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drôle ! Dans ce royaume le gouvernement de la Sublime-Porte y est tout à fait différent de ce qu’il est en France. Chez nous, celui qui tient le sceptre de i’autocratie s’appelle modestement Pipelet ; pour les Turcs c’est le sultan. Là bas, polygame, il est pourvu d’un sérail ; ici, chaste en ses mœurs, il n’a heureusement pour la tranquillité de son royaume que sa femelle en fait de compagne. En France, il tire le cordon à ses sujets, en Turquie ce sont ceux-ci qui lui font cet honneur. Un croquis de Cham montre clairement cette dernière différence. Le nouveau sultan vient de prendre possession du trône de son prédécesseur et dit à l’huisier introducteur de lui ouvrir la porte. Attendez, altesse, dit respectueusement ce dernier ea faisant un nœud coulant au cordon tra ditionnel, attendez que je prépare votre sortie. Avouons qu’avec une telle perspective un sultan n’a pas de quoi se réjouir de son avèneme nt. On s’explique alors la grave nouvelle donnée par toutes les correspondances que * Mourad V paraît » complètement démoralisé et que la cé- » rémonie de l’investiture serait remise » par suite de l’état incertain de la santé » du sultan, » Gageons que s’il était à même de choisir aujourd’hui,il préférerait régner sur la sublime porte en France. * * Restons donc en France et lisons la lettre suivante que nous recevons à l’instant: Rivarennes-les-Poires-tapées. Mon cher Oscar, « Que tu es heureux de pouvoir t’en donner à cœur-joie aux Sables, et comme cela doit-être renversant de pêcher dans une immense étendue d’eau, où l’on trouve du poisson à foison. « Là, pas de garde-pêche, pas d’hameçons prohibés. < Ici, pour mer sans bornes, la petite rivière de l’Indre, où s’ébattent tristement quelques rares ablettes; avec cela, sans cesse sur les épaules un féroce cerbère, protecteur de la pisciculture, qui, la toise à la main, est sans cesse prêt à dresser procès-verbal. « Décidément, la liberté n’est pas à Ri- varennes-les-Poires-tapées, et je vole vers la plage des Sables. « Tout à toi, « Blandureau. » Viens, mon ami, viens nous trouver. Tu pourras à ton aise taquiner le goujon et soutenir ta réputation de pêcheur hors ligne O scar du R em blai. F E U I L L E T O N UNE ROUSSK(1) PAR 8 ANDRÉ TREILLE. La Buisse (près Lhommaizé). Mon cher ami, Je suis fou!... ce qui ne doit pas t’éton- ner ! Je t’écris afin de mettre un peu d’ordre dans mes idées, pour arriver à quelque chose de raisonnable ; mais je ne pense point y parvenir. Je ne te demande pas non plus de conseils, bien que je te sache grand et bon conseilleur. Je suis fou,’ te dis-je, fou de la pire espèce ; je le sens bien au choc tumultueux de mes pensées, aux battements irréguliers de mon cœur dans lequel je ne sait plus lire. (1) Reproduction interdit*. CRHONIQUE LOCALE Nous sommes heureux d’annoncer à nos lecteurs qu’un grand festival s'organise pour le dimanche 30 juillet. De nombreuses fanfares et sociétés philharmoniques doivent y prendre part, parmi lesquelles nous citerons les musiques municipales d’Arnboise, de Tours, de Saumur, de Poitiers, de Nantes, de Thouars, de Bressuire, de la Roche-sur-Yon, deFon- tenay, etc... Nous ne pouvons que féliciter les organisateurs de cette fête musicale et leur souhaiter le même succès que l’an dernier. Mardi dernier, vers six heures du soir, Berthommé, Jean, couvreur, travaillant pour le compte du sieur Lachaise, entrepreneur, était occupé