » cher confrère Hermann, l’honorable chef » de la musique de Thouars. Chers col- » lègues, a-t-il ajouté, groupez-vous donc » autour de lui, afin que, s’il ne puisse » plus encore dire : mon enfant, il ait » du moins la consolation de dire : mes » enfants !. M. Duboz, membre de la commission d’organisation de la fête clôtura ces joyeuses agapes par quelques paroles toutes Rabelaisiennes : « M. Rathier, notre excellent sous-préfet, « et M. Martin l’honorable doyen du con- « seil municipal vous ont dit combien la « ville était heureuse de remercier de
M. Fanni, propriétaire au Mans, à l’hôtel de l’Océan. Mmes et M. Chauveau, propriétaire à Tours, chez M. Soize, rue de la Patrie. Mmes et M. André Grandmaison, propriétaires à Tours, chez M. Soize, rue de la Patrie. Mme et M. Carré, propriétaires à Angers, chez Mme Soulard, rue du Thabor. Mlle Janneau, propriétaire à Angers, chez Mme S°ulai’d, rue du Thabor. M. Tencé, Théodore, employé du télégraphe à Tours, chez Mlle Boulanger, rue du Palais. M. Poisson, à Tours, ehez Mlle Boulanger, rue du Palais. Mme et MM. Dussaud, propriétaires à Segré, chez Mme veuve Buteau, rue du Thabor. Mme Brochet, propriétaire à Angers, chez Mme veuve Buteau, rue du Thabor. MmeetM. Gireau, propriétaires à Neuville, chez M. Chauffeteau, rue des Halles. Mmes et M. Turpeau, commerçants à Uroire, chez M. C h a u ffe te a u x , rue des Halles. Mme et M. Millireau, propriétaires à St-Amand de Puissay, chez M. Loizeau, coi - leur, sur le Remblai. Mme la comtesse B. de Rougé, et ses enfants, propriétaires, à l’hôtel Dupuy. Mme Gruet de Braqueneourt et sa famille, propriétaire à Paris, à l’hôtel Dupuy. Mme Vabouin, propriétaire à Bonneval, à l’hôtel Dupuy. Mme et M. Boué, propriétaires à St-Nicolas de Bourgueil, au Casino. M. Jamet, propriétaire à St-Nicolas de Bourgueil, au Casino. M. Langlois, propriétaire à Cherbourg, au Casino. Mme de Berger on, rentière à Versailles, au Casino, M. Daule, négociant à Orléans, an Casino. MM. Robin, filateurs à Rouen, au Casiuo. M. C. Blum, propriétaire àBar-le-Duc, au Casino. Mme Chazelle, propriétaire à Lyon, au Casino. Mme et M. Fonteneau, propriétaires à Nantes, au Casino. Mlle Laurier, propriétaire à Nantes, au Casino. M. Vincent, propriétaire à Paris, au Casino. M. Bodin, propriétaire à Paris, au Casino. M. Sanéneau, propriétaire à Paris, au Casino. Mme Ratelot, propriétaire à Paris, au Casino. Mme veuve Gréau, propriétaire àViabon, chez Mme veuve Guitton, sur le Remblai. Mlle Gousset, propriétaire à Gaulr St-Denis, chez Mme veuve Guitton, sur le Reniblai. Mmes et MM. Le Masne, propriétaires à N a n te s , c h e z Mlle Carmagnac, rue des Halles. Mme Vannier et sa nièce, propriétaires à Laval, à l'Hospice. Mme Blondeau, propriétaire à Laval, à l ’Hospice. Mme Poujod, propriétaire à Issoudun, à l’Hospice. M. l’abbé Toubard, propriétaire à Issoudun, à l’Hospice. M. l’abbé Paul Servant, propriétaire à Brézé, à l’Hospice. Mme et M. Rucheau fils, propriétaires à Angoulême, à l’Hospice. M. l’abbé Brandeau, à Montmorillon, à l’Hospice. M. Vabbé Moynat, à Le Dorât, à l’Aospiee. M. Delaunay, propriétaire à Tours, hôtel de l’Etoile. M. Salau, charpentier à Nantes, hôtel de l’Etoile. M. Mujen, Samuel, propriétaire à Légé, hôtel de l’Etoile. Mmes et M. de St-Vis, avoué à la cour d’appel à Poitiers, chez Mme Saize, rue du Palais. M. Chevallereau, conseiller général à Vlareuil -sur-Le-Lay, chez M. Fillon, rue de la Tour. Mmes et M. Musnier, pharmacien à Blois, chez Mme veuve Didelot, rue du Palais. Mmes et M. Robin-Méchin, propriétaires à Montreuil, chez M. Moreau, rue Bisson. Mlle et Mme de Hillerin, propriétaires à Luzon, ehez Mlle Françoise, rue del’Hôtel- de-Ville. M. His, Hippolyte, propriétaire à Cholet, chez Mme His, rue