à placer des tuiles sur le toit 3e la maison occupée par le sieur Biroteau, aubergiste, quand il fut saisi d’un étourdissement qui lui fit perdre l’équilibre, et il tomba sur le pavé d’une hauteur de huit mètres environ. Dans sa chute, il s’est brisé la colonne vertébrale. On l’a de suite fait transporter à l’hospice, où il est mort à 7 heures du soir, Le 20 juillet, la municipalité a fait séquestrer d’urgence à l’hospice des Sables la nommée Guilloux, âgée de 25 ans, née à St-Lumiène-de-Conté (Loire Inférieure). Cette fille, atteinte de folie furieuse, causait du scandale depuis quelques jours dans la ville. THEATRE DU CASINO Dimanche 23 juillet 187G. Bureaux à 8 h. — Rideau à 8 h. 1/2. Première représentation de : LA PLAGE MADEMOISELLE DE BELLE-ISLE Comédie en 5 actes du théâtre Français, par Alexandre Dumas. Distribution Le Chevalier d’Aubigny, MM. J. Mergy. Le duc de Richelieu, Livry. Le duc d’Aumont, Kuntz. Le chevalier d’Auvray, Brulé. Chamillac, Brussel. La marquise de Prie, Mme Meyer. Mlle de Belle-Isle, Mlle Alice Farnat. Mariette, Mme Victor. 1er laquais, MM. Brussel. 2e laquais, Louis. Ouverture à grand orchestre. Ordre : 1° Ouverture ; 2° Mlle de Belle- Isle. Lundi 24 juillet 1876 Ire représentation de : p etits péchés de la GBAWSVMAMAW Comédie-vaudeville en un acte par M. Honoré Pourquoi diable suis-je venu m'enterrer ici? Pourquoi? Ma foi, je n’ose le dire; surtout à toi ; car e’est de ce jour que date ma folie. Depuis, elle n’a été qu'en grandissant. J ’y suis venu parce que je savais bien y rencontrer Blanche ; j ’y suis venu parce que là était mon amour- Toi qui connais ma vie et en sais toutes les souffrances, toi qui as porté si souvent sur mon cœur la main froide et savante du médecin, guéris-moi, cher ami, guéris- moi uae fois encore. Je suis amoureux, amoureux de deux femmes à la fois. Je suis amoureux do Blanche Vernon, malgré sa cruauté et sa froideur, à cause même de cette cruauté et de cette froideur ! Je suis amoureux de cette admirable beauté brune, de cette opulente chevelure, de cette fierté méprisante. Je veux vaincre l’indifférence ; je la vaincrai. Mais aussi, je suis amoureux d’une délicieuse et frêle enfant, qui n’est pas si jolie, mais dont l’âme est plus belle, qui est rousse, mais dont le cœur est pur. Je suis amoureux de celte grâce et de cette innocence enfantine, de cette douceur angélique, de cette beauté, de ce charme inné que je ne vois point en l’autre. Je trouve le mot précis : faut-il le dire? Distribution : Léon, Mlle J. Massue Mme Clarisse Delmas, Mme Bovery, Clarisse Delmas, Mlle Moanet . Ouverture de Guillaume-Tell.Rossini. exécutée par l’orchestre. Ire représentation de : Les deux Sourds Comédie en 1 acte par Jules Moinaux. Damoiseau, MM. Kuntz. Plaeide, Borès. Boniface, Brussel. Un garde-champêtre, Louis. Un jardinier, Eugène. Eglantine, Mlle M. Farnat. Le Tour du Monde, (Valse), 0 Métra, exécutée par l’orchestre. Ordre: 1° Ouverture de Guillaume Tell; 2° Les Petits péchés; Le Tour du Monde ; Les Deux Sourds. Prix des places, 3 francs (moitié prix pour les abonnés). ABONNEMENTS POUR LE THEATRE TARIF SPÉCIAL POUR MM. LES ABONNÉS Pour la saison, 35 fr. ; un mois, '18 fr. ‘. quinze jours, 10 fr. ; la semaine 6 fr. Les abonnements au théâtre doivent être pris pour la durée de l'abonnement aux salons. AVIS. — Tous les jours concert de 3 à 4 h. et soirée dansante. Le samedi à 8 h. ; bal à grand orchestre. Les grands bals gala avec cotillon, dirigés par M. et Mme'Paul, seront annoncés par voie d’affiches. — Un cours de danse est ouvert tous les jours au Casino, sous la direction de M. et Mme Paul. Le directeur du Casino, E. L é g u â t . On peut retenir ces places au bureau de location du Casino, de 11 h. à 4 h. THÉÂTRE DU CHALET Dimanche 23 juillet 1876 à 8 h. 1/2. Ire représentation de : LA CONSIGNE EST DE RONFLER Vaudeville en un acte. Landremol MM. Chatley. Tavernier Preville. Irma Mlle Dallou. Charlotte M. Dormi. LE ROSSIGNOLET Chanson chantée par Mme Lepailleur. Le Serment d’Horace Comédie en un acte. Dubreuil MM. Pichet. Horace Charley. Juliette Mme Margarita. Rose M. Dorval. J ’aimerais Blanche comme ma maîiresse ; j ’adorerais Jane comme ma femme. Jane !... Jane de Retzy ; c’est la fille d’un gros seigneur du pays. Elle est rousse, te l’ai-je dit; et c’est ainsi qu’elle me plût ; je ne pourrais la comprendre ni l’imaginer autrement. Rousse elle est ; Rousse je l aime. Parfois je me suis ‘demandé pourquoi les rousses, j’entends celles qui sortent du commun, sont si attachantes? Pourquoi malgré soi, on vient à elles, attiré par un aimant invincible ; elles sont si fragiles qu’on a peur de les briser en y touchant ; elles sont si douces que l’on n’ose à peine dire une malice devant elles. Celle-crestbien la meilleure fille que je connaisse et la plus remarquable aussi. De grand matin, elle part ; on ne sait où elle va. Je l’ai suivie une fois ; elle avait été porter à une femme malade de l’argent et des remèdes. — Et puis, quel esprit fin, délicat,-élevé, sans être guindé ni orgueilleux ! Elle connait ou du moins veut tout connaître. Elle sait que j ’aime la musique ; elle joue mes morceaux favoris. Elle sait que j ’aime la poésie ; elle me cause poésie. Elle sait que j ’aime à peindre ; «lie cherche, pour me les montrer, les sites les plus beaux [de ce ravissant pays. COTILLONNADE LUS RONDS A TROIS Le cavalier conducteur fait avec sa dame un tour de valse ou de polka, puis le cavalier prend deux dames et la dame deux cavaliers. Ils forment ensemble deux ronds composés de trois personnes qui tournent très vite. A un signal donné, les deux ronds s’arrêtent, le cavalier passe sous les bras des deux dames avec lesquels il vient de tourner et rejoint la sienne qui vient de tourner de son eôté avec deux cavaliers. Les deux cavaliers que la dame abandonne vont rejoindre les deux dames en face desquelles ils se trouvent et les reconduisent à leur place en valsant ou en polkant. LUS PRÉSENTATIONS Après un tour de valse, le cavalier conducteur fait asseoir sa dame sur une chaise placée au milieu du salon. Il prend ensuite deux cavaliers et les présente à sa dame qui doit choisir l’un des deux. Il fait asseoir le cavalier refusé et va p- endre deux dames pour qu’il ait a en choisir une. Le cavalier conducteur reste avec la dame refusée et la reconduit en dansant à sa place. Celte figure peut se faire à un, deux, trois et quatre couples. {A suivre.) F. Paul. Dépêches Paris, 21 juillet, 8 heures soir. Le Sénat, après les discours prononcés par MM. Bertault, Dufaure et Paris, après avoir repoussé à égalité de voix la proposition d’ajournement faite par M. Wallon, a décidé par 144 voix contre 139 qu’il ne passerait pas à la discussion des articles. (Havas.) Paris, 22 juillet, 8 h. matin. Les journaux républicains, notamment la République française, disent que le vote du Sénat est un vote de conflit et que la guerre est déelarée. Les