Napoléon. M. Lucien His, étudiant à Angers, chez Mme His, rue Napoléon. M. Gaston His, négociant à Saintes, chez M. His, rue Napoléon. Mme et M. Arnaud et deux enfants, ingénieur des ponts et chaussées à Châteauroux, maison Sigogne, sur le Remblai. Mme et M. Hanneton, propriétaire à St-Denis, chez Mme Penard, rue Nationale. Mmes et MM. Trougnou, à Tours, chez Mme Guillet, sur le Remblai. Mme et MM. Creuzé, propriétaires à Châtellerault, chez Mme Guillet, sur le Rem blai. Mlle Bettingre, institutrice à Ohâtellerault, chez Mme Guillet, sur le Remblai. M. de Fontenelle, propriétaire à Paris, chez Mme Guillet, sur le Remblai. M. Blaimpain, propriétaire à Sigouraay, hôtel du Cheval-Blanc. M. de Goué, propriétaire au Givre, hôtel du Cheval-Blanc. M. Royer, négociant à Nantes, hôtel du Cheval-Blanc. M. Frantzer, négociant à Angers, hôtel du Cheval-Blanc. Mme et M. Chanfreau, propriétaires à Paris, hôtel de la Plage. Mme Chanfreau, propriétaire à Thouars, hôtel de la Plage. M. Babin, docteur à Fontenay, au Casino. M. Duré, propriétaire à La Roche sur-Yon, au Casino. Mme et M. Hennessy, négociant à Cognac, au Casino. Mme et M. Creuzé, inspecteur des contributions directes à La Roche, au Casino. Mme de Courcj, propriétaire à Pouzauges, au Casino. M. Ferrean, propriétaire à Ste-Hermine, au Casino. Mme et MM. Bureau du Colombie, propriétaires à Montjean, chez M. Vidy, rue du Palais: M. l’abbé Dedouvres, propriétaire à Montjean, chez M. Vidy, rue du Palais. M. Boisson, René, sabotier, à St-Sébastien, chez Mme veuve Morgand, rue des Jardins. M. Ragnier, François, négociant à St-Sébastien, chez Mme veuve Morgand, rue des Jardins. Mlle et Mme B o n f ils ,propriétaires à Niort, chez Mme Ardot, rue du Palais. Mlle Godin, propriétaire à Cognac, chez Mme Ardot,. rue du Palais. Mlle Léontine Bourguet, propriétaire à Cognac, chez Mme Ardot, rue du Palais. Mme et MM. Rulland, pharmacien à Chauvigny, chez M. Grousseau, rue du Grand- Canton. M.Berland, Henri, étudiant à Chauvigny, chexM. Grousseau, ruedu Grand-Canton. Mlles, Mme et M. Arnould, inspecteur des domines à La Rochelle, chez Mlle Angélique Jutas, rue Nationale. Mme et MM. Jecquet-Tuffière, juge de paix à Vouvray, chez Mme Grondin, rue du Pistolet, n- 6. LA PLAGE THÉÂTRE DU CASINO Mardi 8 août 1876. Première représentation de : Les D om estiques Comédie en trois actes, mêlée de chant, par MM. Eugène GRANGE et Raymond DESLANDES. Durosel, Joseph, François, Oscar, Baptiste, Victor, Virginie Durosel, Julie, Mélanie, Cécile, Rosalie, Adèle, DISTRIBUTION : MM. Kuntz. Victor. Livry. Brussel. Masson. Louis Piot. Mme Bovery. Mlle J. Massue. Mme Victor. Mlles Mathilde Farnat. Berlhe. Delphine. ROSITA (valse), par Julien Exécutée par l’orchestre. Ordre: 1° Rosita; 2° Les Domestiques. Bureaux, à 8 heures. Bideau, à 8 h. 1/2. AVIS : L’administration a l’honneur d’informer le public qu’elle vient de traiter pour la fin de la saison avec M. Georges Faure, jeune premier du théâtre du Vaudeville de Paris. Mercredi 9 août 1876. Première représentation de : LA JOIE DE LÀ MAISON Comédie en trois actes du théâtre du Vaudeville, par MM. Anicet BOURGEOIS et Ad. DECOURCELLE. DISTRIBUTION : Hector Durosnel, Georges de Silly, Oscar de Beaulieu, André, Pierre, Mme de Barmont, Henriette de Sillv, Cécile, Caroline, Pélagie, MM. Mergy. Livry. G. Faure. Brussel. Louis. Mmes Bovery. Meyer. Mlle Monnet. Mme Victor. Mlle Berthe. LA JOLIE FLAMANDE (valse) Beaucourt Exécutée par l’orchestre. Ordre : 1° La Jolie Flamande ; 2° La Joie de la maison. Bureaux, à 8 heures. Rideau à 8 h. 1/2. THEATRE DU CHALET Mardi 8 août 1876 a 8 h. Ij2. APRÈS LE BAL Comédie en un acte. d is t r i b u t i o n : Caudebec M. Pichet. Henriette Mme E. Dorval. On terminera par: La consigne est de ronfler Vaudeville en un acte d is t r ib u t io n : Landremol MM. Charley. Tavernier. Préville. Irma Mmes Dallou Jeannette M. Dorvai. Mercredi 9 août 1876 à 8 h. ljS. POMME D’ API Opérette an un acte d is t r ib u t io n : Catherine Mmes E. Dorval. Gustave Lepailleur. Rabassens . M. Pichet. On commencera par : Pas de fiimée sans feu DISTRIBUTION : Timéléon M. Préville. Suzanne Mmes Margarita. Rose Dallou. : *------------- Guérison des dents malades Maurion(ÉLuis Médecins-dentistes, boulevard des Italiens, 25, Paris. Dents, dentiers perfectionnés, soins généraux de la bouche. Aux Sables - d’Olonne, maison MARTIN, place de l’Eglise, 2, jusqu’au 15 septembre. De anicieis militaire, marié, sans enfants, demande une place de garde p articu lier concierge. S’adresser au bureau du journal. Dernières nouvelles C’est un fait acquis à la science, que toutes les maladies de poitrine sont guérie sables par l’emploi de la Farine mexicaine, del doctor Benito del Rio de Mexico. Cet aliment est non-seulement le plus sûr, mais encore le plus agréable remède pour guérir les maladies de poitrine, bronchites, catarrhes, maladies du larynx, phthisie pulmonaire tuberculeuse, maladies consomptives, vieux rhumes, anémie et l’épuisement prématuré. S’emploie pour la nourriture des vieillards, des convalescents et des jeunes enfants. Dix ans de succès et 400 mille malades guéris, le plus souvent, alors qu’on les croyait perdus et sans ressources, prouvent qu’on ne doit jamais désespérer. La Farine mexicaine se trouve aux Sables, chez M. MOURAILLEAU, négociant. Aux mêmes dépôts : Café Barle- rin, 2 médailles d’honneur, et Collier Wathia, préservatif du croup et de la coqueluche. Les imprimeurs gérants : RIBAUDEAU ET CHEVALLIER.— ToURS. Annonces diverses M'ACHETEZ PAS DE MACHINES A COUDRE sans consulter LES AVANTAGES q u ’offre FTND ! ■- >--■ 46, r a du Sac, 46 LA CÉLÈBRE SILENCIEUSE 1 7 5 " complétée de 1’écrin des 40 guides et accessoires. S s V Machine à main et à navette s Ü y IL L pour familles et industries.......... 3 YP9 !FQ Q Machine américaine à point f t A f r L i-nlf il LOO retors, qualité garantie......... HOWEâ BERTHïER Ï Ï i ï S Z V Z * * 2 5 : E nvoi franco Catalogue et Echantillons. Seule Mon D. B A C L E , 46, rue du Bac, 46 CARTES A NUMEROS. Brevetées S. G. D. G. Ces Cartes à jouer ne sont que des chiffres. Par leur simplicité elles sont préférables aux cartes ordinaires pour la plupart des jeux de Banque, tels que : Baccarat, Vingt- et-un, Lansquenet, Trente-Qua- rante. Elles ne peuvent donner lieu à aucune erreur dans la composition du point ; les GRECS n’en veulent pas, parce que, disent-ils, avec ces chiffres on ne peut TRAVAIL LER. — Travailler, on sait ce que cela veut dire. Avec ces cartes nouvelles, on a inventé des jeux nouveaux où toute filouterie est impraticable. Ces jeux offrent la plus complète sécurité à ceux qui veulent bien prendre le jeu comme distraction, mais qui ne veulent pas être volés. A Paris, chez JUQUIN, rue de Lancry, 32, aux Sables, chez MAYEUX, rue du Centre, 3, et chez Ve FOUCHER, rue de l’Hôtel-de- Ville. JEU NOUVEAU CARTES NOUVELLES FILOUTERIE IMPOSSIBLE L a B a n q u e - C h i f f r e s Ce jeu, qui est une imitation du Trente-Quarante, se joue avec les cartes ànuméros,breveléesS.G.D.G. qui ne sont que des chiffres. La Banque-Chiffres est clairement expliquée dans une courte notice. En vente, la Notice et ses Cartes s A Paris, J u quin, rue de Lanery, 32. — Aux Sables, M ay eu x, rue du Centre. — Veuve F oucher, rue de l’Hôtel-de-Ville. PLACE DU MARCHÉ AU BOIS G. BAKADEAU VINS EX LIQUEURS Vins fins et ordinaires En fûts et en bouteilles Trente quarante et roulette Figures mathématiques de probabilités Franco 1 f. 25. — Timbres-postes JUQUIN, rue de Lancry, 32,PARIS.