journaux de droite disent que la question de confiance n’ayant pas été posée, aucune crise ministérielle ne sera la conséquence du vote d’hier. Le Constitutionnel ajoute que M. Waddington l’a déclaré à l’issue de la séance. Tous les ministres appartenant au Sénat, ainsi que M. Bourbeau, ancien ministre, ont voté pour le projet Wadington. MM. Laboulaye,Laverrière et Manginidu centre gauche ; MM. Wallon, Viellard- Mijeon et presque tous les bonapartistes ont voté contre. Sept sénateurs étaient absents, parmi lesquels le général Chanzy ; il y a eu six abstentions dont trois sénateurs constitutionnels et MM. Roulland et Laroneière- le-Nourv. Le Journal officiel contient un décret érigeant en ambassade la légation de France à Rome. (Havas.) Elle m’aime donc, alors ? — Mais, moi, je ne lui ai jamais dit que je l’aimais As-tu jamais remarqué qu’on aime bien mieux au milieu de l’atmosphère pur et sain de la campagne que dans l’atmosphère corrompu des villes ? L’amour est la poésie du cœur ; et l’âme s’élève bien plus haut, son essor est bien plus puissant à l’ombre parfumée des bois remplis d’arômes et de nids. Dans les villes, au contraire, tout est petit, rien n’est grand, il n’y a point d’horizon. Aussi l'âme sé replie volontairement sur elle-même et se rapetisse. Et puis, ces forêts qui commencent à bourgeonner, ces ruisseaux encaissés dont le frémissement est si doux, toute cette grande nature, enfin, pleine de chants d’oiseaux et de parfums, tout cela vous enivre, vous transporte, vous monte à la tète, vous force à aimer. {La suite au prochain n°)
ÉTRANGERS ARRIVÉS AUX SABLES 8e Liste Mme, Mlle et M. Passé, propriétaires à Angers, chez M. Morisson, place du Palais. Mme et M. Guicomettéa, propriétaires à Gruis (Suisse), chez M. Morisson, place du Palajs. Mme et M. Rouget de Gourcey à Niort, chez Mme Gouelleu, rue de la Patrie. Mme Voilant, propriétaire à Bourges, chez Mme Verdon, cours Blossac. Mme Tripault, libraire à Bourges, chez Mme Verdon, cours Blossac. M. Ganderheyme, négociant à Paris, hôtel de France. M. Château, négociant à Orléans, hôtel de France. M. Petit, négociant à Nantes, hôtel de France. M. Pitre, propriétaire à Paris, hôtel de France. M. Patault, propriétaire à Paris, hôtel de France. Mmes de la Fosse, propriétaires à Paris, hôtel de France. Mme, Mile et M. Pillât, propriétaires à Ghâtellerault, au Casino. Mme et M. de Borderie, propriétaires à Limoges, au Casino. M. Barrier, négociant à Poitiers, au Casino. M. Lamblot, propriétaire à Bordeaux, chez M. Chaul'leteau, rue des Halles. Mme et M. Rabeau, Louis, notaire à Buzançais (Indre), chez Mme Didelot, rue du Palais. M. de Vallié, propriétaire à Poitiers, chez Mme Didelot, rue du Palais. M. de Veclulez, propriétaire à Poitiers, chez M. Didelot, rue du Palais. M. Guédon, propriétaire à Chanpdeau, chez Mme Didelot, rue du Palais. Mme et M. Chapon, propriétaires à Craon, chez M. Maussion, rue du Palais. M. Etienne Roger, propriétaire à Chinon, maison Bellier, sur le Remblai. Mmes Joudouin, propriétaires à Exnais, chez Mlle Angélique Justas, rue Natio nale. Mme Chorillon, propriétaire à Exnais, chez Mlle Angélique Justas, rue Nationale. Mlle Rivasseau, propriétaire à Fontenay, chez M. Loiseau, coiffeur, sur le Rem blai. Mlles Paraisse, propriétaires à Fontenay, chez M. Loiseau, ’ coiffeur, sur le Rem blai. Mme et M. Fray, propriétaires à Nantes, chez M. Déplane, sur ie Remblai. Mme et M. Trénit, propriétaires à Luçon, chez