Page 1 and 2:
ABONNEMENTS Payables d'avance centi
Page 3 and 4:
Les courses seront régies par l’
Page 5 and 6:
ABONNEMENTS Payables d'avance lO ce
Page 7 and 8:
2e COURSE. — AU GALOP. Prix de la
Page 9 and 10:
ABONNEMENTS Payable s davànce X O
Page 11 and 12:
d’elle. La lettre qui nantissait
Page 13 and 14:
ABONNEMENTS Payables d'àv'ance Un
Page 15 and 16:
M. Louis Jarry, propriétaire à St
Page 17 and 18:
1 O oentim ot BUREAUX . ! /ibrAii A
Page 19 and 20: 2,000 fr. 3 kil ; do 3,000 fr. et a
Page 21 and 22: ABONNEMENTS Payables d'avànce Un m
Page 23 and 24: né à la peine de mort pour avoir
Page 25 and 26: ABONNEMENTS Payables d'avance Î O
Page 27 and 28: ..............LEN0S D ÆMILI.......
Page 29 and 30: * ABONNEMENTS Payables d'svince Un
Page 31 and 32: ÉTRANGERS ARRIVÉS AUX SABLES 5“
Page 33 and 34: ABONNEMENTS Payables davàace Un mo
Page 35 and 36: THEATRE DU CASINO Direction de M. J
Page 37 and 38: ABONNEMENTS Payable, s Æàvànce 1
Page 39 and 40: tout ce que les bains de mer n’on
Page 41 and 42: ABONNEMENTS Payables Æavànce 10 c
Page 43 and 44: ÉTRANGERS ARRIVÉS AUX SABLES 8e L
Page 45 and 46: ABONNEMENTS Payables d'àvmce Un mo
Page 47 and 48: ciété des jolies, spirituelles et
Page 49 and 50: ABONNEMENTS Payable s d&Y&nce Un mo
Page 51 and 52: FAITS DIVERS * u n s u ic i d e o r
Page 53 and 54: lia èdlfflÆ?Wililil ÎO centunesj
Page 55 and 56: Etat-civil des Sables-d’Olonne Du
Page 57 and 58: y .10 centimes le numéro ABONNEMEN
Page 59 and 60: ’ Dans la province de Dalarne, en
Page 61 and 62: ABONNEMENTS Payables d'av'ançe Un
Page 63 and 64: FAITS DIVERS Un drame mystérieux o
Page 65 and 66: ^ | 1 0 c e n t i m e s l e n u m
Page 67 and 68: aux préjugés nobiliaires de l’
Page 69: ABONNEMENTS Payables d'a.v'ance 110
Page 73 and 74: ABONNEMENTS Payables Æàvànce Un
Page 75 and 76: THEATRE DU CASINO Médecins-dentist
Page 77 and 78: A B O N N E M E N T S Payables d'av
Page 79 and 80: ÉTRANGERS ARRIVÉS AUX SABLES 17e
Page 81 and 82: . / f l O centimes l e n u m é r o
Page 83 and 84: . auront eu les derniers numéros d
Page 85 and 86: ABONNEMENTS ■Payables d'àvànce
Page 87 and 88: Elle se tenait toujours debout, mun
Page 89 and 90: ABONNEMENTS Payables iav&nce Un moi
Page 91 and 92: Dans chaque course, trois chevaux p
Page 93 and 94: ABONNEMENTS Payables Ækvsnee Un mo
Page 95 and 96: été baptisé Français par ses il
Page 97 and 98: ABONNEMEJWS Bntôles â&vïiiçe Un
Page 99 and 100: foëne ou leu < ;er les reins avec
Page 101 and 102: ABONNEMENTS Payables Æa.van ce Jn
Page 103 and 104: voulurent se reii rr. ils fermèren
Page 105 and 106: ABONNEMENTS P ayables tLa-m ce Un m
Page 107 and 108: ve,a déjà reçu douze canons du m
Page 109 and 110: ABONNEMENTS Payables devance Vu moi
Page 111 and 112: FAITS DIVERS * UNE FEMME ENRAGÉE.
show all

P L A G E - Les Sables d'Olonne

Create successful ePaper yourself

Delete template?

Save as template?