Mme Bouhier-Fournier, rue des Ecoliers. Mlle et Mme Désamy, propriétaires à Luçon, chez Mme Bouhier-Fournier, rue des Ecoliers. Mlle Louise Audé, propriétaire à Réaumur, à l’Hospice. M. David, René, à Angers, à l’Hospice. Mlle et Mme Peyrusson, propriétaires à St-Léonard (Vienne), à l’Hospice. Mme Heugel, propriétaire à La Roche, à l’Hospice. Mme Broquin, propriétaire à Trémentines, à l’Hospice. Mlle Rouillé, Fanny, propriétaire à Poitiers, à l’Hospice. Mlles et Mme Boyet de Mativert, propriétaires à Angers, à l’Hospice. M. Pic!., artiste à Angers, chez M. Garrigues, rue du Port. Mine M ahier, propriétaire à Cliché, chez M. Girard, rue Nationale. Aille Mme et M. Moreau, propriétaires à Cliché, chez M. Girard, rue Nationale. Mme'et M. Carvol, propriétaires à Clamecy, chez Mme veuve Morineau, sur le Rem- ^M m e et MM. Morillon, propriétaires à Clamecy, chez Mme veuve Morineau, sur le ^ Mines'Chedevergne, propriétaire à Poitiers, chez M. Dantouy, cours Blossac. Mlle Marie Gigot, propriétaire à Brie, chez M. Dantony, cours Biossac. Mme Patry, propriétaire à Pas-de-Jeu, chez M. Dantony, cours Blossac. M Merceron, Henri, propriétaire à Doué, chez Mme veuve Boureau, rue du Pa lais. Mme et M. Brault, à Montbazon, hôtel du Cheval-Blanc. Mme et M. Dupuy, propriétaires à Paris, hôtel du Cheval Blanc. M. Goutte la Chapelle, propriétaire à Poitiers, hôtel du Cheval-Blanc. M du Temple, propriétaire à Loudun, hôtel du Cheval-Blanc. M Guibert, propriétaire à Chavagnes, hôtel du Cheval-Blanc. M. Canté, négociant à Luçon, hôtel du Cheval-Blanc. M. Denis, négociant à Luçon, hôtel du Cheval-Blanc. M. Caillard, négociant a Paris, hôtel dii Cheval-Blanc. m ". Rousseau, négociant à Nantes, hôtel du Cheval-Blanc. M Pelletreau, négociant à Nantes, hôtel du Cheval-Blanc. Mme et M. Marchand, propriétaires à Villebernier, chez M. Amiaud, rue du Puits- Perdu. Mme etM. de Marconnez, propriétaire à Château-Perzer, hôtel de la Plage. M le comte du Anthier, propriétaire à Château de Las, hôtel de la Plage. Mlle Constance Parisse, propriétaire à La Roche, chez M. Jervaut, ferblantier. M Métiviér, propriétaire à Dissay-sous-Courcillon, chez M. Locquin, rue des Corde- UÉM Habert, propriétaire à Chantonnay, chez M. Locquin, rue des Corderies. M Métivier, Auguste, propriétaire à St-Paterne, chez M. Locquin, rue des Cor- ^M*31B o u rg au t, Victor, propriétaire à Dissay, chez M. Locquin, rue des Corderies. M Guitton, propriétaire à Chantonnay, chez M. Locquin, rue des Corderies. M Merlet, propriétaire à Chantonnay, chez M. Locquin, rue des Corderies. Mme d’Arondel, propriétaire à Nantes, chez Mme Pépin-Jouet, rue du Palais. Mme Farez, propriétaire à Nantes, chez Mme Pépin-Jouet, rue du Palais. Mlle etM. de Faymoreau, propriétaires à Nantes, chez Mme Pépin-Jouet, rue du Pa lais. Mlle, Mme et M. D e l a c o u r , propriétaires à Saumur, chez M. Soulard, rue du Thabor. Mmes etM. Moussion, propriétaires à la Châtaigneraie, chez Mme veuve Guignar- deau, rue du Palais. Mmes etM. Lafosse , propriétaire à Niort, chez M. Perrocheau, sur le Remblai. Mlle Fesnaud, propriétaire àB ellac, chez M. Perrocheau, sur le Remblai. Mlle Grainge, propriétaire à Bellac, chezM. Perrocheau, sur le Remblai. M. Nugeyre, propriétaire à Limoges, chez Mme Basse, quai Franqueville . Mlle R u ssd el, propriétaire à Brives, chez Mme Basse, quai Franqueville. Mmes de Grand, propriétaires à Nantes, au couvent. Mmes Baron, propriétaires à Tours, au couvent. LA PLAGE Mme et M. Landais, propriétaires à Talmont, chez Mlle Brossaud, sur le Rembai. Mme Dam, à Angoulême, hôtel du Cheval-Blanc. Mme et M. Lable, négociant à La Roche, hôtel du Cheval-Blanc. M. Danglas, propriétaire à Paris, hôtel du Cheval-Blanc. M. Lavergne, négociant à St-Gilles, hôtel du Cheval-Blanc. M. Dupleix, propriétaire à Beauvoir, hôtel du Cheval-Blanc. M. Saikins, propriétaire à Boston, au Casino. M. Koussy, négociant à Lyon, au Casino. Mme etM. Morange, propriétaires à Narbonne, au Casino. Mme et M. Des Brosses, à Limoges, au Casino. M. Lecartassin, propriétaire à La Roche, au Casino. Mme etM. Castel, négociants, à La Roche, au Casino. Mme et M Morisson, propriétaires à Poitiers, hôtel de l’Etoile. M. Darost, propriétaire à Châteaubriant, hôtel de France. Mme et MM. Dupré-Carra, avoué à Fontenay, maison Gauvrit, rue des Corderies. Mile et Mme veuve Reverseau, propriétaires à Frontenay, maison Gauvrit, rue de Corderies Mme Guivy, professeur de chant et de piano à Paris, ch ez Mm e Audubon, place du Tribunal. Mlle', Mme et M. Hauwen, propriétaires à Paris, place du Tribunal. Etal-civil des Sables-d’Olonne Du 14 au 18 juillet. Naissances Marie - Gabrielle - Joséphine - Mélanie Roux. Marie-Aline-Athénaïse - Aimée Gues- neau. Publications de mariages. Théophile-Evariste-Armand Draillard, 26 ans, commis-négociant, célibataire, et Marie-Augustine Idais, 20 ans, propriétaire, célibataire. Louis-François Caillas, 45 ans, maçon célibataire,et Marie-Louise Bichot, 22 ans, sans profession, célibataire. Mariages. Anatole-Marie Guimard, 25 ans, marin, célibataire, et Zoé-Augustiae Mallard, 18 ans, sans profession, célibataire. Déecs. Henriette Remeau, 41 ans, journalière, célibataire Pélagie-PhilomènePéault, 23 ans, journalière, épouse de René Cléquin, marin. Geneviève-Eugénie-Marie Violleau, 2 ans. Fanny Baudy, 30, ans cuisinière, célibataire. Jean Berthomé, 67 ans, maçon, veuf de Jeanne Riou. Dernitîres nowrvelless C’est un fait acquis à la science, que [toutes les maladies de poitrine sont guérissables par l’emploi de la Farine ssié- j X Î o î î ï n e , del doctor Benito del Rio de Mexico. Cet aliment est non-seulement le iplus sûr, mais encore le plus agréable remède pour guérir les maladies de poitrine, bronchites, catarrhes, maladies du larynx, plithisie pulmonaire tuberculeuse, maladies consomptives, vieux rhumes, anémie et l’épuisement prématuré. S’emploie pour la nourriture des vieillards, des convalescents et des jeunes enfants. Dix ans de succès et 400 mille malades guéris, le plus souvent, alors qu’on les croyait perdus et sans ressources, prouvent qu’on ne doit jamais désespérer. La Farine mexicaine sé trouve jaux Sables, chez M. MOURAILLEAU, négociant. Aux mêmes dépôts : Café Barle- rin, 2 médailles d’honneur, et Collier l'Watliia, préservatif du croup et de la coqueluche. N'ACHETEZ PUS DE MACHINES A COUDRE s a n s c o n su lter LES AVANTAGES q u i’o f f r e 1"D. BÂCLE 4 6 , rue du Eac, 48 LA CÉLÈBRE SILENCIEUSE \7Ktr complétée de récrin des 40 guides et accessoires. à S U L t m f * n Machine a main et à navette h U Uf Eu L pour familles et industries «Q? > r \ f P Û jC T Q C Machine américaine à point Æÿ sfft fr L/Il» H E M retors, qualité garantie.......... unyjc D r O T y \ sr D Spéciales ipr atelier 5 O fr. n U V Ï L & O L f l I HflLai au-dessous du tarif général. E nvoi franco Catalogue et Echantillons. Seule Mon D. 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